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Volume 82 n° 35 Saint-Boniface, du 25 novembre au 1°’ décembre1994 Tél.: 237-4823 Fax: 231-1998 606 + taxes
Spécial FAUT:IUERE
ET: économique
pages 11 à 18.
Gildas pour président
Le sénateur originaire de Sainte-Rose-du-Lac, Gildas
Molgat, a été choisi comme président du Sénat, en
remplacement de l'Acadien Roméo Leblanc qui va devenir
gouverneur général en février 1995. Page 5.
1186
photo: Karine Beaudette
Julie Woo? Tape et compte!
La chanteuse québécoise
Julie Masse entame une
deuxième carrière, au Un premier tournoi divisionnaire à la Division scolaire franco-manitobaine a permis de réunir
Canada cette fois, en 500 étudiants de la 7e à la 9e année. Page 19.
lançant son premier album
en angJlais. |! a d'abord
fallu qu'elle apprenne la
langue! Page 7.
Le Roch des arts
Le président du Conseil des arts du Canada, le Québécois
Roch Carrier, porte deux chapeaux: celui de l'administrateur,
et celui de l'artiste. Page 8.
Citation de la semaine
«il y a 17 langues parlées quotidiennement à
l'Institut. C'est très winnipégois.»
Le docteur lan Smith de l’Institut du biodiagnostic de
Winnipeg, au sujet de la collaboration à l'échelle mondiale
qui règne au laboratoire de la rue Ellice. Page 6.
S F— PR ! _—_— Heu 40)
Les plans d'Ottawa d'augmenter le nombre de places en garderie en laisse certains sceptiques,
dont la directrice du P'tit Bonheur. Page 3.
Le meilleur plan d'épargne jamais offert. Voir à la page 20.
SOMMAIRE
ACTUEL
+ Garderies: une amélioration en vue? Page 3.
+ Francophonie du monde: page
3.
+ Saint-Malo: contrat de
comptabilité annulé. Page 2.
+ Éditorial: page 4.
+ Lettre: page 4.
+ Sénat: deux francophones hors
Québec promus. Page 5.
+ Enfance: des nouveaux mini-
centres en région. Page 5.
+ Oblats: Jean-Paul Isabelle nom-
mé supérieur provincial. Page 5.
CULTUREL
+ Chanson: Julie Masse recommence, en anglais. Page 7.
+ Clin d'oeil: page 7.
+ Arts: gagne-pain pour 300 000
personnes. Page 8.
+ Les Rendez-Vous: page 9.
+ Télé-horaire: page 10.
ÉCONOMIE
+ Spécial AMBM: les municipalités bilingues font un virage
économique. Pages 11 à 18.
SPORTS
+ Volley-ball: un tournoi divisionnaire pour les 7e, 8e et Je.
Page 19.
+ Basketball: Wesmen va bientôt dépasser le record nord-
américain. Page 19.
+ CKSB: un radiothon pour les démunis. Page 20.
SOCIETE
+ Science: l'Institut du biodiagnostic, unique au monde. Page
21.
+ Gens d'ici: page 21.
+ Chronique religieuse: page 22.
+ Nécrologies: page 23.
+ Emplois et avis: pages 24 et 26.
+ Quiz: page 27.
+ Recette: page 27.
+ Petites annonces: page 27.
+ À votre service: page 28.
Le MANITOBA de A à Z
+ Saint-Boniface: pages 2 et 4.
+ Saint-Claude: page 14.
+ Saint-Léon: page 15.
- Saint-Malo: page 2.
+ Saint-Plerre-Jolys: page 16.
+ Sainte-Agathe: page 14.
+ Sainte-Anne: page 18.
+ De Salaberry: page 16.
+ Île-des-Chênes: page 17.
+ La Broquerie: page 13.
+ Montcalm: page 15.
+ Notre-Dame-de-Lourdes: page
13.
+ Saint-Adolphe: page 17.
Journal hebdomadaire
publié le vendredi
par Presse-Ouest Limitée
LIBERTÉ
Directeur: Jean-François LACERTE
Rédacteur en chef: Jean-Pierre DUBÉ
Journalistes: Karine BEAUDETTE, Laurent GIMENEZ, Sylviane LANTHIER
Publicitaire: Jean-François LACERTE
Caricaturiste: Cayouche (Réal BÉRARD)
Collaborateur: BICOLO
Graphiste: Gilbert PAINCHAUD
Typographe: Véronique TOGNERI
Secrétaire-comptable: Danielle PARENT
Développement de photos: Hubert PANTEL
Heures du bureau: 9 h à 17 h du lundi au vendredi.
Toute correspondance doit être adressée à La Liberté, Case postale 190, Saint-
Boniface (Manitoba) R2H 3B4. Les lettres à la rédaction seront publiées si leur
contenu n'est pas diffamatoire et leur auteur(e) facilement identifiable.
Les bureaux sont situés au 383, boulevard Provencher.
Téléphone: (204) 237-4823. Télécopieur: (204) 231-1998.
L'heure de tombée pour les annonces est le lundi à midi. La direction se
réserve le droit de refuser toute annonce envoyée après cette échéance ou
d'imposer une surcharge de 10 %.
Nos annonceurs ont jusqu'au mercredi de la semaine suivante pour nous signaler toute
erreur de notre part. La responsabilité du journal se limitera au montant payé pour la
partie de l'annonce qui contient l'erreur.
L'abonnement annuel: ;
Manitoba: 28,50 $ (TPS et taxe provinciale incluses)
Ailleurs au Canada: 32,10 $ (TPS incluse)
États-Unis et outre-mer: 35 $
Les abonné.e.s manitobain.e.s pres une partie de l’année ne États-Unis
devront payer un supplément de eu moment du changement d' adresse.
Les 43 ements d'adresse pour les abonnements doivent nous
parvenir AU MOINS DIX JOURS avant la date de déménagement.
Le journal LA LIBERTÉ est imprimé sur les presses de Derksen Printers à Steinbach.
Enregistré comme courrier de deuxième classe. No 0477.
-OPSCOM
Assoc:anon de là presse lrancouhone
ee de l'année nationale:
Représentation
1-800-20PSCOM Donation Frêr Frémont
(613) 234-6735
ACTUEL
Pour réduire le déficit de 17 000 $ à la Résidence de Saint-Malo
On annule le contrat
de Courcelles Accounting
Le nouveau consell d'adminis-
tration de la Résidence incorpo-
rée de Saint-Malo a décidé de ne
pas renouveler le contrat de
comptabilité qui le liait depuis
plusieurs années à l’entreprise
Courcelles Accounting.
La Résidence est un organisme
fondé en 1976 qui gère deux
maisons habitées par une dizaine
de personnes handicapées.
Quatre des cinq membres du
conseil d'administration ont été
élus sans concurrence lors de
l'assemblée annuelle qui s’est
déroulée le 8 novembre. Il s’agit
de Louis Gareau, président, Denis
Clément, vice-président, Alma
Mitchell, secrétaire-trésorière, et
Claudette Rémillard, conseillère.
Parmi les quatre conseillers
sortants, deux étaient en fin de
mandat et ne se sont pas repré-
sentés, et les deux autres étaient
démissionnaires, notamment
Lorette Courcelles, propriétaire de
Courcelles Accounting. Le seul
membre de l’ancien conseil qui
reste en poste est Brian Copple.
Après son élection, le nouveau
Alice Hébert: «La communauté
s'est réveillée.»
Arrêtez de lire!
Y'a bien du monde qui
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LA LIBERTÉ, la semaine du 25 novérnbre au ‘1°’ décérnbre 1994
j
conseil d'administration a adopté à
l'unanimité une motion déposée
par Alice Hébert et demandant
que le contrat de comptabilité avec
Courcelles Accounting soit annulé.
La comptabilité sera désormais
assumée par la gérante de la
Résidence, Irène Maynard.
Alice Hébert affirme que cette
mesure a pour but de réduire le
déficit accumulé qui s'élève à
17 000 $ (1). L'économie d'environ
7 000 $ par an sera cependant
contrebalancée par l'augmentation
de salaire d’Irène Maynard, qui
reste à déterminer.
Alice Hébert ne cache pas
qu'elle s'est «mise sur le télé-
phone» pour convaincre un maxi-
mum de personnes de participer à
l'assemblée annuelle. «D'habitude,
il n'y a jamais beaucoup de monde.
Mais cette fois, on était entre 80 et
90. Il y a eu un réveil dans la com-
munäuté. Les gens ont compris
CA il fallait s'occuper des problèmes
3 financiers de la Résidence.»
Laurent GIMENEZ
(1) À cela s'ajoutent 42 000 $ d'hypothèques
contractées auprès de la Société canadienne
d'hypothèques et de logement et de la Caisse
populaire de Saint-Malo. Le montant exact du
budget n'est pas connu. nt, le nouveau
président, Louis Gareau, l'évalue à environ
100 000 5.
HE SAINT-BONIFACE
Les bourses
de l’'UNF
Les étudiants francophones
ont jusqu’au 15 décembre pour
faire une demande au Comité
des bourses de l'Union nationale
française (UNF).
Chaque année, l'UNF accorde
une bourse à une ou deux per-
sonnes poursuivant des études
postsecondaires en français. La
bourse est administrée par un
comité indépendant de l'UNF.
Les intéressés peuvent sou-
mettre une lettre (inclure une
photocopie de leur fiche d’inscrip-
tion à une institution postsecon-
daire) au: Comité des bourses,
C.P. 41, Saint-Boniface, R2H 3B4.
À l'occasion du
50e anniversaire
de mariage de
Eugène et Fabianna Mulaire,
tous les parents et amis
sont invités à une célébration
eucharistique à 14h en
la Cathédrale de Saint-Boniface,
le 3 décembre.
Un thé-rencontre
suivra au sous-sol.
Votre présence sera
Francophonie
du monde
À la défense de Riel
Ottawa - Le Bloc québé-
cois a déposé un projet de loi
exigeant l'annulation du ver-
dict de culpabilité rendu à
l'endroit de Louis Riel. À
l'occasion du 109e anniver-
saire de la pendaison du
leader métis, le 16 novembre
1885, la députée bloquiste
Suzanne Tremblay a souligné
le fait que le jury était com-
posé exclusivement d’anglo-
phones protestants et que
Louis Riel a été pendu parce
qu'il était Métis, francophone
et parce qu'il s'était porté «à la
défense d’une société dis-
tincte». (APF)
Franco-Ontarien
prisé
Sudbury - Le dramaturge
franco-ontarien Michel Ouellet-
te a reçu le Prix du gouver-
neur général, catégorie théä-
tre, pour la pièce French Town,
publiée aux Éditions du Nordir.
C'est une pièce dure, dense et
pourtant universelle où les
membres d’une famille du
Nord de l'Ontario tentent
d'exorciser un passé doulou-
reux. La pièce a été jouée pour
la première fois à Sudbury par
le Théâtre du Nouvel-Ontario
en mars 1993, puis à Moncton,
Toronto et au Centre national
des arts à Ottawa.
La France
par satellite
Ottawa - Depuis cet été,
grâce à un serveur alimenté
par l'Ambassade de France
au Canada, le réseau Internet
permet d'obtenir de nombreu-
ses informations sur la France
en général et la France au
Canada en particulier. Le but:
diversifier et enrichir les modes
de communication, et élargir
les sources documentaires sur
la France. La mise au point de
logiciels de communications
(E-mail, entre autres) permet-
tra sous peu de communiquer
directement avec chacun des
services de l'Ambassade.
Vers le million $
Ottawa - La Fondation fran-
co-ontarienne, mise sur pied
en 1986, espère recueillir au
moins 100 000 $ lors de sa
campagne de financement,
lancée cette semaine, pour
atteindre un capital d'un mil-
lion $. Si la fondation ne réussit
pas, elle ne pourra plus appu-
yer financièrement tous les
projets intéressants qui favo-
risent la promotion de la langue
française en Ontario. D'autant
plus que les taux d'intérêt (entre
4 et6 %) ont baissé. (APF)
Les recteurs
s'inquiètent
Ottawa - Les recteurs des
universités francophones de
l'extérieur du Québec se
demandent bien ce que l'ave-
nir réserve à leurs établisse-
ments d'enseignement, si le
gouvernement fédéral décide
de ne plus financer les insti-
tutions postsecondaires. La
réforme, proposée par le
ministre Lloyd Axworthy, veut
que les milliards de dollars
actuellement versés aux pro-
vinces soient remplacés par
un nouveau système de prêts
aux étudiants. Pourtant, les
universités partiellement ou
entièrement de langue fran-
çaise souffrent déjà de sous-
financement et les étudiants
sont endettés à la fin de leurs
études. (APF)
«La sécurité sociale dans le Canada de demain»
ACTUEL
Une amélioration du système
de garde au Manitoba”?
Le rapport «La sécurité sociale
dans le Canada de demain»
publié par Développement des
ressources humaines Canada en
octobre 1994, représente, pour la
situation des garderies au
Manitoba, une lueur d'espoir
pour certains et un autre cul-de-
sac pour d'autres.
Le ministre Lloyd Axworthy
précise dans le rapport que son
gouvernement est prêt à verser
720 millions $ pendant trois ans
en vue de financer ou de créer
150 000 places de garderie.
Cependant, pour chaque place,
le gouvernement fédéral s'engage
à verser 40 % du financement et,
puisque les garderies sont de
compétence provinciale, encoura-
ge les provinces à faire de même.
L'autre 20 % serait assuré par les
parents.
Pour Janine Bertrand, coordon-
natrice préscolaire à la Fédération
provinciale des comités de parents
(FPCP), la vision du ministre
Axworthy est intéressante: «Il voit
les garderies comme un investis-
sement dans le futur, plus que
comme une mesure permettant
aux parents de garder leur emploi.
Spécialement pour les franco-
Janine Bertrand: le programme fédéral donne espoir.
phones, il voit les garderies
comme une façon de contrecarrer
l'assimilation.
«Il y a des trous dans le
Manitoba Hydro VOUS invite
à participer à une séance
d’information publique
La séance aura lieu le
jeudi 1* décembre
à 19 h 30
au
Collège Saint-Norbert
870, avenue Sainte-Thérèse
Saint-Norbert (Manitoba)
La séance se déroulera de manière
informelle afin de vous permettre d’y
participer pleinement et de faire connaître
vos idées et vos préoccupations. Vous
pourrez écrire vos questions sur des
cartes distribuées à cette fin.
Des représentants de la haute direction
et des services à la clientèle seront
présents afin de vous expliquer les projets
de Manitoba Hydro et de répondre à
toutes vos questions sur les politiques et
les activités de la société.
système de garde au Manitoba,
en particulier pour les franco-
phones et les garderies au milieu
rural. Voici une occasion pour le
gouvernement provincial d'amé-
liorer le système.»
Elle ajoute que le gouverne-
ment provincial a déjà reconnu
certaines faiblesses dans le
rapport d'un Comité spécial
déposé en 1992. «Ça confirmait
ce qu'on savait depuis longtemps.
Entre autres, il faudrait créer 417
places dans des garderies franco-
phones pour rejoindre les anglo-
phones.»
Le dossier n'a pas beaucoup
avancé depuis, puisque le
gouvernement provincial a
imposé une série de gels en
1993 sur l'émission de permis
pour créer des garderies. À la
suite d'une modification, on
permet d'ouvrir une garderie à
condition de ne faire aucune
demande de financement à la
Province.
Il y a également eu des gels
sur les octrois de fonctionnement
et sur le nombre de places
subventionnées. Anita Mondor,
directrice de la garderie Le P'tit
Bonheur en sait quelque chose.
«ll faut absolument ouvrir des
places subventionnées. Un bon
50 % des personnes sur ma liste
d'attente veulent des places
subventionnées.» En ce moment,
Le P'tit Bonheur, ouvert en 1977,
compte 16 places subventionnées
sur ses 45 places.
«C'est bien contradictoire: le
gouvernement veut pousser les
assistés sociaux à travailler ou à
poursuivre leurs études, mais ce
n’est pas possible puisqu'il n'y a
pas assez de places subven-
tionnées. Par exemple, notre
garderie est tout près du Collège.
ll y a bien des gens qui aimeraient
pouvoir étudier et envoyer leurs
‘+ j, Lu +
Anita Mondor: la balle est relancée à la province.
enfants au P'tit Bonheur, la seule
garderie publique complètement
francophone.»
Anita Mondor a tenté de faire
valoir sa cause, et celles des
autres garderies de Saint-
Boniface, auprès des députés
fédéral et provincial de Saint-
Boniface, Ronald Duhamel et
Neil Gaudry, en octobre dernier.
«On devrait voir à financer les
garderies existantes. Si on veut
payer notre personnel adéquate-
ment, si on veut voir un épanouis-
sement dans le secteur des
garderies, il faut enlever les gels.
«Le ministre Axworthy paraît
bien, mais en fait, il relance la
balle aux provinces. Norma-
lement, je suis une personne
optimiste, mais je ne suis pas
certaine que le projet fédéral va
faire bouger les choses. Sinon,
c'est sûr qu'on va faire du
lobbying.»
Puisque le prochain geste
appartient à la Province, la FPCP
a demandé une rencontre avec
la ministre Bonnie Mitchelson
pour réitérer les besoins des
francophones et la convaincre
d'embarquer dans le programme
fédéral.
«La dernière fois qu’on l’a
rencontrée en décembre 1993, elle
ne nous a pas donné beaucoup
d'espoir, remarque Janine Bert-
rand. Mais maintenant, avec le
fédéral qui est prêt à injecter des
fonds pour créer des places, je
vois de l'espoir.»
À la Province, l'agent de pres-
se de Bonnie Mitchelson a sim-
plement indiqué que la ministre
prépare sa réaction au docu-
ment. Actuellement, il existe
18 727 places de garderies
partout au Manitoba, dont 9 900
subventionnées.
Karine BEAUDETTE
, LA LIBERTÉ, la semaine du 25 novembre au 1° décembre 1994
PRNRSALLSZ
"nef ‘
ACTUEL
EDITORIAL
De
l'information
bidon?
uand un député sort des sentiers battus et décide de
mettre le paquet pour aider un citoyen de sa
circonscription à se trouver un emploi, il n’en faut pas
plus pour que les critiques se mettent à fuser de toutes parts.
Certes, il y a apparence de favoritisme puisqu'on ne sait
pratiquement rien de cette personne pour qui Ron Duhamel,
député de Saint-Boniface, a envoyé quelques centaines de
curriculum vitae aux frais des contribuables.
Certes, la démarche ne pourra jamais être étendue à tous
les chômeurs et toutes les chômeuses de Saint-Boniface car
cela épuiserait très rapidement la nouvelle pension de député à
laquelle Ron Duhamel a désormais droit.
Malgré les apparences de favoritisme dans ce drôle de
dossier (qui a été divulgué par une station de radio anglophone
de Winnipeg), aucune preuve n’a été faite à cet égard. À
première vue, on serait porté à croire à du “journalisme”
jaune, dirigiste, où seule une idée est véhiculée, celle du
journaliste qui l’a découverte et mise en onde.
Cette initiative de Ron Duhamel est tout au plus maladroite
et, veut, veut pas, des soupçons pèseront toujours sur cette
décision pour le moins inusuitée.
Que des journalistes en mal de «scoop» juteux cherchent à
entacher la réputation du gouvernement apparaît somme toute
comme faisant partie des choses de la vie. Dans ce cas,
toutefois, il faudra trouver des éléments solides et sérieux.
Faire tout un plat pour 400 $ (c’est ce que nous aurions
payé collectivement pour aider ce chômeur de longue date), à
moins d’avoir des preuves formelles de favoritisme, c’est
éclabousser non seulement le nom de Ron Duhamel, mais
aussi la réputation du journalisme sérieux en donnant de la
crédibilité à de l'information qui n’en est peut-être pas.
Jean-François LACERTE
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destiné aux adultes qui n'ont pas pu terminer leurs
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17h30 à 21het le samedi 10 décembre de 9 h 30
à 15h 30.
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Date limite d'inscription : le 2 décembre.
Pour recevoir un formulaire d'inscription,
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veuillez communiquer avec la Division
de l'éducation permanente au 233-0210.
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LA LIBERTÉ, la semaine du 25 novembre au 1° décembre 1994
Un patriote pas comme les autres
M. le rédacteur,
Voici une histoire spéciale d’un
aviateur de la Saskatchewan, devenu
un héros. Peter Dmytruck vient d’une
famille d'immigrants d'Ukraine,
installée à Waynyard (près de Sas-
katoon), une communauté agricole
de 1 000 habitants. En 1941, à 21
ans, Peter part comme volontaire
dans l'armée de l'air.
En mars 1943, de retour d’une
mission au-dessus de l'Allemagne,
un bombardier allié s'abat sur le sol
français. Un des membres de l’équi-
RL DE SALABERRY
30 000 $ pour
un camion
Le Conseil municipal de De
Salaberry a décidé le 8 novembre
dernier d'effectuer un emprunt
de 30 000$ sous forme de dében-
ture (obligation non garantie)
pour financer l'achat d’un ca-
mion de pompiers.
Le coût total du camion, estimé
à 115 000 $, serait partagé à
parts égales entre la Municipalité
et le District de feu # 1 (environ
un mille autour de Saint-Malo).
L.G.
\
Félix et Léontine Pelletier
1927 - novembre 29 - 1994
Félicitations à nos parents, grands-parents et arrière-grands-parents
à l'occasion de leur 67° anniversaire de mariage.
Un gros merci pour tout ce que vous avez fait pour nous
au cours de tant d'années.
ve
Meilleurs voeux de bonheur de vos 12 enfants, 54 petits-enfants
et 71 arrièrepetits-enfants.
page, mitrailleur arrière, saute à
proximité de Vitry-le-François.
C'est Peter Dmytruck. Îl entre-
prend une longue marche vers
l'Espagne afin d'être rapatrié en
Grande-Bretagne. Par des moyens
de fortune, il arrive en Auvergne.
Le jeune Canadien joint alors le
maquis d'Auvergnat. || s'exprime en
véritable ami de la France, c'est-à-
dire qu'il combat dans les rangs
français au même titre qu'il avait
combattu dans les rangs canadiens.
Dans la nuit du 9 décembre 1943,
au retour d'un combat, Peter est tué
par les Allemands à l'entrée des
Martres des Veyres, en banlieue de
Clermond-Ferrand, par une rafale de
mitrailleuses. |l est littéralement
écrasé contre le conducteur, la voiture
transpercée de partout.
Les Allemands étaient convaincus
d'avoir tué un important chef du
maquis et ils ont cessé tout combat.
C'est pourquoi la ville des Martres
des Veyres a été épargnée. La
population a eu beaucoup de chagrin,
car on aimait bien Peter.
Aux Martres des Veyres, Peter est
enterré comme un héros. «Pierre le
Canadien est mort pour la France».
La mort de Pierre évoque l'image de
la liberté; sa mémoire et sa stèle, que
nous retrouvons dans le cimetière à
l'entrée de la ville, resteront indes-
tructibles.
En 1972, après bien des démar-
ches, on a jumelé les deux villages
(Wynyard et Martres des Veyres).
C'est un jumelage de sentiment, de
souvenir. C'est un membre de
l'Association France-Canada de la
Saskatchewan, Edmund Brady, qui a
fait les recherches sur l'origine de
Peter Dmytruck.
Cinquante ans après, on a
commémoré l'anniversaire de sa
mort. M. et Mme Edmund Brady
étaient présents au 50e aniversaire
du Débarquement de Normandie, où
j'étais aussi. C'est à Authie qu'Ed-
mund a reçu une médaille et je peux
vous dire qu'il était très ému.
Je suis certaine qu'il partage du
fond du coeur une pensée pour Peter
Dmytruck. Il est allé la semaine sui-
vante se recueillir sur la tombe de
Peter aux Martres des Veyres.
Josiane De Smet
Présidente France-Canada
Saint-Claude (Manitoba)
Le 14 novembre 1994
EE SAINT-BONIFACE
Où bâtir
l’aréna
de Winnipeg?
L'Association des résidents
du vieux Saint-Boniface tiendra
une réunion publique le lundi
28 novembre pour débattre le
projet d'’aréna de la Ville de
Winnipeg.
L'Association pose le problème
ainsi: «Est-ce que nos rues peu-
vent accommoder l'augmentation
de la circulation, 180 soirs par
année? Le boulevard Provencher
deviendrait-il une autoroute à huit
voies? Nos rues résidentielles
deviendraient-elles le terrain de
stationnement gratuit de la
nouvelle aréna?»
L'organisme s'inquiète donc
des répercussions de la
construction d'un complexe sportif
au nord du terrain de la Fourche,
en face du vieux Saint-Boniface.
La réunion publique aura lieu à
19 h 30, au gymnase du Coliège
universitaire de Saint-Boniface.
Gilbert Cloutier, cma
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ACTUEL
Gildas Molgat devient président du sénat et
Roméo Leblanc sera gouverneur général
Le premier ministre Jean
Chrétien souligne la participation
politique des francophones hors
Québec avec deux nominations
Jean-Guy Talbot, c.g.a.
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le samedi de 9 h à 13 h. Fermé le lundi.
Avis aux personnes qui ont touché des
prestations d'assurance-chômage en 1994
Si vous avez reçu des prestations d'assurance-chômage en
1994, et que vous avez changé d'adresse depuis la fin de votre
période de prestations, vous devez faire parvenir votre nouvelle
adresse à votre Centre d'emploi du Canada avant le 23
décembre 1994,
Nous avons besoin de votre adresse actuelle pour pouvoir vous
envoyer votre état T4U des prestations d'assurance-chômage
versées.
Veuillez vous mettre en rapport avec votre Centre d'emploi du
Canada pour mettre votre adresse à jour dans votre dossier. À
Winnipeg et dans les environs, vous devez appeler le télécentre
de l'assurance-chômage au 983-4662. Pour les appels
interurbains au Manitoba, composez le (800) 663-4276.
de taille. Le sénateur acadien
Roméo Leblanc sera le prochain
gouverneur général et le Manit-
obain Gildas Molgat le rempla-
cera dans sa fonction de prési-
du sénat.
il s’agit de deux premières:
Roméo Leblanc, sénateur depuis
1984, est le premier Acadien, et le
deuxième francophone de l'exté-
rieur du Québec (après Jeanne
Sauvé de la Saskatchewan), à
occuper la plus haute fonction
honorifique du pays. Le natif de
L'Anse-aux-Cormier (Nouveau-
Brunswick) entrera en fonction en
février 1995.
Son remplaçant, au sénat
Gildas Molgat, sénateur depuis
1970, est le premier Manitobain à
Journée provinciale de l'enfance
Deux autres mini-centres
La Fédération provinciale des
comités de parents (FPCP) a
annoncé, lors de sa Journée
provinciale de l'enfance du 19
novembre, son intention d'ouvrir
PRÉPOSÉ(E) AUX
ÉVALUATIONS
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La personne choisie évaluera l'admissi-
bilité des clients aux prestations conformé-
ment au Programme 55 Plus. Elle sera
notamment chargée d'étudier les deman-
des de prestations selon l'évaluation des
revenus des intéressés et d'après les
règlements et la politique du Programme.
Elle aidera les clients par téléphone et en
personne, et effectuera également le
codage informatisé des demandes ainsi
que la vérification des dossiers.
La personne choisie aura plusieurs
années d'expérience comme employée de
bureau dans des postes comportant des
responsabilités et touchant au domaine
financier. Elle aura des compétences
établies pour communiquer avec le public,
travailler en équipe et organiser son temps
de manière efficace. Une certaine
connaissance des programmes d'aide
sociale et de supplément de revenu
provinciaux et fédéraux connexes ainsi
que de la préparation des déclarations
d'impôts sera un atout. La personne
choisie devra bien connaître les deux
langues officielles. On tiendra compte du
programme d'Action positive dans le
processus de sélection.
Échelle de salaire :
de 27 045 $ à 30 998 $ par an
N° de concours : 09065
Date de clôture : le 7 décembre 1994
Veuillez envoyer votre candidature à
l'adresse suivante :
Services à la famille Manitoba
Service des ressources humaines
270, rue Osborne, 2° étage
Winnipeg (Manitoba) R3C 1V7
en région
d'ici mars deux autres mini-
centres de ressources éducat-
ives à l'enfance (CRÉE).
Ces deux mini-centres, l’un à
Saint-Pierre-Jolys et l’autre à
Notre-Dame-de-Lourdes s'ajoute-
ront à celui de La Broquerie.
Environ 80 personnes ont
participé à la Journée de l'enfance,
une assistance comparable à
1993. «La journée s'est bien
déroulé et les participants étaient
satisfaits des ateliers», souligne la
coordonnatrice préscolaire, Janine
Bertrand.
«En particulier, ils ont été très
emballés par la conférence de
Janine Tougas, “La famille, j'y
crois”, qui parlait des différents
modes de communication dans
la famille (selon le modèle de
Virginia Satir). C'est un sujet qui
collait pour tout le monde.»
devenir président du Sénat.
Originaire de Sainte-Rose-du-
Lac, il a commencé sa longue
carrière en politique comme
député en 1953. De 1961 à 1968,
il a été chef de l'opposition libérale
pour la Province du Manitoba. En
1983, il est devenu le premier
président adjoint élu du Sénat.
K.B.
Par ailleurs, la FPCP a dû
annuler l'atelier «Un modèle de
francisation» à cause du manque
de participation. «Cet atelier a
déjà fait une tournée au mois de
mai, alors tous les parents qui
sont en francisation connaissent
déjà le programme.»
Pour une première fois, la
FPCP a organisé un atelier pour
les jeunes de 6 à 13 ans, plutôt
que de les envoyer à la garderie.
galement, le groupe Kanicosa a
lancé sa cassette Kanicosa
chante Les Petites Oreilles.
«C'était bien. Ça a ajouté quelque
chose de spécial à la Journée.»
Sur l'heure du midi, les partici-
pants ont pu visiter une quaran-
taine de kiosques démontrant toute
une gamme de produits et ser-
vices.
Karine BEAUDETTE
Oblats de Marie-Immaculée
Jean-Paul Isabelle
nommé supérieur
provincial
Le père Jean-Paul Isabelle a
été investi dans ses nouvelles
fonctions de supérieur provin-
cial de la province oblate du
Manitoba le 21 novembre der-
nier. I! remplace le père Alain
Piché, en poste depuis six ans.
Le natif de Lisieux, en Saskat-
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L'ÉDUCATION PERMANENTE
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chewan, a occupé de nombreuses
fonctions depuis son arrivée au
Manitoba en 1961. Il a notamment
été supérieur du Juniorat Sainte-
Famille, à Saint-Boniface, et
directeur de l'école Saint-Norbert,
future école Noël-Ritchot, de 1974
à 1977. Sa nomination n’est pas
une surprise puisqu'il avait été
nommé vicaire provincial en 1988.
«Le dossier des vocations nous
concerne beaucoup, explique-t-il.
La moyenne d'âge des Oblats du
Manitoba est de 70,9 ans. C'est
difficile d'entreprendre de nou-
veaux engagements sans main-
d'oeuvre. C'est pour ça qu'on
travaille beaucoup à la formation
des laïcs.»
Autres dossiers prioritaires: la
mise en oeuvre d'une Église
autochtone et le 150e anniversaire
de l'arrivée des oblats dans
l'Ouest, dont les célébrations sont
prévues pour le mois d'août 1995.
La section manitobaine des
Marie-Immaculée comp-
te 104 membres, dont beaucoup
oeuvrent auprès des autochtones.
On compte aussi des aumôniers
de prison, des curés et un ensei-
gnant universitaire.
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++ Ce cours peut compter pour l'obtention d'un brevet en éducation spéciale.
+++ Ce cours compte pour l'obtention d'un brevet de directrice/directeur.
*+++ Ce cours compte pour le counselling.
6-7 janvier ‘95
3-4 février ‘95
3-4 mars ‘95
7-8 avril ‘95
Afin de suivre des cours au niveau du Certificat postbaccalauréat il faut être AMIS AU PROGRAMME. Pour l'hiver 1995,
la DEMANDE D'ADMISSION DOIT ÊTRE FAITE AVANT LE 1 DÉCEMBRE 1994.
Afin de suivre des cours au niveau de la Maîtrise en Éducation, il faut être ADMIS AU PROGRAMME. Pour l'hiver 1995,
la DEMANDE D'ADMISSION DOIT ÊTRE FAITE AVANT LE 30 NOVEMBRE 1994.
Pour de plus amples informations, veuillez vous adresser au bureau du deuxième cycle de la Faculté d'éducation.
N.-B. LE COLLÈGE SE RÉSERVE LE DROIT D'ANNULER L'UN OU L'AUTRE DE CES COURS SI
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LA LIBERTÉ, la semaine du 25 novembre au 1°’ décembre 1994
Karine BEAUDETTE
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de Noël
Vous cherchez des idées
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enfants? Voici quelques
recommandations, toutes en
musique,
Kanicosa chante les
Petites Oreilles: Enregistre-
ment tout beau, tout chaud,
cette cassette plaira aux
habitués des Petites Oreilles
comme à ceux qui n'ont jamais
entendu l'émission de Radio-
Canada (comme moi!).
Du côté À, Nicole Brémault
et ses enfants Annick, Chris-
tian et Sarah chantent neuf
chansons. Puis c'est à votre
tour au côté B. Les arrange-
ments musicaux et vocaux
sont superbes, variés et bien
faits. On souhaiterait que ça
continue! Dommage qu'il
faudra attendre le printemps
prochain avant d'entendre la
suite (60 chansons en tout).
(En vente Chez le Dis-
quaire, au CCFM, à la Bouti-
que Jamais Vu et au CRÉE.)
Carmen Campagne: La
chanteuse fransaskoise a
maintenant sept enregistre-
ments à son actif, tous excel-
lents. Elle a gagné un Félix en
octobre pour son disque Une
fête pour les enfants. Depuis,
elle a enregistré Christmas
Treasures (en 1993 égale-
ment) ainsi que J'ai tant dansé
et La magie de Noël (1994).
Ces deux derniers sont
des délices, comme tout ce
que fait Carmen Campagne!
J'ai tant dansé nous fait enten-
dre deux nouvelles versions
de La vache (banjo et Elvis),
et reprend des airs bien
connus comme notre hymne
franco-manitobaine (Histoire
d'antan), chantée avec Michel
Rivard, et À /a volette, avec la
participation de Laurence
Jalbert. Quelques chansons
prennent des allures cajunes.
Bref, un album diversifié et
très plaisant à écouter, même
aux oreilles d'adultes.
Comme l'est aussi La
Magie de Noël. Carmen Cam-
pagne puise dans le répertoire
traditionnel de Noël et nous
offre un excellent album pour
tous les âges. Les premières
six chansons sont rythmées
(Feliz Navidad, Le Noël des
musiciens...), suivies de sept
chansons douces (Petit gar-
çon, Mon beau sapin...).
Carmen Campagne a fait
l'effort de mélanger des airs
connus avec des mélodies
moins connues. Superbe!
K.B.
CULTUREL
La chanteuse québécoise recommence sa carrière, mais en anglais
What does Julie Masse want?
Avec ses trois Félix en 1991,
son prix Juno en 1993 et 300 000
albums vendus au Québec (1),
Julie Masse aurait pu décider
que c'était assez. Mais ce n’est
qu'un début. Elle a lancé en
octobre un premier microsillon
en anglais avec l'ambition
lointaine de conquérir le monde.
En commençant par le Canada
anglais.
«Au Québec, je suis connue,
mais au Canada, quand j'arrive,
je dois parler plus de mon
histoire; je ne suis pas connue,
ce qui est tout à fait normal.»
Et frustrant. «J'avais le choix de
rester avec la popularité que j'aie
au Québec, mais j'ai accepté de
recommencer au bas de la pente,
en espérant remonter avec une
plus grosse cote. Ça demande
beaucoup de détermination et de
temps!»
De passage à Winnipeg au
début du mois de novembre pour
faire la promotion de Circle of
One, Julie Masse dit espérer un
retour au Manitoba en tournée
au printemps 1995. Mais ce n'est
pas officiel encore, «et ça risque
d'être en première partie» d'un
autre spectacle.
Elle ne semble pas se faire
d'illusions: pas question pour le
moment de s'attaquer au marché
des États-Unis. «Le Québec est
grand, le Canada est encore plus
grand, je ne serais pas capable
d'attaquer les États-Unis en
même temps.»
À 24 ans, elle affirme qu'elle
ne fait que commencer à
À ne pas manquer sur le CD, la reprise de la classique Letting Go
de Straight Line (The hardest part of love is letting go). On devine
une rupture dans la vie de Julie Masse, et une nouvelle maturité.
s'épanouir au niveau artistique. «Ce que je veux, c'est être sur
Village du Père Noël
Du 1er au 15 décembre 1994 à la salle Jean-Paul-Aubry du CCFM.
Pour des groupes d'enfants âgés de 2 à 7 ans.
La magie, la féerie et l'ambiance de cette fête traditionnelle qu'est Noël,
y inclus chants, danses, jeux animés et une pièce de marionnettes.
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Le Foyer du Père Noël
Le dimanche 11 décembre 1994 au Foyer du CCFM.
Parents et enfants âgés de 2 à 7 ans.
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et festoyer de 11 h à 15 h. Vous pourrez vous rendre au
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scène, chanter et faire sentir
quelque chose; lire des lettres de
fans et de voir l'effet que j'ai sur
eux. J'ai aussi goûté à la
créativité en studio.»
À ce niveau, l'enregistrement
de son album en anglais, avec
l’auteur-compositeur Corey Hart
comme mentor, l’a transportée
dans une autre dimension du
métier.
«On était coprésentateurs,
Corey et moi, aux Junos l'an
dernier, précise Julie Masse.
C'est ce soir-là qu’on a décidé
(le gérant Serge Brouillette et
moi) de faire un album en
anglais. Ce soir-là, on en a parlé
à Corey.»
Mais avant, il fallait apprendre
l'anglais. «Je pouvais me débrouil-
ler, mais je voulais pouvoir parler
couramment en anglais avant de
me retrouver sur scène. J'ai étudié
l'anglais toute l’année, c'est un
projet personnel.»
C'était aussi important de
pouvoir parler en anglais avec
Corey Hart. «On l'a rappelé
quand j'étais prête, quand j'avais
fini mes cours. On s'est
rencontré: je lui ai parlé de toutes
sortes de choses. || m'a dit que
j'étais une fille romantique et une
femme forte.
«il a offert d'écrire des
chansons pour moi. Trois
semaines plus tard, il m'a
rappelé pour m'annoncer qu'il
avait écrit la chanson | Will Be
There au sujet de mon père, qui
était décédé.»
Le chanteur a fini par écrire
cinq chansons pour elle et
réaliser sept des pièces du CD.
Mais ce n’est pas tout. «En
studio, il me demandait mon
opinion sur tout; il est allé
chercher le côté créatif en moi, à
force de me demander ce que je
ressentais, ce que je voulais
entendre comme son, ce que je
voulais chanter. C'était très
magique, très spécial.»
Elle n'avait jamais écrit un
texte, elle n'avait pas changé en
15 ans sa façon de jouer du piano.
«Je ne pensais pas avoir les
qualités pour écrire et je m'étais
dit que jamais je ne composerais.
Mais depuis deux mois, je travaille
sur des chansons: c’est vraiment
embryonnaire, il n’y a rien de
terminé, mais j'écris tous les jours.
J'ai aussi commencé à jouer du
piano de façon différente.»
Julie Masse est-elle en train
de changer? La photo qui lui sert
de promotion semble indiquer un
nouveau look. «Non, fait-elle, en
montrant ce qu'elle porte (jeans
et col roulé). Le changement est
surtout intérieur.
«Plus j'apprends, plus je me
rends compte que je ne sais rien;
c'est frustrant. || y a bien des
choses à apprendre dans la vie.»
Jean-Pierre DUBÉ
(1) Entre 1990 et 1992, elle a produit
trois albums: Julie Masse, Julie Masse (en
France) et À Contre-Jour. Elle est restée au
palmarès de Radio-Activité pendant 50
semaines avec À Contre-Jour.
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CULTUREL
Le président du Conseil des arts en visite à Winnipeg
La culture fait vivre
300 000 personnes
Si le Conseil des arts du
Canada disparaissait du jour au
lendemain, le Ballet royal de
Winnipeg perdrait 1,3 million $
par an et l'Orchestre sympho-
nique 750 000 $. Le Cercle
Molière devrait se passer de
ses pris 73 000 $ annuels,
les Éditions des Plaines de
leurs 47 000 $, et celles du Blé
d'environ 33 000 $.
Ces quelques chiffres illustrent
l'importance de l'organisme fondé
en 1957 pour favoriser le dével-
oppement de la culture au Cana-
da. Un organisme qui n'échappe
pas aux contraintes budgétaires
imposées par le gouvernement
fédéral: depuis neuf ans, le
montant annuel des subventions
versées par le Conseil des arts
est pratiquement gelé (environ
100 millions $), ce qui, compte
tenu de l'inflation, équivaut à une
baisse de 30 %.
Pour préparer les artistes aux
nouvelles coupures qui ne man-
queront pas de venir, le nouveau
président du Conseil des arts,
Roch Carrier, vient d'entamer une
tournée nationale qui le mènera
dans 16 différentes villes cana-
diennes (1).
«|l faut trouver de nouvelles
formes de collaboration, explique
le célèbre romancier québécois.
Par exemple, plusieurs compa-
Le comité culturel
de Saint-Léon
vous invite à
en collaboration avec
Les Éditions des Plaines et du Blé
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les vendredi et samedi
2 et 3 décembre
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Pour les 4 ans et plus.
Le président du Conseil des arts
du Canada, Roch Carrier, était
de passage à Winnipeg pour une
visite privée en octobre dernier.
gnies devront se regrouper pour
partager une salle.»
Tout en affirmant que «le
secteur public ne doit pas démis-
sionner du secteur culturel»,
l’ancien recteur du Collège mili-
taire de Saint-Jean croit que les
institutions culturelles devront de
plus en plus développer des parte-
nariats avec le secteur privé.
Laisser crever
les danseurs
Voilà pour le Roch Carrier ad-
ministrateur. Mais le Roch Carrier
créateur, lui, ne cache pas son
sentiment de révolte devant le
sort qui est réservé à ses collè-
gues artistes.
«Comme société, on considère
moral de donner quelques millions
de $ à des joueurs de hockey alors
qu'on laisse crever des danseurs
qui, eux aussi, ont une carrière
très courte. Ce choix de société
me préoccupe beaucoup» (2).
Le président du Conseil des
arts affirme que 300 000 per-
sonnes au Canada vivent des
arts. «C'est le domaine où ça
coûte le moins cher de créer un
emploi. I! y a trois milliards $ qui
circulent dans le contexte des
photo: Laurent Gimenez
Un jeu de logique et de déduction
qui fascinera les petits et grands esprits !
Un “remue-méninges” captivant…
activités artistiques au Canada!»
Laurent GIMENEZ
(1) Roch Carrier sera présent à Winnipeg
les 30 novembre et 1er décembre prochains.
Le but de ces audiences publiques est de
consulter la population en vue de la réforme
du Conseil des arts qui sera annoncée en
(2) Selon un article publié dans l'Actualité
du 15 octobre, le salaire annuel moyen d'un
danseur professionnel est de 10 000 $, celui
d'un comédien de 15 000 $, et celui d'un
écrivain de 5 000 à 6 000 $.
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des comédiens...
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….Une très belle performa interprété.»
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T2
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TRACES D'ETOILES DE CINDY LOU JOHNSON
TRADUCTION MARYSE WARDA
. LES COMÉDIENS :
GENEVIEVE PELLETIER, KIM Mc<CAW
MISE EN SCENE : CHRISTIAN MOLGAT
DECORS ET COSTUMES : LINDA LEON
THEATRE DE LA CHAPELLE, 825, RUE ST-JOSEPH A 20h
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% La Grande fête de la fran-
cophonie a lieu au Rendez-Vous
(768, av. Taché) le 3 décembre à 20
h. En vedette: Gérald Laroche,
Marie-Claude McDonald, Marcel
Soulodre, Rachel Therrien, Laurent
Roy, Pat Joyal, Micheline Girardin,
Gerry & Ziz, Eric Lussier, Bandaline,
etc. Billets (20 $): au CCFM, 233-
8972.
% À l'affiche du Foyer du
Centre culturel franco-manitobain
(340, boul. Provencher, 233-8972):
Suzanne Kennelly les 24 et 25
novembre; En éclosion (avec
Karine Beaudette, Liane Collet,
Carole Freynet et Brigitte Sabourin)
le 26 novembre; Ron Paley au
Mârdi Jazz le 29 novembre; La
Co. Pariseau, Carrière et Gaudry
les 1er et 2 décembre. Les
spectacles commencent vers 21 h
15. Entrée: gratuite.
< L'Orchestre symphonique
de Winnipeg présente Poetry &
Passion (Beethoven, Schumann et
Alain Perron) les 25 et 26 novembre
à 20 h; et Best Foote Forward
(avec Norman Foote) dans la série
Superconcerts for kids le dimanche
27 novembre à 14h; Romantic
Fireworks (Tchaikovsky, Franck et
Alain Perron) les 1er et 3 décembre
à 20 h. À la salle du Centenaire
(555, rue Main). Renseignements:
949-3976.
% L'orchestre de chambre
Aurora Musicale présente Chamber
Music for Racial Harmony avec le
flûtiste Robert Aitken. Le 28 novem-
bre à 20 h. Au Musée des beaux-
arts. Renseignements: 284-1125.
% Le pianiste Stéphane
Lemelin d'Edmonton et le violoniste
David Stewart sont en vedette lors
du prochain concert de l'Orchestre
de chambre du Manitoba. Au
programme: Beethoven, Bartok,
Schubert et Hindemith. Le 30
novembre à 20 h à l'église West-
minster. Billets: 780-3333 (Ticket-
master) ou 783-7377 (MCO). Répé-
tition ouverte le mardi 29 novembre
à la salle Martial-Caron du Collège
universitaire de Saint-Boniface de 11
h 45 à 12 h 45. Entrée libre.
DANSE
# La troupe des Winnipeg
Contemporary Dancers tente de
recréer la galerie Melnychenko (250,
Huben Pantel
photo:
La pièce Traces d'étoiles de Cindy Lou Johnson (traduite par
Maryse Warda) sera présentée par le Cercle Molière dans la série
Café-théâtre. Du 16 novembre au 2 décembre à 20 h au Théâtre de
la Chapelle (825, rue Saint-Joseph). Billets: 233-8053 ou à la porte.
av. McDermot) lors des spectacles
Investors Group First Draft du 30
novembre au 3 décembre à 20 h (et
à 14 h le 3 décembre). Chaque
spectacle sera suivi d'une discus-
sion. Renseignements: 452-0229.
EXPOSITIONS
% En montre à la galerie du
Centre culturel franco-manitobain:
Les images qui bougent, exposition
itinérante de l'Office national du film
(ONF) portant sur le film d'animation.
Les films francophones produits par
l'ONF dans l'Ouest et le festival de
films francophones Cinémental
auront leur coin dans cette
exposition. Jusqu'au 27 novembre.
% L'Alliance française du Mani-
toba (934, av. Corydon) présente
l'exposition 1 + 2, mettant en vedette
Aimé L'Heureux, Michel LeBlanc et
Elizabeth Yonza. Jusqu'au 17
décembre.
EN FAMILLE
manitoba chamber orchestra
% Le village du Père Noël
ouvre ses portes le 1er décembre.
Chants, danses et jeux pour les
groupes de 2 à 7 ans. Jusqu'au 15
décembre. Entrée: 4 $ par enfant.
Renseignements: 233-8972.
% Le Centre Fort Whyte (1961,
chem. McCreary) propose un atelier
d'artisanat inspiré de la nature le
dimanche 27 novembre de 12 h à 16
h. Également, tous les samedis de
cet automne, à 14 h 30, le Centre fait
découvrir un mammifère du Mani-
toba. Renseignements: 989-8355.
CINÉMA
%. Le Musée des beaux-arts
organise un mini-festival de films
muets du vendredi 25 au dimanche
27 novembre. Parmi les artistes en
vedette: Charlie Chaplin, Buster
Keaton, Rudolph Valentino et Gertie
the Dinosaur. Renseignements:
786-6641.
Sélection recueillie par
Karine BEAUDETTE
STEWART
ET LEMELIN
EN RECITAL!
Le premier violon du MCO,
David Stewart, en récital avec
le pianiste Stéphane Lemelin
d'Edmonton. Venez découvrir
des oeuvres peu connues de
compositeurs bien connus:
Beethoven, Bartok, Hindemith
et Schubert .
Le mercredi 30 novembre à 20h,
à l'église unie de Westminster
(745, Westminster, coin Maryland)
Billets (21$, 19$ et 12$)
Librairies McNally-Robinson
Mary Scorer Books
TicketMaster (783-3333)
MCO TicketLine (783-7377)
TD 783-7377
LA LIBERTÉ, la semaine du 25 novembre au 1°’ décembre 1994
Télé-horaire de la semaine du 28 novembre au 4 décembre 1994
Du lundi au vendredi ro) TV:5 La méthode Victor TV-5 Revue de presse arabe : T-M Au nom de la beauté TV-5 Plaisir de lire (vendredi)
de5h00à15h 30 Tôte à tête (jeudi) 10h15 TV-5 Gourmandises [undi) Et 12h45 TV5 Correspondance (jeudi) 14h30 CBWFT Les temps modemes
€ 4 TV-5 Nord sud (vendredi) TV:5 La cuisine des Revue de presse africaine 13h00 T-M Les feux de l'amour ndi à
sh00 T-M Salut, bonjour! 9h01 CBWFT Pacha et les chats {mardi au TV-5 Vins et (lundi) Le forum des temps
6h50 CEWFT Bon matin 0h15 CEWFT Iris le gentil professeur 5 de presse française TV-5 Bas les masques (mardi)
7h90 TVS Télématin 9h90 10h30 (vendredi) TVS ‘TV:5 La chance aux chansons
8h00 T-M Be Bla Bla. T-M Aimer T-M La vie à Montréal 12h00 CBWFT Le midi TV-5 Lella, née en France (jeudi ndi au jeurdi)
9h00 CEWFT Les chatoullles du ‘TV-5 Rédacteurs en chef (uni) TV:5 La chance aux chansons TV-5 7 sur 7 (lundi) 13h30 CBWFT Entrez la visitel (lundi à 5 Le jardin des bétes
matin TV:5 Vins et (mardi) TV:5 Viva TW- Faits divers (mardi)
T-M Top modèles TV-5 La ruée vers l'art (vendredi) 10h45 T-M TV-5 Téléscope {mercredi} CBWFT Dallas (vendredi) 15h00 T-M Claire Lamarche
TV: Panorama fun) 10h00. CEWFT Les 7 jours de soeur En rer suisse ‘ 195 à ot mime ue) T4S Lure de M Punc 15h90 GOT Te Ts ans
(mardi) TA Bonapplt + cordes : al cho
12h90 CEWFT Louvain àlacañe 14h00 T-MSania Bates TV5 Pyramide ,
16h55 TV-5 Revue de presse arabe 18h00 CEWFT Manitoba ce soir monde
16h56 CBWFT 0340 T-M La tu parles! virus T-M Le TVA, édition réseau et 23h02 T-M Fermeture
15h58 CEWFT 0340 17h00 _CEWFT Wetatatow TV.5 Journal télévisé de FR2 20h00 CEWFT Suspect numéro 1 TVA sports 23h30 TV.5 Bas les masques
16h00 CEWFT La Ribambelle T-M Le TVA, édition 18 heures _ 18h30 CEWFT 4 et demi... T-M Ent'Cadieux 22h10 TV.5 3000 scénarios contre un 0h00 CEWFT Politique fédérale
T-M Mongrain TV-5 C'est tout Cofte T-M Drôle de vidéo TV-5 Bas les masques virus 0h10 CBWFT Fin des émissions
TV-5 Découverte 17h30 CBWFT Que le meilleur gagne TV-5 À communiquer 21h00 CBWFT Le téléjournal 22h15 TV-5 Le cercle de minuit 1h00 TV-5 Autant savoir
16h24 CEWFT 0340 T-M Piment fort 18h55 TV-5 Saint-Fulgence, nature T-M Ad lib 22h30 CBWFT Les nouvelles du 1h20 TV-5RFI
16h30 CEWFT Bêtes pas bêtes + TV-5 La cuisine des 19h00 CEWFT À nous deux 21h25 CBWFT Le point sport
TV-5 Journal télévisé belge mousquetaires T-M Les héritiers du rêve 21h90 TV-5 Le soir 3 22h55 CBWFT La météo
17h45 TV-5 Visions d'Amérique 19h30 TV-5 Paris lumières 21h55 TV-5 Visions d'Amérique 23h00 CBWFT La Course destination
TV-6 Journal télévisé de FRS 17h45 TV:5 Visions d'Amérique 21h55 TV.5 Visions d'Amérique CBWFT À tout prix
16h56 CEWFT 0340 18h00 CEWFT Manitoba ce soir virus 22h00 CBWFT Manitoba ce soir 23h02 T-M Fermeture
15h58 CEWFT 0340 17h00 CEWFT Watatatow T-M Chambres en ville 20h00 CBWFT Montréal PQ. T-M Le TVA, édition réseau & 23h30 TV-5 Taratata
16h00 CEWFT La Ribambelle T-M Le TVA, édition 18 heures TV:5 Journal télévisé de FR2 T-M Le match de la vie TVA sports 0h00 CEWFT Découverte
Mardi 29 novembre
T-M Mongrain TV-5 Des chiffres et des lettres 18h30 CBWFT La petite vie TV-5 Taratata 22h10 TV-5 3000 scénarios contreun 1h00 TV-5 Les camets du
TV-5 Les camets du 17h30 CBWFT Que le meilleur gagne TV:5 Téléscope 21h00 CBWFT Le téléjournal virus bourlingueur
bourlingueur T-M Piment fort 19h00 CBWFT Les contes d'Avoniea T-M Ad lib 22h15 TV-5 Les enfants de la télé 0h50 CBWFT En toute liberté
16h24 CEWFT 0340 TV-5 La cuisine des T-M Les grands procès Il 21h25 CBWFT Le point 22h30 CBWFT Les nouvelles du sport 1h30 TV-5 RFI
16h30 CBWFT L'odyssée fantastique mousquetaires 19h30 TV:5 Paris lumières 21h30 TV-5 Le soir 3 22h55 CBWFT La météo 1h45 CBWFT Fin des émissions
TV-5 Revue de presse TV-:5 Visions d'Amérique 20h00 CBWFT Enjeux TV-5 3000 scénarios contreun 1h10 CEWFT Fin des émissions
africaine 18h00 CBWFT Manitoba ce soir T-M Chacun son tour virus 1h15 TV-5RFI
45h58 CEWFT 0340 16h56 CBWFT 0340 T-M La poule aux oeufs d'or TV-5 Lella, née en France 22h15 TV-5 Tête à tête
18h00 CEWFT La Ribambelle 17h00 CBWFT Watatatow TV:5 Journal télévisé de FR2 21h00 CBWFT Le téléjounal 22h30 CEWFT Les nouvelles du sport FILMS
Mercredi 30 novembre
T-M Mongrain T-M Le TVA, édition 18 heures 18h30 CBWFT Santa Maria T-M Ad lib 22h55 CBWFT La météo 23h30 CBWFT Poussière d'ange
TV-5 Évasion TV-5 Des chiffres et des T-M Fort Boyard 21h25 CBWFT Le point 23h00 CBWFT Ma maison Fr. 1987. Drame policier. Après avoir été
16h24 CBWFT 0340 lettres TV-5 Envoyé spécial 21h30 TV-5 Le soir 3 23h06 T-M Fermeture abandonné par sa femme, un inspecteur
16h30 CBWFT L'infemale machine 17h30 CBWFT Que le meilleur gagne 19h00 CBWFT Sous un ciel variable 21h55 TV-5 Visions d'Amérique 23h15 TV-5 Leila, née en France de police décide de partir à sa recherche
du Dr V T-M Piment fort 19h30 T-M À vous de juger 22h00 CBWFT Manitoba ce soir 23h30 CBWFT Cinéma: Poussière et rencontre une jeune femme aux
TV:5 Journal télévisé de FR3 TV-5 La cuisine des 19h45 TV-5 3000 scénarios contre un T-M Le TVA, édition réseau & d'ange allures fantasques mêlée à une double
mousquetaires virus TVA sports Oh45 TV-5 Tell-quel affaire de meurtre.
Jeudi 1er décembre CBWFT 0340 T-M Beverly Hills 90210 T-M Ad lib CBWFT La météo FILMS
17h00 CBWFT Watatatow TV-5 Mémoires de la conquête TV-5 En toute liberté 23h00 CBWFT M'aimes-tu?
45h58 CEWFT 0340 T-M Le TVA, édition 18 heures 19h00 CBWFT Les filles de Caleb 21h25 CEWFT Le point 23h02 T-M Ciné-lune: Aventures d'un 23h02 T-M Aventures d'un soir
16h00 CBWFT La Ribambelle TV: Des chiffres et des lettres 19h30 T-M Qui vive! 21h30 TV-5 Le soir 3 soir Can. 1977. Drame de moeurs. Une
T-M Mongrain 17h30 CBWFT Que le meilleur gagne TV-5 Paris lumières 21h55 TV-5 Visions d'Amérique 23h30 CBWFT Cinéma: La Belle femme solitaire ramène dans son
TV:5 Espace francophone T-M Piment fort 19h45 TV-5 3000 scénarios contre un 22h00 CBWFT Manitoba ce soir Emmerdeuse appartement un ami de rencontre.
16h24 CBWFT 0340 TV-5 La cuisine des virus T-M Le TVA, édition réseau & 0h00 TV-5 Viva 23h30 CBWFT La Belle Emmerdeuse
16h30 CEWFT Les nouvelles mousquetaires 20h00 CEWFT Tous pour un TVA sports 1h00 TS PA Fr. 1977. Comédie. Une jeune femme
aventures des intrépides 17h45 TV-5 Visions d Amérique T-M Claire Lamarche 22h10 TV-5 3000 scénarios contreun 1h02 T-MFerneture résolue à mettre fin à ses jours fait la
TV-5 Journal télévisé de FR3 18h00 CBWFT Manitoba ce soir TV-5 Splendeurs et misères virus 1h25 , CBWFT Fin des émissions connaissance d'un quadragénaire qui
16h55 TV-5 Revue de presse T-M Chop-suey des courtisanes 22h15 TV:5 3000 scénarios contre un s'incruste dans sa vie et boulverse ses
française TV-5 Joumal télévisé de FR2 20h30 CBWFT Fous de la pub virus plans de suicide.
18h30 CBWFT L'Arche de Zoé 21h00 CBWFT Le téléjournal 22h30 CBWFT Les nouvelles du sport
Vendredi 2 décembre T-M Le TVA, édition 18 heures TV-5 Paris lumières TV-5 Le cercle de minuit FILMS 23h05 T-M Les oreilles entre les dents
TV-5 Des chiffres et des lettres 20h00 T-M Star plus 22h30 CBWFT Les nouvelles du sport Fr. 1987. Comédie satirique: Un
45h58 CEWFT 0340 17h30 CEWFT Que le meilleur gagne TV:5 Bouillon de cuiture 22h50 CBWFT La météo 18h00 T-M Labyrinthe criminologue se voit chargé de résoudre
16h00 CEWFT La Ribambelle T-M Piment fort 20h30 CBWFT Histoires fantastiques 23h00 CBWFT Country centre-ville G.-B. 1966. Une adolescente retrouvera Une série de crimes dont les victimes
T-M Mongrain TV-5 Gourmandises T-M Les ailes de la mode 23h05 T-M Ciné-lune: Les orellles Sonpetit frère si elle parvient à traverser sont retrouvées mortes les oreilles
TV:5 Panorama 17h45 TV-5 Visions d'Amérique 21h00 CBWFT Le téléjournal entre les dents en temps voulu le labyrinthe qui mêne au coupées et placées entre les dents.
16h24 CEWFT 0340 18h00 CBWFT Manitoba ce soir T-M Adlib 23h30 CBWFT Cinéma: Agatha châleau du roi des lutins. 23h30 CBWFT Agatha
16h30 CEWFT Les débrouillards T-M Cinéma du vendredi: 21h25 CBWFT Le point médias TV-5 Thalassa 18h30 CBWFT Les marmottes Angl.-ltal.-Jap.-Fr. 1978. Comédie
TV.5 Journal télévisé de FR3 Lamine 21h90 TV Le soir 3 0h30 TV: Intérieur nuit Fr. 1993. Comédie. Comme chaque … cramatique. En décembre 1926, blessée
16h55 TV-5 Revue de presse TV-5 Journal télévisé de FR2 21h55 TV-5 Visions d'Amérique 0h35 T-MFermeture année à la veille de Noël, une famille se apprendre que son mari veut divorcer, la
canadienne 18h30 CBWFT Les grands films: Les 22h00 CBWFT Manitoba ce soir 1h05 CBWFT Fin des émissions retrouve pour les vacances dans une célèbre auteure de romans policiers
16h56 CEWFT 0340 mermotiss T-M Le TVA, édition réseau & 1h30 TV-5 RFI station de ski à Chamonix. Agatha Christie disparaît mystérieu-
17h00 CEWFT Fais-moi peur! TVS Thalassa TVA sports sement.
Samedi 3 décembre T-M Ciné-maximum: Le cri de CBWFT Lance et compte ou La G.-B. 1988. Comédie fantaisiste. Dans
la liberté 16h00 CBWFT La ruée vers l'art soirée du hockey Molson à nightbreaker l'espoir d'appâter des clients, un
7h30 CEWFT Vazimolo TV-5 Luna park T-M Vidéo rock détente Radio-Canada 23h10 CBWFT Télé-sélection: châtelain annonce que sa vieille
T-M Vision mondiale 11h30 CBWFT Vidéoclips TV:5 Génies en herbe TV.5 Faut pas rêver L'incroyable défi résidence qu'il a transformée en hôtel
7h31 CEWFT Les oursons volants TV:5 Journal télévisé suisse 16h30 T-M Perfecto 19h30 TV:5 Clip postal 23M5 | TW:5 Perdu de vue est hantée.
8h00 CBWFT Le monde irrésistible 12h00 CBWFT La semaine TV-5 Journal télévisé suisse 20h00 T-M Magie sur glace Banque 0h56 T-M Fermeture 22h56 T-M Opération nightbreaker
à Ottawa 17h00 CBWFT Le téléjourmal Royale 1h15 TV-5 Décryptages Am. 1989. Drame social. Alors qu'il
de Richard Scarry q
8h20 CBWFT Looping TV-5 Bouillon de culture T-M Le TVA, édition 18 heures TV Perdu de vue 1h30 CBWFT Fin des émissions s'apprête à recevoir un prix honorifique,
8h30 T-M Le défilé du Père Noël 12h30 CBWFT Vidéoclips TV-5 Rédacteur en chef 21h30 CBWFT Le téléjournal 1h45 TV-5RFI un neurologue se culpabilise d'avoir
8h45 CBWFT La petite sirène 13h00 CBWFT L'univers des sports 17h20 CBWFT Raison passion 21h50 CBWFT Les nouvelles du sport participé à de novices recherches sur le
Sh10 CEWFT Valimolo 13h30 TV-5 Décryptages 17h30 T-M Docteur Doogie 22h00 _T-M Le TVA, édition réseau & FILMS nucléaire.
9h45 CBWFT La bande à Dingo 14h00 T-M Magie sur glace Banque TV-5 Magellan TVA sports 11h00 T-M Le cri de la liberté 23h10 CBWFT L'incroyable défi
10h00 T-M C'est un abat Royale 17h45 TV-5 Visions d'Amérique TV-5 Le soir 3 Am. 1987. Drame social. Le drecteur d'un É (y. 1988. Drame. Une des meilleures
TV. TV-5 Magazine olympique 18h00 CBWFT RBO Hebdo 22h10 CBWFT Comment ça va? quotidien libéral d'Afrique du Sud se lie 4; ; rai à
5 Le jardin des bêtes : * #8 écoles secondaires américaines fait face
10h05 CBWFT Tiny toons 14h30 TV-5 Autovision T-M Ciné-extra: Les fantômes 22h25 TV-5 Visions d'Amérique d'amitié avec un leader nor, ce qui lui vaut à de graves problèmes de drogue et de
10h30 CEWFT Bravo la famille 14h45 TV-5 À bon entendeur sont cinglés 22h40 CBWFT Montagne d'être surveillé par les autorités. violence. Les autorités espèrent que le
11h00 _CBWFT Génies en herbe 15h00 TV:5 Refets TVS Journal télévisé de FR2 22h45 TV-5 Feut pas rêver 18h00 T-M Les fantômes sont cingiés nouveau directeur saura rétabir l'ordre.
Dimanche 4 décembre T-MJE. 21h00 CBWFT Les beaux dimanches: noiseuse
ie-Rei de TV-5 Faut pes rêver 17h45 TV-5 Visions d'Amérique Dossier T-M Vision mondiale
Montréal par Son Éminence le 14h00 CBWFT Faites vos gammes 18h00 CBWFT Le téléjournal T-M L'événement 0h30 TV-57sur7
7h31 CBWFT Les nouvelles Cardinal Jean-Claude Turcotte, TV-5 On aura tout vu! TV-5 Journal télévisé de FR2 TV-5 On aura tout vu! 0h45 T-M Fermeture
aventures de Winnie l'ourson archevèque. 14h30 TV-5 Le monde est à vous 18h10 CBWFT Découverte 21h30 TV-5 Le soir 3 1h20 CBWFT Fin des émissions
7h50 CBWFT Les mystérieuses T-M Complètement marteau 15h00 CBWFT Sous la couverture 18h30 T-M Le cinéma néon: Faux 21h55 TV-5 Visions d'Amérique 1h30 TV-5SRFI
cités d'or TV:5 Planète musique 15h30 T-M Sport magazine frères 22h00 CBWFT Le
8h00 T-M Vision mondiale 10h30 T-M Finances 16h00 CBWFT La course destination TV.57 sur7 T-M Le TVA, édition réseau & FILMS
8h20 CBWFT Le Noël de Madeline 10h55 TV-5 Planète monde 19h00 CBWFT Surprise sur prise TVA sports 18h30 T-M Faux frères
8h40 CBWFT Doug 11h00 CBWFT Aujourd'hui dimanche T-M Automag plus 19h30 TV-5 Paris lumières 22h15 TV-5 Le cercle de minuit Am. 1991. Drame de moeurs. L'amitié
8h55 CBWFT Vazimolo T-M La trentaine TV-5 30 millions d'amis 19h45 TV-5 3000 scénarios contre un 22h20 CBWFT Scully rencontre de deux étudiants en droit qui
9h00 _T-M Les ailes de la mode TV-5 À communiquer 16h30 T-M Vins et fromages virus 22h45 T-M Complètement marteau la même chambre sur le campus
9h15 CBWFT Manigances 11h35 TV-5 Journal télévisé suisse TV-5 Journal télévisé suisse 20h00 CBWFT Les beaux dimanches: 22h50 CBWFT Les nouvelles du sport universitaire.
9h30 T-M Bon appétit 11h55 T-M Football N.F.L. 1994-95 17h00 CBWFT Second regard Requiem pour elles 23h15 CBWFT En toute liberté 29h45 CBWFT La belle noiseuse
9h45 CEWFT Parcelles de soleil 12h00 CBWFT Le téléjournal T-M Le TVA, édition 18 heures TV-5 Ah! Quels titres T-M Finances Fr. 1991. Drame. À la demande d'un vieil
10h00 CBWFT Le Jour du Seigneur TV-5 Ah! Quels titres TV-5 L'école des fans 20h30 T-M La vie des gens riches et 23h30 TV-5 L'heure de vérité ami, un peintre termine une oeuvre
12h05 CBWFT La semaine verte 17h30 CBWFT Ce soir magazine cékbres 23h45 CBWFT Ciné-club: La belle commencée dix ans plus tôt (1re de 2)
10,. LA LIBERTÉ, la semaioe.du 25-novembre-au #°! décembra 1994. :
Spécial WP 11/1:11/ AE économique
Le ministre Jim Downey sera l'orateur invité
«Le bilinguisme n’a pas été promu
«Le bilinguisme est un
aspect très positif de notre
développement économique
comme province, et c'est un
aspect qui n’a pas encore été
exploité à sa juste mesure.»
Le ministre Jim Downey entend
faire ce message aux 300 partici-
pants du Forum de déve!
économique du 3 décembre
prochain, qui se déroulera au
Collège universitaire de Saint-
Boniface sous l'égide de l'Associa-
TOUJOURS
GRATUIT
- 6 000 copies
distribuées
partout au Manitoba
et hors province
- Inscrivez votre
entreprise en
appelant 233-ALLÔ
(2556)
ou le 1-800-665-4443
On peut se procurer
un annuaire:
* aux Caisses popu-
laires du Manitoba;
- à la Bibliothèque de
Saint-Boniface;
assez agressivement»
tion des municipalités bilingues du
Manitoba (AMBM).
Le but du Forum est d'aider les
dix municipalités membres à faire
le virage économique en prenant
elles-mêmes des responsabilités
face au développement dans les
milieux ruraux. Le Forum sera
aussi une occasion de concerter
les efforts dans les régions.
Jim Downey croit que la Provin-
ce bénéficie grandement de la
présence de la communauté
ANNUAIRE
DES SERVICES EN FRANÇAIS
AU MANITOBA
1 595 +
47e
en hope tone ‘
- au Centre culturel franco-manitobain:;
+ au Collège universitaire de Saint-Boniface;
+ au Centre d'information 233-ALLÔ.
233-ALLÔ (2556) ou le 1-800-665-4443
#58
En annonçant un changement de statue au Palais législatif en 1992, le ministre Downey (à gauche) en
compagnie du président des Métis de l'époque, Yvon Dumont, ne se doutait sans doute pas que la
statue de Riel de Lemay pouvait devenir une attraction touristique à Saint-Boniface. La statue doit en
effet être installée devant le CUSB.
francophone. «Il y a de la compé-
tition entre les différentes commu-
nautés, localement et globalement.
Ce que nous allons dire dans nos
tournées commerciales au Québec
et en France, c'est qu'il y a d'autres
régions où on parle le français.
C'est un atout qui va nous rapporter
énormément (‘tremendously”).
«Par exemple, j'arrive du
Japon d’une rencontre mondiale
des ministres du Tourisme où j'ai
appris que, par l'an 2005, il y
aura deux millions de touristes
japonais au Canada.
«On sera donc à la recherche
d'opportunités touristiques. Et
quand on leur parle du Festival du
Voyageur, on a l'avantage de
pouvoir ajouter d'autres dimen-
sions culturelles. || n'y a pas que
des ours polaires au Manitoba. Je
suis très emballé par ça.»
Quant à sa vision de ministre
de l'Industrie, du Commerce et du
Tourisme au niveau local, Jim
Downey fait savoir qu'il va
informer les participants au Forum
de deux situations précises: les
centres de télémarketing et le
tourisme.
On sait que le Manitoba fait la
lutte au Nouveau-Brunswick pour
l'obtention de centres d'appels.
La Province a mis sur pied un
Call Centre Team qui fait des
propositions commerciales dans
des grandes villes canadiennes
et américaines et se positionne
comme un compétiteur à la ville
Les municipalités bilingues en chiffres
Nombre d'habitants
(% de francophones)
Nombre
d'employeurs
Nombre d'employés
(% de bilingues
M. R. de De Salaberry 2 985 (54,6 %) PA 562,4 (67,6 %)
Saint-Pierre-Jolys
Saint-Jean-Baptiste
Saint-Joseph
Letellier
Ces [es | es |
[www | « | en |
www [nm | res |
Mol pour à
Premier employeur
(nombre d'employés)
Providence College
Theological Seminary (60)
Hôpital (44)
Écoles (41)
Parent Seed (20)
Notre-Dame-de-Lourdes 614 (81,4) pt 513 (85 %) Foyer Notre-Dame (105)
Saint-Claude
Saint-Léon
613 (70,1 %) BE 238 (78,5 %) Ë
Le)
sm | | mon | commentent
Village de Sainte-Anne 1477(592% | & | 615 (80,8 %)
Île-des-Chênes
Sainte-Agathe
Saint-Adolphe
La Broquerie
(Village et M.R.)
[mm | e | men
DETTE ME ET ET
RE a
Village: 550 (90 %)
30
Pour retraités (30)
Foods (30)
Villa Youville (131)
Écoles (69)
Saint-Adolphe
Nursing Home (70)
de Moncton. (Voir l'entrevue avec
John Helston de Développement
rural.)
«Les communautés bilingues
peuvent être les champions de
leur propre développement,
somme le ministre, au lieu de
laisser faire les autres. On n'est
pas assez agressif avec l’atout
bilingue.» Les villages francopho-
nes peuvent donc se promouvoir
comme sites possibles de petits
centres d'appels.
«Au niveau touristique, il y a un
potentiel énorme de développe-
ment. Seulement du Québec, il
passe chez nous 600 000 touristes
par année! On ne fait pas la promo-
tion des communautés franco-
phones assez agressivement.»
La conférence du ministre Dow-
ney est prévue pour 10 h. Le Salon
économique qui se tiendra dans le
cadre du Forum sera inauguré
officiellement par le premier ministre
Gary Filmon à 12 h 15.
Jean-Pierre DUBÉ
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. LA LIBERTÉ, la semaine du 25. novembre.eu 1° décembre 1994. 11.
Spécial WUT:17E
Le gouvernement du Manitoba et son Call Centre Team seront présents au Forum
Le Manitoba à l’heure des communications
La vente de produits et servi- «Presque toutes les entreprises Nouveau-Brunswick; mais on est
ces au téléphone a augmenté que nous rencontrons, dans la le numéro deux en ce moment.
d'un taux effarant en dix ans aux province comme à l'extérieur, font Quand on est au 2e rang, on
États-Unis, passant de 50 à 500 une partie importante de leurs travaille plus fort!
milliards $ entre 1983 et 1994. Au affaires au Québec et au Nouveau- : ÿ o
Canada, le rattrapage dans le Brunswick. C'est même le cas de Je suis un employé du Déve
À loppement rural, lance John
ng direct pourrait se faire compagnies de Toronto. Elles ont MAR (Où a dès cosslère aur 16
par des augmentations de 200% besoin de 25 à 40 % d'employés :
communautés qui sont intéressées
à un centre d'appel (1). Pour les
centres de marketing qui deman-
dent de 25 à 50 postes, c'est
certain qu'on peut les accomoder
dans un centre rural; les plus gros,
ils veulent s'établir à Winnipeg.
«Selon Statistique Canada il
y aurait 107 000 bilingues au
Manitoba. Nous, on croit que ce
chiffre est valable et qu'il y a
quelque 65 000 bilingues dans
les environs de Winnipeg.»
Cela veut-il dire que n'importe
quel village francophone pourrait
accueillir un centre d'appel au
cours des prochaines années?
John Helston le croit.
par année, croit-on. Pour le mo-
ment, on retrouve le Nouveau-
Brunswick et le Manitoba parmi
les gros joueurs. Devinez pour-
|
bilingues. |! y en a même qui vont
jusqu'à préférer 100 % de bilin-
gues!»
John Helston est le directeur
exécutif du Call Centre Team de la
Bon succès!
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«il y a 3 000 personnes qui
travaillent dans les communica-
tions en ce moment à Winnipeg
(chez AT & T, Faneuil, Integrated
Messaging, Air Canada, CP Air,
; CN, etc.). Les entreprises paient
des bonis pour le bilinguisme.
LE SERVICE D'APPEL
pu MANITOBA
Le Manitoba est reconnu comme étant le meilleur endroit
au Canada pour installer une centre d'appel téléphonique.
Cette province offre plusieurs avantages stratégiques et
un énorme potentiel.
Où trouver les bilingues? John Helston croit qu'une des solutions
est de collaborer avec le Collège universitaire de Saint-Boniface
pour que les finissants soient mieux préparés aux exigences du
marketing direct.
«Il y a des opportunités non
seulement à Winnipeg, mais
aussi dans des centres comme
Saint-Lazare et Sainte-Rose-du-
Lac. Au gouvernement, on croit
que cette idée du rural peut faire
du chemin.
tem, Industrie, Commerce et Tou-
risme Manitoba, et le ministère du
Développement rural.
province, mis en place en 19983. |
est responsable de la présidence
d'un comité réunissant des promo-
teurs publics et privés: Winnipeg
2000, Manitoba Telephone Sys-
«On est nez à nez avec le «Les gens aiment les milieux
ruraux: il y a une très bonne
qualité de vie et le coût de vie est
bas. Nous serons au Forum de
l'Association des municipalités
bilingues; on espère passer du
temps à rencontrer les représen-
tants municipaux. Notre mandat
comme gouvernement, c'est de
réunir les intervenants.»
Un village
Où il fait
bon
s'établir!
Le bilinguisme et la qualité de
vie ne sont pas les seuls atouts du
Manitoba. Il y a aussi l'heure
centrale normale, qui permet aux
entreprises nationales d'épargner
dans les heures de travail supplé-
mentaire.
Présentement, les 20 employés
Le sr or or OS
«. Profitabilité
Développement communautaire de per 94 Inc.
Sainte-Agathe Community Develoment Inc.
Personnel
multilingue
La Chambre de commerce
francophone de Saint-Boniface
a pour mie de favoriser, d'améliorer et de promouvoir
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Travail d'équipe Berre Eique s0Ga' et économique répona | _OI1 SUCCÈS QU
Au coeur de l'Amérique du Nord à ms salon
Bénéfices aux membres : économique de
Une population fiable fait partie d'un réseau ’ rt
US ai puissant de gens d'affaires; l'Association des
Accès à la participe aux activités de la Chambre municipalités
technologie de pointe inclus les diîners-rencontres) ; bilingues du
; | influence sur la politique dans notre ,
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(dont dix à temps plein) du Call
Centre Team travaillent sur des
cas à Chicago, Toronto, Montréal,
Ottawa et même à Vancouver.
«On croit que le Nouveau-
Brunswick arrive à un point de
saturation, poursuit John Helston.
Moncton a environ 25 centres
d'appels et ce n’est pas certain
qu'on pourra y trouver d'autres
bilingues pour des nouveaux
projets.»
John Helston ne cache pas se
gêne devant le fait que le Call
Centre Team du Manitoba n'a pas
encore de documentation bilingue.
«C'est une de nos faiblesses, on
sait qu’il faut régler ça.»
Également, ‘équipe ajoutera
sous peu du personnel bilingue,
fera traduire son Guide pour la
mise en place d'un centre d'appel
et son Guide pour l'évaluation de
l'opportunité d'établir un centre
d'appel.
Jean-Pierre DUBÉ
(1) Le service à la clientèle est un
concept-clé des années 90. Fournis par
téléphone, ces services réunis dans un
centre d'appel permettent de rejoindre les
UEFA économique
La Broquerie veut offrir des service comme
dans les grands centres
Pour grandir,
penser grand
La Municipalité de La Broque-
rie voit ses alentours agrémen-
tés d’une nouvelle bâtisse d’une
superficie de 5 200 pi? qui sera
terminée d'ici le début du mois
de mars 1995. On y retrouvera,
entre autres, le bureau municipal
et la salle du conseil.
«Il y aura 2 300 pi? en espaces
à louer, précise le conseiller Ronald
Vielfaure. N'importe qui pourra
louer, mais on compte principa-
lement sur des gouvernements et
sur des commerçants, car ça
permettrait de créer des emplois.
«On croit aussi que les méde-
cins qui viennent à La Broquerie
deux fois par semaine et que
l'avocat qui vient offrir ses services
une fois par semaine vont y
installer leur bureau. S'il y a une
bonne demande, il y aura possible-
ment un agrandissement.»
En plus d'être considéré comme
le plus grand centre laitier du
Manitoba, La Broquerie obtient
aussi la cote du développement le
plus rapide, et pour cause. Par
exemple, Vielfaure, grands éle-
veurs de porc de la région, sont
présentement en train de cons-
truire une importante porcherie.
«Ça va sûrement créer d'autres
emplois, soutient le secrétaire-
trésorier Laurent Tétrault Par
ailleurs, nous avons officiellement
parlé au ministre de l'Agriculture
afin d'obtenir la construction d'un
abattoir pour les cochons dans la
région. Toutefois, ils n’ont pas
encore décidé de l'endroit. On
200, AVENUE DE LA CATHÉDRALE
SAINT-BONIFACE (MANITOBA) R2H OH7
(204) 233-0210
espère que ce sera près de La
Broquerie.»
Cette année, la Municipalité
espère attirer encore davantage
les touristes, surtout durant la
saison hivernale. Pour ce faire, le
Golf La Vérendrye, en collabora-
tion avec l'Association du ski de
fond du Manitoba, entend aména-
ger des pistes de ski de fond sur
son terrain. «Tout est là, il faut
juste l'utiliser et le promouvoir pour
que ce soit attrayant, ajoute Ronald
Vielfaure.»
D'autre part, la Municipalité de
La Broquerie s’est agrandie cette
année. Entre 25 et 30 nouvelles
familles, tous des jeunes couples,
sont venues s'y installer. La
Municipalité a du reste accordé
près de 80 permis de construction
de maisons et de bâtisses agricoles.
«L'économie est stable, on a un
bon comité de citoyens qui a du
leadership et qui est clairvoyant,
affirme Laurent Tétrault. Les gens
sont attirés par nos écoles qui sont
très bien aménagées et par les
services qu'on retrouve au village.
Nos terrains sont également
parfaits pour le résidentiel, puis les
gens viennent habiter ici parce
qu'ils sont près de la ville.»
Par ailleurs, près de 25 repré-
sentants de la municipalité de La
Broquerie, dont plusieurs commer-
çants, participeront au Forum
économique de l'Association des
municipalités bilingues du Manito-
ba le 3 décembre prochain.
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Un forum économique important pour Notre-Dame-de-Lourdes
Comment arrêter
l'exode des jeunes?
Vielfaure de La Broquerie.
Le village de Notre-Dame-de-
Lourdes souhaite développer
son secteur industrie dans les
années à venir. «Nous ne possé-
dons, qu'une seule industrie qui
fabrique et exporte le métal, ainsi
qu’un machiniste. Je crois qu'il
y a donc un manque à ce niveau
là», souligne insiste le conseiller
municipal, Denis Bibault.
«Au cours des années passées,
nous avons réussi à mettre sur
pied de bonnes institutions qui
contribuent à faire de notre secteur
tertiaire une réussite. Cependant,
je crois que nous pourrions
D LA LIBRE le,semaine du 25.noyembre au. 191 décembre 1994: ,13
Denis Bibault (à droite), président de l'Association des municipalités bilingues, en compagnie d’Aimé
maximiser le développement des
entreprises du secteur primaire,
c'est-à-dire le secteur agricole, en
augmentant le plus possible la
production locale de denrées afin
de réduire les importations».
À partir du Forum économique
de l'Association des municipalités
bilingues, auquel 25 personnes de
Notre-Dame-de-Lourdes partici-
peront,Denis Bibault espère bien
qu'il se créera au sein de sa
communauté un esprit de con-
fiance collective. || espère ainsi
assurer la durabilité des projets qui
seront proposés plus tard dans
l’année par un groupe formé lors
du forum économique. Ce dernier
assurera la mise sur pied d'objec-
tifs économiques, sociaux et
culturels spécifiques pour chaque
village de la région.
«Pour l'instant, les gens ont
peur du développement économi-
que, ils n'ont pas l'esprit d'entre-
prise. Les nouvelles entreprises
Saint-Pierre-Jolys,
le Village canadien de l'Ouest
où il fait bon vivre
et où la communauté
et le monde des affaires ont
un avenir prometteur.
photo: Hubert Pantel
qui se sont implantées au cours
des dernières années, comme
celle du porc, se sont bâties à partir
d'individus et sans la participation
de la Chambre de commerce.
«On veut changer ça! La
viabilité du développement du
village dépend du mouvement de
sa population, du résultat d’un
effort collectif. Il faut se tenir aux
niveaux de l'économie et du
fonctionnement de l’entreprise. Ça
nous prend une force collective!
«Prochainement, avec l'apport
du Forum économique et d'un
agent de développement économi-
que, qui sera nommé par la
Chambre de commerce, j'espère
que nous pourrons mettre sur pied
des projets viables pour maximiser
les atouts de la région et arrêter
l'exode des jeunes vers la ville.
Bref, il faut se tenir!»
Nathalie BLAIS
Spécial ET:
Sainte-Agathe, futur centre routier?
La longue route du développement
Après avoir surtout misé sur
le tourisme ces dernières
années (Journée Cheyenne), la
communauté de Sainte-Agathe
songe maintenant à mettre en
valeur ses atouts pour du
développement industriel.
Le Comité de développement
économique voudrait par exemple
développer un parc industriel sur
une zone de 140 acres située à
l'extérieur du village, entre la
route 75 et la ligne de chemin de
fer.
Le Comité s'est fixé trois ans
pour mettre en oeuvre le projet.
Entre autres étapes indispen-
sables, il faut obtenir le rezonage
du terrain (ce qui nécessite l'accord
de la Municipalité, du District et de
la Province). Il faut aussi, bien sûr,
obtenir une entente avec les quatre
propriétaires.
Albert Dumesnil, président
sortant du Comité de développe-
ment (le nouveau président est
Louis Robert), croit qu'un centre
routier régional pourrait voir le jour
sur le futur parc industriel. || s'agirait
de capter les camions de plus en
plus nombreux qui passent sur la
route transaméricaine 75 (presque
entièrement à quatre voies), et
ceux qui transitent par la route 305,
récemment pavée, qui relie la 75 à
la 59.
«Mon frère, qui travaille aux
douanes d'Emerson, m'a fait
remarquer que le trafic a
beaucoup augmenté ces dix
dernières années, spécialement
depuis que le poste de douanes
est ouvert 24 h sur 24. Et la
progression va continuer.»
Quel genre de services ce
centre routier pourrait-il offrir?
«Par exemple, un entrepôt des
douanes (“bonded warehouse”),
un centre de distribution, une
gare d'arrêt pour les camions et
des postes d'essence», énumère
Albert Dumesnil.
est fière de faire partie
de cet effort pour
le dévelopement économique
de notre communauté.
Daniel Faucher
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(204) 758-3512
L'entrepreneur en construction
croit aussi que le nouveau système
d'eau, qui approvisionne Sainte-
Agathe en abondance, pourrait
faire fleurir quelques industries. ||
pense notamment à l'entreprise de
bois de son ami Robert Newman,
expropriée récemment pour per-
mettre la construction de la Place
Des Meurons, à Saint-Boniface.
«Pour ce genre d'entreprise, il faut
beaucoup d'eau à cause des systè-
mes ant-incendies», précise-t-il.
Il croit que Robert Newman,
lui-même membre du Comité de
développement économique de
Sainte-Agathe, serait d'autant
plus intéressé à s'installer dans
le village que la majorité de ses
produits sont expédiés aux États-
Unis.
Albert Dumesnil et plusieurs
membres du Comité de développe-
Saint-Claude veut explorer de nouvelles voies
Des maisons pour les aînés,
des activités pour les touristes
Comme dans toute commu-
nauté qui se respecte, Saint-
Claude a bien des projets en tête.
Cependant, contrairement à
d'autres petits villages, rien ne
presse vraiment. En fait, l’éco-
nomie, les commerçants etles
résidents semblent se porter
plutôt bien.
«C'est certain qu'on a
quelques projets, mais pour les
réaliser, il faut commencer par
embaucher un agent de
développement économique,
confirme Agnès Lacroix,
conseillère municipale. C'est
prévu pour le début de l’année
1995 et ça représente un gros
coût pour le village, puisque la
Chambre de commerce est aux
prises, depuis un certain temps,
avec un ralentissement au niveau
des projets.
«L'agent de développement
économique aura comme princi-
paux défis la mise sur pied d'un
complexe immobilier pour les
personnes âgées de 55 ans et
plus, semblable à la Place Des
Meurons à Saint-Boniface. La
personne aura aussi la respon-
sabilité d'étudier une offre pour
l'implantation d’une entreprise
d'ordinateurs à Saint-Claude qui
offrirait des services spécifiques à
la population du village.
«De plus, nous souhaitons
rénover le terrain de camping qui
est laissé à l'abandon depuis
quelques années, afin d'attirer
plus de personnes à Saint-
Claude. Enfin, nous avons
pensé à la création d'une activité
culturelle pour le 14 juillet, une
sorte de festival de la musique
française. Bref, le nouvel agent
de développement économique
aura quelques projets sur la table
à son arrivée!»
D'un autre côté, le leader de
l'industrie laitière de Saint-Claude,
c'est-à-dire l'usine de Beatrice
ment participeront au forum du 3
décembre à Saint-Boniface. «Je
me rappelle que dans le temps,
chaque place voulait avoir tout
pour elle-même. Mais je crois que
la mentalité est en train de changer.
On essaye de s'entraider l'un
l’autre. Et l'Association des
municipalités bilingues peut nous
aider.»
Laurent GIMENEZ
Foods se porte à merveille. Denis
Bazin, gérant de l'usine, nous
affirme que cette année, il gardera
le même nombre d'employés pour
la saison hivernale. «Habituelle-
ment, nous devons couper
pendant l'hiver; on passe de 35 à
30 employés. Cette année, on n'a
pas d'autre choix que de garder
tout notre monde, puisque la
quantité de lait qu'on reçoit est
beaucoup plus importante que les
années passées. On a donc
augmenté la production de beurre
et de poudre de lait. Ça va assez
bien!»
Avec une situation économique
qui semble si positive, on peut se
demander ce qui pourrait faire du
tort à Saint-Claude ? Eh bien,
absolument rien, puisque les
principaux employeurs du village,
tels Beatrice Foods, l'hôpital,
l'école et la caisse populaire sont
là pour rester !
Nathalie BLAIS
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14 LA LIBERTÉ, la semaine du 25 novembre au 1°" décembre 1994
| virage économique
La Municipalité rurale de Montcalm
La Municipalité de Montcalm
a presque terminé son plan de
développement économique. En
décembre, le conseil rencon-
trera des représentants de
Développement rural pour faire
approuver le plan et le zonage
proposés.
Philippe Sabourin travaille
depuis un an comme agent de
développement économique
pour Saint-Jean-Baptiste, mais
«en réalité, je fais beaucoup de
travail au niveau de toute la
Municipalité.
«Un de mes premiers projets
a été l'organisation de Vision
Montcalm, une table ronde pour
parler des priorités et de l'avenir
de la Municipalité. Au début, on
allait le faire seulement à Saint-
Jean-Baptiste, mais on a
embarqué tout le monde en se
disant qu'on serait plus fort.»
C'est d’ailleurs un esprit de
collaboration qui semble animer
les trois villages de Montcalm
UN SERVICE EN FRANÇAIS?
Pas de problème.
Servir ma clientèle en français,
c'est m'assurer une clientèle répétitive!
(Saint-Jean-Baptiste, Letellier et
Saint-Joseph). Les trois collec-
tivités veulent travailler ensemble
pour développer les atouts touris-
tiques comme le Musée de Saint-
Joseph, le camping de Saint-Jean-
Baptiste, les pistes de ski de fond,
la pêche sur la rivière Rouge, etc.
La coopération dépasse égale-
ment les frontières de la Munici-
palité, comme en témoigne l'étude
de faisabilité entamée au début
novembre concernant une usine
de recyclage de pneus. Ce projet
de la Corporation de développe-
ment de Saint-Jean-Baptiste est
financé en partie par la Municipalité
et par Triple R Community Futures
Development Corporation. . -
Le préfet Florent Beaudette
signale que la Municipalité, vu
son isolement dans la vallée de
la rivière Rouge, a adopté une
attitude de région autant que de
municipalité, c'est-à-dire qu'elle
recherche les partenariats
permettant le développement.
«ll y a un esprit de coopération
pour le bien de la région. Par
exemple, nous avons proposé
l'ouest de la rivière Rouge, avec
l'aide des gens de cette région,
comme site possible pour une
grande porcherie.»
Le village de Saint-Jean-Bap-
tiste accorde une certaine impor-
tance au développement écono-
mique depuis plus de 20 ans, si on
considère que la Corporation de
développement date de 1972.
Un tournant vers le tourisme”?
Montcalm lui verse un pourcentage
de ses taxes foncières (environ 4
000 $ par année).
Mais le développement se fait
attendre. Depuis quelques années,
le grand dossier est l'usine de
déchets dangereux, qui n'a pas
encore débloqué. «Aucune entre-
prise d'envergure ne s'est installée
dans Montcalm, remarque Florent
Beaudette. Au contraire, on a
perdu du terrain côté services: on
n’a plus de garage à Saint-Jean-
On innove, on rénove et on fête
Saint-Léon se refait une beauté
Un vent de changement et de
bonne fortune a balayé le petit
village de Saint-Léon en 1993-
1994. On a décidé de changer
les égouts, on a réparé le clocher
de l'église pour son 100e anni-
versaire et, comble du succès, la
Coop a battu son propre record
de ventes, en plus de faire des
profits considérables.
C'est au printemps dernier que
Saint-Léon élaborait un important
projet de restauration de ses
égouts au coût de 385 000 $,
permettant d'améliorer la qualité
de l’eau et de l'environnement.
Sans perdre de temps, les
ouvriers ont commencé les travaux
au cours des derniers mois, mais
la majeure partie du travail se
poursuivra au printemps 1995.
«Ç'est une firme d'ingénieurs et
de consultants de Winnipeg qui a
fait l'évaluation des travaux et qui
les exécute, confirme Raynald
Labossière. Le village a eu une
BFD
subvention de 255 000 $ grâce au
Programme d'infrastructure des
gouvernements fédéral et provin-
cial, ce qui veut dire que Saint-
Léon débourse 130 000 $.»
En tant qu’ancien directeur
général de la Coop Raynald
Labossière se tient toujours à
l'affût de ce qui s'y passe. «En
1993, la Coop a eu sa plus
grosse année. On a fait plus de
15 000 000 $ de ventes avec un
surplus de 1,2 million $.
«La Coop offre un bon service,
elle est très compétitive au
niveau des prix de ses produits
et qu’elle est dirigée par des gens
qui connaissent bien le marketing
et la finance. Les huit autres
succursales, qui opèrent dans
d'autres centres, ont également
augmenté considérablement
leurs ventes.» Et si on demande
à l'ancien directeur ce qu'il
prévoit pour l'année 1994 ? «Je
crois qu'elle sera aussi bonne
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LA LIBERTÉ, la semaine du 25 novembre au 1°" décembre 1994
Baptiste (trois auparavant) et on a
perdu quelques magasins dans la
Municipalité.
«Montcalm agit en fonction des
opportunités qui se présentent. La
Municipalité peut faire des grands
plans, mais ce n'est pas nous qui
allons faire le développement
économique: ce sont les entrepre-
neurs intéressés. On encourage la
diversification.»
Karine BEAUDETTE
que l’année 1993 !»
Cette année à Saint-Léon, le
jour de Noël plus précisément, les
villageois fêteront le centenaire de
leur église. Pour cette occasion,
on a réparé le clocher, afin qu'il soit
en bon état de fonctionnement
pour le grand jour. C'est l’arche-
vêque de Saint-Boniface Antoine
Hacault, qui célébrera la messe le
soir de Noël. Il prend donc la
relève de Mgr Wilfrid Jubinville, qui
célébra la première messe à
l'église de Saint-Léon, le 25
décembre 1894.
Le Conseil du village espère
aussi envoyer une dizaine de
personnes au Forum économique
de l'Association des municipalités
bilingues du Manitoba le 3
décembre prochain. On veut
recevoir des propositions et
prendre des décisions.
Nathalie BLAIS
Nous finançons les entreprises.
Nous fournissons des conseils de gestion.
A en juger d'après le nombre
d'organismes en charge du
développement économique
dans la région de la municipalité
de De Salaberry - chambres de
commerce à Saint-Pierre et à
Saint-Malo, comités de dévelop-
pement économique à Saint-
Pierre et à Saint-Malo et Eastman
Development Corporation -, on
pourrait s'imaginer qu'il se passe
bien des choses.
Pourtant, le développement
économique se fait lentement et de
façon désordonnée, selon Daniel
Faucher, président de la Chambre
de commerce de Saint-Malo. «La
municipalité dit qu'elle appuie le
développement économique, mais
on attend. Dans les municipalités
avoisinantes, il y a des argents
alloués directement au développe-
ment.
«Le bénévolat fonctionne
jusqu'à un certain point, mais on
aurait besoin d'une personne, au
moins à temps partiel, pour
s'occuper du dossier. C'est
Spécial RCE
Malgré le manque d'organisation dans De Salaberry
On rêve aux Manitoba Games de 2008!
vraiment nécessaire pour la survie
des communautés. À cause d'un
manque d'organisation, l'essor ne
se fait pas dans les villages
francophones.»
Daniel Faucher dénonce aussi
le fait qu'il n'existe pas de plan
de zonage. «Il n'y a pas de plan
qui précise quelles régions sont
réservées pour quel genre
d'industrie. Les deux industries
principales dans De Salaberry,
c'est l’agriculture et le tourisme.
«Pour le développement, il
faut s'appuyer sur nos forces,
mais il faut développer de façon
rationnelle. Bravo si on peut bâtir
une industrie du porc; mais si,
par exemple, l’industrie du
tourisme en souffre, on atteindra
la moitié du potentiel.»
Les communautés de Saint-
Malo, Saint-Pierre, Dufrost et
Otterburne devront aussi travailler
ensemble pour réussir à attirer
les Manitoba Games en 2008.
«C'est un projet à long terme,
Où que vous soyez,
votre caisse populaire est là :
pour vous prêter main forte...
depuis plus de 50 ans.
LA LIBE
+001 test
16
L
, la Semaine du 25 novembre au 1°"
16 tte on És
dépembre 994
VO eue pu EE LA Ke bons
signale Louis Courcelles, un des
représentants du Sud pour la
Eastman Sports Development
Corporation. C'est un rêve qui est
réalisable, avec la participation de
toute la région.»
L'idée vient du Comité de
développement de Saint-Pierre-
Jolys, mais «c'est un trop gros
k ne a UE He k Su FAP an
La centre du commerce et de la paroisse de Saint-Pierre-Jolys.
projet pour le Village tout seul. Il
Un groupe de résidents étudie le projet
faudrait que la Municipalité de De
Salaberry et les autres collectivités
autour s'impliquent. L'idée, c'est
que tout développement dans la
région se fasse avec un but,
comme les Manitoba Games.» Le
projet d'envergure demanderait
l’aide de 2 500 bénévoles et aurait
des retombées économiques
importantes.
Par ailleurs, Réal Curé, prési-
dent du Comité de développement
de Saint-Pierre-Jolys, affirme que
«si les municipalités veulent se
développer, il doit y avoir un leader-
ship de la part de l'Association des
municipalités bilingues; il faudra
qu'il y ait des personnes à l'écoute
des communautés.»
Karine BEAUDETTE
Un parc industriel à Saint-Pierre-Jolys
Le Conseil municipal de Saint-
Pierre-Jolys désire mettre en
oeuvre son plan de développe-
ment au début de l'hiver 1995.
«On veut s'assurer qu'on aun
bon produit à vendre avant
d'inviter les gens à venir nous
rendre visite. On ne veut pas
qu'ils viennent pour rien, précise
Matt Lussier, maire du village.
«Présentement, à Saint-
Pierre-Jolys, on mise beaucoup
sur le développement de projets
au niveau de cinq secteurs: le
parc industriel, les entreprises
locales, le tourisme, la santé
ainsi que les sports et loisirs.
«Le village veut engager un
professionnel pour chacun de
Cadieux
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ces secteurs afin d'obtenir une
expertise sur la viabilité des
projets qui les concernent.
Chaque expert aura son propre
budget, ce qui lui permettra
d'établir des plans et de nous
conseiller ce qu'il y a de mieux à
faire, d'ajouter M. Lussier.»
Pour l'instant, Matt Lussier
précise que l'attention du conseil
est tournée vers un groupe de
personnes qui étudient, à sa
demande, la possibilité de cons-
truire un parc industriel à Saint-
Pierre-Jolys.
«Ce projet est très important
pour nous puisque sa réalisation
signifierait une création d'emplois
majeure pour la région.» On se
Associés André G. Couture, c.a.
sun re Raymond A. Cadieux, c.a.
Gérard H. Rodrigue, ca.
oresi Expert-conseil Gabriel Forest, f.c.a.
Le savoir-faire
en affaires
souviendra qu'en 1992, le gouver-
nement du Manitoba avait accordé
une subvention de 4 500 $ à la
table ronde de Saint-Pierre-Jolys
afin d'assurer l'évaluation de
l'avenir économique, environne-
mental et social de la région.
Le maire affirme que Saint-
Pierre-Jolys étudie sérieusement
la possibilité de fournir quelques
régions du Manitoba en sirop
d'érable. Les producteurs locaux
sont déjà connus au Manitoba
grâce à leur participation au
Festival du Voyageur, au cours
duquel la population peut
déguster les produits de l'érable.
«Par contre, pour fournir, il
faudrait augmenter la production.
Nous ne sommes pas encore
sûrs que cela peut se faire.»
Le village pense aussi à des
plans concernant les entreprises
locales déjà établies et celles qui
pourraient naître. Et on compte,
bien entendu, mettre en branle
l'agrandissement du Centre
médico-social De Salaberry, qui
était prévu pour l'automne 1992.
Les sportifs et les amoureux
de la nature, qui profitent déjà de
terrains de balle, d’un centre
sportif avec glace artificielle pour
le patin et le curling, et qui ont
accès au parc provincial de
Saint-Malo et au terrain de golf
Rivière-aux-Rats, seront curieux
de connaître ce que leur réserve
les projets du village dans ce
domaine. «Bref, notre but c'est
que les gens viennent à Saint-
Pierre-Jolys parce qu'il y a
quelque chose d'intéressant à
faire et à visiter conclut Matt
Lussier. On aimerait qu'ils
repartent en se disant qu'ils n'ont
pas fait le voyage pour rien!»
Nathalie BLAIS
Pris en étau entre deux
municipalités (Ritchot et Taché),
la Transcanada Pipeline, et une
route qualifiée par les résidents
eux-mêmes de «suicidaire» (la
59), Île-des-Chênes ne possède
pas les mêmes avantages
naturels que son voisin Saint-
Adolphe.
Le village a aussi pâti des
troubles qui ont agité le conseil
municipal de Ritchot ces dernières
années. Avant 1993, certains
conseillers étaient littéralement à
couteaux tirés. Et en 1994, le
conseiller Raymond Dumaine a
été paralysé par une procédure
judiciaire qui a abouti à sa destitu-
tion pour cause de conflit d'intérêt.
Pour toutes ces raisons, Île-
des-Chênes n’a guère pu tirer
profit du fameux Programme
fédéral d'infrastructures. La part
du lion (400 000 $) est allée à
Saint-Adolphe, qui préparait
habilement son coup depuis
plusieurs années.
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LEFAX économique
Pour augmenter son développement résidentiel et économique
Île-des-Chênes songe toujours
à l’indépendance
Ces frustrations semblent
remettre à la mode le vieux thème
de l'incorporation du village.
«C'est une de nos priorités,
affirme Jean Gaudry, président de
la Chambre de commerce. Ça
nous donnerait plus de marge de
manoeuvre pour développer le
village et attirer de nouveaux
résidents.»
L'agent d'assurances souligne
qu'Île-des-Chênes possède déjà
les conditions requises par la loi
pour devenir un village indépen-
dant (il faut un minimum de
résidents et de revenus fonciers). |
reste à franchir l'étape du réfé-
rendum populaire, qui s'était révélé
négatif lors de la dernière tentative
il y a quelques années.
«Ç'avait été mal présenté à
l'époque, estime Jean Gaudry. Je
crois que les gens seront d'accord
avec l'incorporation s'ils compren-
nent que c’est pour le bénéfice de
toute la communauté.» La Cham-
bre de commerce, qui a formé un
Mentorat
Prêts
Ressources
Counselling
comité sur l'incorporation, n'exclut
pas d'organiser un référendum dès
le printemps prochain.
Cette idée séduit beaucoup
Jérôme Brûlé, qui, avec ses
collègues Chevaliers de Colomb,
espère pouvoir construire bientôt
un complexe de 24 appartements
pour personnes âgées sur un
terrain municipal situé derrière
l'église.
«Ça nous permettait de garder
nos couples retirés dans le village
et de libérer des maisons pour des
nouveaux résidents. Dès qu'une
maison se libère, elle est achetée
immédiatement», affirme-t-il.
Le complexe serait du même
type que celui de la Place Des
Meurons, à Saint-Boniface: les
locataires, âgés d'au moins 55
ans, devraient payer comptant
environ 30 % de la valeur de leur
appartement (système de baux
viagers).
Jérôme Brüûlé croit que dans le
meilleur des cas, la construction
pourrait commencer en septembre
prochain. Mais il reste beaucoup
d'étapes à franchir d'ici là. |! faut
notamment demander à la Munici-
palité de modifier le zonage,
convaincre les voisins que le
projet ne leur nuira pas, et trouver
le financement (au moins 1,5
million $).
Comme Jean Gaudry, Jérôme
Brûlé est persuadé que l'incorpo-
ration serait très bénéfique pourile-
des-Chênes. Elle permettrait
notamment de négocier plus
activement avec les quatre pro-
priétaires des terrains que l'on
pourrait développer en lots rési-
dentiels.
«Pour l'instant, les propriétaires #*
ne se grouillent pas parce que c'est
trop dispendieux pour eux de
développer des lots. Je suis sûr
qu'on pourrait attirer des nouveaux
résidents. On est situé encore plus
près de Winnipeg que Saint-Adol-
phe. On a des services: épicerie,
quincaillerie, une école française
matemelle à 12. || ne nous manque
plus qu'un nouveau chemin.»
Laurent GIMENEZ
Le développement résidentiel de Saint-Adolphe dans l'attente
À quand les nouveaux lots?
Le village de Saint-Adolphe
a vraiment tout pour séduire
un futur propriétaire: il est situé
à quelques minutes seulement
de Winnipeg, il est accessible
par deux belles routes (la 210,
très «panoramique», et la 75);
les rues sont belles, les
services nombreux et l’eau,
quoique provenant de puits,
d'un goût assez agréable. Seul
problème: il n’y a pratiquement
pas de maisons disponibles!
Il y a quelques années, la Muni-
cipalité de Ritchot a pourtant
construit une digue précisément
dans le but d'accroître le déve-
loppement résidentiel. Mais les
conseillers et les quatre proprié-
taires des terrains concernés (une
soixantaine d'acres situés au nord
du village) n'ont jamais réussi à se
mettre d'accord.
Labossière LaFlèche
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Félltations et bon SRE
La Municipalité exige deux
choses: le remboursement par
les propriétaires des coûts de
construction de la digue (environ
165 000 $); et la prise en charge
totale, par les mêmes proprié-
taires, des 200 000 $ nécessai-
res à la mise en oeuvre de
l'entente conclue récemment
dans le cadre du Programme
fédéral d'infrastructures.
«On est d'accord! On est prêt à
payer toute l'affaire, affirme Paul
Gagnon, un des quatre proprié-
taires» (1). Alors pourquoi n’a-t-on
pas encore commencé? Paul
Gagnon met en cause les difficultés
de communication avec le conseil
de Ritchot, paralysé avant 1993 par
la mésentente entre les conseillers,
puis, ces derniers mois, par une
affaire de conflit d'intérêt impliquant
l'ancien conseiller d'Île-des-Ché-
nes, Raymond Dumaine.
INC.
Le préfet de Ritchot, Cyrille :’
Durand, ne dissimule pas la
responsabilité de son conseil
dans cette affaire. «Il y a quelque
temps, le conseil avait dit très
clairement aux propriétaires:
voilà ce qu'on attend de vous. Et
puis il a changé d’attitude en
demandant aux propriétaires de
nous faire des propositions. Ça a
remis en cause tout le travail
accompli jusqu'alors.»
Un accord entre les proprié-
taires et la Municipalité est d'autant
plus urgent qu'après le 30 avril
1995, l'entente concernant le Pro-
gramme d'’infrastructures deviendra
caduque. Les 400 000 $ promis par
le fédéral et la province dispa-
raîtraient donc dans la nature, ou
seraient consacrés à d’autres
projets (le comité de l'aréna d'lle- |
des-Chênes, par exemple, ne répu-
gnerait sûrement pas à recevoir
une partie de ces subsides).
Mais Paul Gagnon reste con-
fiant. || compte notamment sur
les trois réunions que le conseil a
promis d'organiser avec les
propriétaires en décembre.
«En créant 200 lots dans le
village, on augmenterait l'évalua-
tion foncière de quatre millions $,
affirme-t-il. Et si tu bâtis 200 mai-
sons, l'évaluation foncière augmen-
te de 46 millions $. La Municipalité
toucherait donc 528 000 $ de taxes
par an avec ce projet.»
Laurent GIMENEZ
v
(1) Les autres propriétaires sont: Frank ve
Cvitkovitch (L&A St. Adolphe Development
Lio), Ron Pereira et la famille de Lucile Perron.
Vous déménagez?
Si c’est le cas,
veuillez nous en informer
sans tarder
afin de ne manquer
LA
Depuis la remise sur pied de
la Chambre de commerce en
octobre 1993, la Municipalité
de Saint-Anne-des-Chênes se
reprend en main en impliquant
tout son monde. «On veut
devenir plus proactifs que
réactifs.»
communautés
Chambre de commerce
Sainte-Anne
Case postale 1106
Sainte-Anne (Manitoba)
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422-5293 (message)
422-8769, N. Dupas (président)
La petite communauté avec un grand COEUR!
Venez visiter, venez constater venez vous installer.
Le 3 décembre prochain,
l'Association des municipalités
bilingues du Manitoba tiendra
son premier forum en
développement économique
«Vision globale - Action locale»
ainsi que son premier
salon économique.
C'est à nous d'y voir!
Spécial BUT:
Développement économique à Sainte-Anne-des-Chênes
De l’école au clergé, tout le monde participe
Norman Dupas, président de la
Chambre de commerce, raconte
comment lui et quatre autres
personnes se sont intéressés, en
mai 1993, à faire revivre la place.
«On a repris la Chambre de
commerce qui était dormante
depuis un bon bout de temps et
En réconciliant la langue et
l'économie, ce forum servira
de tremplin au développement
économique de nos
franco-manitobaines
pour l’an 2000.
L'avenir de nos communautés
est entre nos mains!
LA LIBERTÉ, la.semaine du 25 novembre:au 1% .décembre 1994 .
Norman Dupas: 80 personnes.
on a commencé à faire des
démarches. On a créé une table
ronde presque en même temps
avec le support financier du
Bureau de développement écono-
mique provincial et avec l'aide du
Réseau d'agents de développe-
ment communautaire de la SFM.»
La nouvelle table ronde de
Sainte-Anne innovait avec ceci de
particulier : tout le monde y est
impliqué, qu'il s'agisse de groupes,
d'organismes ou d'individus.
«Tous les secteurs y sont repré-
sentés, allant de l'école au clergé.
D'ailleurs, 80 personnes ont
participé à la première réunion de
la table ronde, affirme Norman
Dupas. À la fin, tout le monde était
d'accord pour développer une
vision d'avenir à Sainte-Anne parce
qu'il n'y avait rien à ce niveau-là.
Ce fut un exercice incroyable !
9 h 30
9h 45
10h
10h15
10 h 30
1h15
13h 30
13h45
14h45
15h15
16 h 30
postal 145
«A la deuxième réunion, il y
avait 60 personnes. La question
s'est alors posée: Qu'est ce que
vous voulez voir ? On s'est fixé 47
priorités incluant plusieurs sec-
teurs. EN ot assurer les
services de santé
le plus gros poids du village
(200 personnes y travaillent).
«Par la suite, faire la promotion
de Sainte-Anne auprès de la
population du Manitoba en élabo-
rant une campagne d'image et un
slogan, mettre sur pied une cam-
pagne de promotion des commer-
ces locaux, informer sur les
commerces et services locaux,
attirer les industries légères,
promouvoir le Vieux chemin de
Dawson auprès des touristes, etc.
Bref, il en a 40 autres comme ça.»
Les personnes impliquées
n'ont pas perdu de temps et ont
déjà débuté l'installation d’une
enseigne de bienvenue de 12
par 14 pieds à l'entrée du village.
On élabore également un
dépliant promotionnel en quatre
couleurs incluant une oeuvre
représentant le village de Sainte-
Anne réalisée par un artiste local.
On a de plus préparé un an-
nuaire téléphonique pour les
commerces de la région et on
compte prochainement refaire et
mettre à jour les dépliants du
Welcome Wagon.
«Quand on a commencé en
1993, on était cinq membre à la
Chambre de commerce, précise
Horaire de la journée
9hà9h 30 - Accueil et inscription
- Mot de bienvenue
- Le développement économique dans nos municipalités /
perspective historique (Jean-Marie Taillefer)
- Discours d'ouverture de James Downey, ministre de
l'Industrie, du Commerce et du Tourisme du Manitoba
- Pause santé
- Présentation de «l'Étude sur le développement
économique dans les municipalités bilingues du Manitoba»
- Panel de discussion
12 h 15 - Ouverture du Salon économique avec invité d'honneur
- le Premier ministre Gary Filmon
LUNCH
- Plénière - allocution par M. Winston Hodgins
- Atelier des municipalités
- Plénière des ateliers
- Clôture du Forum
- Réception au Salon économique
- Fin du colloque
Association des municipalités bilingues
du Manitoba inc.
Case
Saint-Boniface (MB) R2H 3B4
Téléphone : 233-4915 Télécopieur : 233- 1017
Norman Dupas. Présentement,
61 membres en font partie et on
en veut entre 80 et 100.
«On a aussi divisé la Chambre
de commerce en cinq comités: le
comité de développement écono-
" actuellement d'une
réunion régionale, impliquant les
villages des alentours, pour
engager un agent de développe-
ment économique. Le comité de
marketing et de promotion se
consacre à tout ce qui a trait à la
promotion du village auprès de la
population manitobaine. Le comité
de tourisme s'occupe des projets
touristiques au niveau de la munici-
palité rurale et du village. Et puis il
y a le comité de récréologie qui
veut se trouver prochainement un
directeur de loisir.
«On a beaucoup fait pour entrer
dans l'Association des municipa-
liés bilingues du Manitoba, dont on
fait partie depuis seulement un an.
Cependant, il y avait toujours
quelque chose qui ne concordait
pas. On a finalement réussit à se
mettre à l'heure.
«Tout est bilingue à Sainte-
Anne, les commerces et le person-
nel, et on n’a pas l'intention de
changer ça. On n'est pas interessé
à vivre dans une seule langue,
parce qu'on veut prendre en
considération les caractéristiques
de la région, donc la culture des
deux langues.»
Nathalie BLAIS
Calendrier
COMMUNAUTAIRE
Quelques activités
à travers la province
à partir du 25 novembre
RENCONTRE
Le 29 novembre 1994 à 20 h
5e anniversaire de Nouveau
Départ (Alateen, Al-Anon)
Conférencier : membre Al-Anon
601, rue Aulneau (4e étage)
ÉDUCATION
Le 1e’ décembre 1994
Comment choisir un ordinateur
avec Louis Dornez
CUSB
Info: 233-0210
Ici et ailleurs
Internet à l’école
Winnipeg - Les écoles
rurales et urbaines du Manito-
ba pourront se brancher à l'In-
ternet (le réseau des réseaux
d'ordinateurs au monde), grâ-
ce à un récent accord entre le
ministère de l'Éducation et
l'Université du Manitoba.
Le coeur payant
Winnipeg - Un chercheur
de renommée internationale,
affilié au Centre de recherche
de l'Hôpital général Saint-
Boniface et à l'Université du
Manitoba, le docteur lan
Dixon, recevra une subvention
de 256 800 $ de la firme sué-
doise Astra Pharma pour une
étude sur l'insuffisance car-
diaque.
Parlons prébudget
Winnipeg - Pour la deuxiè-
me année de suite, le gouver-
nement provincial cherchera à
connaître l'avis de la popula-
tion du Manitoba sur les ques-
tions complexes relatives aux
finances publiques en tenant
une série de consultations
prébudgétaires. Les prochai-
nes consultations auront lieu
le 28 novembre à Winkler et le
12 décembre à Winnipeg.
Quatre fois plus!
Ottawa - Les travailleurs
saisonniers au Canada reçoi-
vent jusqu'à quatre fois plus
d'assurance-chômage qu'ils
ne contribuent au programme
fédéral. Ces travailleurs, qui
constituent 40 % des presta-
taires, seront parmi les plus
durement frappés par la réfor-
me Axworthy. On peut lire
dans un document officiel que
«l’assurance-chômage sou-
ient peut-être des industries
instables et saisonnières en
finançant les licenciements».
(APF)
La saison de volley-ball s'est
terminée en beauté pour les
équipes de la Division scolaire
franco-manitobaine (DSFM). En
effet, le 17 novembre dernier, 44
équipes provenant de 15 écoles
différentes se sont donné
rendez-vous à Saint-Boniface
pour la compétition division-
naire.
Cette année, les équipes de la
7e, 8e et %e années ne faisaient
partie d'aucune ligue divisionnaire.
Ce tournoi a donc été le point
culminant de la saison. Cette
formule est différente des années
précedentes, selon Carole Fré-
chette et Denise McLaren, deux
entraîneures de l'équipe du
Collège Louis-Riel.
«Auparavant, les équipes se
rencontraient plus souvent parce
qu'elles jouaient dans une même
ligue., précise Denise McLaren.
Cette année, plusieurs équipes
participantes nous étaient incon-
nues; donc, on ne savait pas trop
à quoi s'attendre.
«Par contre, cela nous a
permis de pratiquer davantage et
l'amélioration de nos joueuses a
été remarquable. Edgar Fouillard,
professeur d'éducation physique
au Collège, s'est occupé de nous |
trouver des adversaires pour nos
parties hors concours.»
Pour les représentants del
l'école Gabrielle-Roy qui faisaient À
partie de la Division Seine l'an
dernier, cette formule dans la
nouvelle division leur a permis de
rencontrer de nouvelles équipes.
Selon Guylaine Nault, profes-
seure d'éducation physique à
SPORT
500 joueurs de volley-ball réunis à Saint-Boniface
Des équipes de la DSFM
se découvrent
Gabrielle-Roy, la compétition dans
la nouvelle division sera plus
intéressante. «Au lieu de se
retrouver à la compétition division
L'école Lavallée a été la grande gagnante du tournoi.
naire avec les mêmes trois équipes
de la ligue, on aura maintenant la
chance de mesurer nos équipes
contre des nouvelles. C'est un
L'équipe féminine de basketball Wesmen a gagné 87 parties
«Une joute à la fois!»
L'équipe de basketball Univer-
sity of Winnipeg Wesmen Wo-
men's est dangereusement près
de battre le record nord-améri-
cain du plus grand nombre de
joutes gagnées sans interrup-
tion. «On prend ça une joute à la
fois!», remarque Lynette Lafren-
ière, une des 14 membres de
l'équipe.
Le record actuel de 88 joutes a
été établi par l'Université de Los
Angeles entre 1971 à 1974. De
son côté, Wesmen y travaille
depuis octobre 1992. La joute du
vendredi 25 novembre contre
l'Université du Manitoba permettra
à Wesmen d'égaler le record, et le
vendredi suivant, de le dépasser.
Lynette Lafrenière, 18 ans, en
est à sa première année avec
l'équipe. «Notre entraîneur nous
dit toujours que les seules
personnes qui peuvent nous
battre, c'est nous-mêmes. Et c'est
vrai. Il ne faut pas se mettre dans
l'idée qu'on est les meilleures et
UE Te
Lynette Lafrenière: «On gagne en moyenne par 20 à 50 points.»
. LA LIBERTÉ; la semaine-du 25 novembre au. 1%t-décembre 1994. .
aspect très motivant pour les
athlètes.»
Jacqueline VanDenBosch,
entraineure de l'équipe de Saint-
Jean-Baptiste, abonde dans le
même sens. «On avait une oppo-
sition pas mal forte dans la Rouge
l'an dernier; mais cette année,
c'est encore plus diversifié.»
Les quelques 500 athlètes
réunis pour la joumée ont sûrement
apprécié le fait que cette année,
tout s’est déroulé en français.
«Avant on parlait aux joueurs en
français et on s’adressait aux
arbitres en angjlais. Maintenant, on
n’a plus qu'une langue à parler»,
explique Carole Fréchette.
Pour Robert Stanners, coordon-
nateur des sports à la DSFM, ce
premier tournoi a été un franc
succès. «On a eu une bonne
participation et le calibre était aussi
à la hauteur. La saison est termi-
née pour les 7e mais les 8e et ,e
pourront se mesurer aux autres
divisions.»
Du 28 novembre au 3 décem-
bre, les équipes de l'école Lavallée
et Lacerte représenteront la DSFM
au tournoi de Maples et Ken
Seaford. (1)
Les autres résultats de la
journée se lisent comme suit:
7e garçons: Collège Louis-Riel
7e filles: Collège Louis-Riel
8e garçons: École Lavallée
8e filles: École Lacerte
9e garçons: École Lavallée
9e filles: École Lavallée
Danielle PARENT
(1) Ces deux écoles accueilleront les
équipes de la 8e et 9e provenant de huit
divisions scolaires différentes.
qu'on n’a plus besoin de faire
l'effort.
«Ce n'est pas gagner qui
compte; c'est de bien jouer. Même
si on gagne par 30 points, si on
ne joue pas bien, l'entraîneur va
nous crier après.»
Comment explique-t-elle le
succès de l'équipe? «C'est une
combinaison de plusieurs facteurs,
je pense. On travaille fort (entraîne-
ment tous les jours).
«On a une très bonne relation à
l'intérieur de l'équipe, sur le terrain
et socialement. Et aussi, on a
d'excellentes joueuses, comme
Andrea Hutchins, Pam Flick et
Sandra Carroll, qui a été nommée
meilleure joueuse du Canada en
1993-1994.»
K.B.
Recyclez ce
journal!
197
»
CKSB organise un radiothon endroit précis. Le réalisateur,
avec ré 2 paroisses franco- Le 4 décembre de 9 h à 13h Daniel Tougas, précise que les
manitobaines le dimanche 4 dons resteront à l’intérieur de
décembre de 9 h à 13 h. L'objectif chaque paroisse participante.
est de recueillir de la nourriture Le radiothon interparoissial de CKSB Sur la quarantaine de paroisses
et de l'argent pour les démunis. contactées, environ 25 ont mani-
Le radiothon sera animé en drale par l'équipe de Radio Réveil: semblable avait permis de recueil Durant les cinq heures d'émis- festé un intérêt.
direct du sous-sol de la Cathé- Martine Bordeleau, Jean Fontaine lir environ 2 500 $ dans la parois- sion, les auditeurs seront appe- L.G.
et Suzanne Kennelly. Uneinitiative se Cathédrale l'année dernière. lés à apporter leurs dons à un
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Gens d'ici
Le bras droit
du premier
ministre
Lizanne Lachance Mann
est l’adjointe exécutive du
premier ministre du Manitoba
dans la circonscription de
Tuxedo depuis juin 1994. En
autres mots, elle est le bras
droit politique pour Gary
Filmon.
«Je m'occupe du bureau
de circonscription, je réponds
aux questions du grand public
et je trouve les personnes-
ressource. J'assure la liaison
entre les différents départe-
ments. Je planifie l'itinéraire
et les activités du premier
ministre, en ce qui concerne
la circonscription.
«Je m'occupe des gens
dans la circonscription pour
les lettres et autres choses
administratives. J'accom-
pagne M. Filmon à différentes
fonctions pour prendre des
photos, et quand il ne peut
pas y être, c'est moi qui le
représente.»
Lizanne Lachance Mann.
La native d’Elie (Manitoba)
a complété une maîtrise en
administration publique de
l'Université du Manitoba en
1989 avant d'animer une
émission à CKND. Depuis
1990, elle a travaillé comme
adjointe spéciale pour quatre
ministres: Jack Penner, Linda
Mcintosh, Gerry Ducharme et
finalement Gary Filmon.
«J'aime beaucoup travail-
ler avec Gary Filmon. À mon
avis, c'est un homme extra-
ordinaire, un leader sans
pareil. Je crois que c'est la
meilleure personne pour
diriger les affaires de la pro-
vince. Mon travail vise évi-
demment à le faire réélire au
printemps prochain.»
Après avoir gagné sa vie
par la chanson pendant une
époque (avec sa cousine
Gisèle Fredette, entre autres),
Lizanne Lachance Mann a
laissé le chant pour la poli-
tique? «Je continue à chanter,
plutôt du classique. Je suis
des cours au Manitoba Con-
servatory pour améliorer ma
voix.»
K.B.
Erratum
Le vitrail commémoratif
des Soeurs Grises dévoilé le
8 novembre à l'entrée de
l'Hôpital général Saint-Boni-
ace est bel et bien une initia-
tive de la Société historique
de Saint-Boniface au nom de
la communauté franco-
manitobaine, contrairement à
ce qui a été écrit dans La
Liberté du 18 au 24 novem-
bre 1994. Nos excuses.
Si vous cherchiez dans un
dictionnaire général le mot
«biodiagnostic», il est fort proba-
ble que nous ne le trouveriez pas.
Pourquoi? C'est qu'il s’agit d'une
création linguistique plutôt
récente décrivant un concept
tout aussi récent.
«On a créé le mot biodiagnostic
pour décrire, entre autres, cette
façon de dépister les maladies ou
les conditions sans intervention
chirurgicale, sans aiguilles, sans
prélever de tissus, de sang ou de
fluides, explique le directeur de
l'institut du biodiagnostic du Centre
national de recherche, le docteur
lan Smith. C'est ce qu'on appelle
aussi le diagnostic non effractif.»
Le docteur Smith est un pionnier
dans cette science du biodia-
gnostic. Après avoir complété
plusieurs diplômes en chimie
physique, en chimie théorique et
en biochimie, il a développé
l'hypothèse de comprendre la
biologie par les molécules, puis
d'élargir cette idée pour inclure la
médecine par les molécules.
«C'était une idée assez naïve à
l'époque, mais il faut marcher avant
de courir!» On peut maintenant
imaginer la détection des maladies
et des conditions alors qu'elles
sont au stade des molécules. «Les
SOCIETE
Le docteur lan Smith de l'Institut du biodiagnostic de Winnipeg
«L'origine de tout mal
est moléculaire»
tre ‘ho
Ê +
Le docteur lan Smith avec un scanner à infrarouge. Éventuellement, l'institut du biodiagnostic aimerait mettre
au point un appareil semblable beaucoup plus petit («comme une boite de chocolats») pour les hôpitaux.
tissus, les muscles, tout est fait de
molécules. L'origine de tout mal est
moléculaire.
le dimanche 4
Participez à l'opération
Le Coeur
SUr /
là, man
décembre 1994
#
en remettant vos dons
dans votre paroisse
au profit des défavorisés.
CKSB fera le lien
de9hà13h
en direct de la cathédrale de Saint-Boniface
avec Jean Fontaine, Suzanne Kennelly
et Martine Bordeleau
SRC
cxss
Manitoba
«Si on a une méthode pour
regarder et analyser les molécules,
on pourra diagnostiquer plus vite.
Plus vite on peut identifier le
problème, plus tôt on pourra traiter
et guérir.» L'Institut du biodiagnostic
utilise plusieurs grandes techno-
logies pour arriver à cette fin.
La spectroscopie est l'étude
de l'intéraction du rayonnement
et de la matière, c'est-à-dire le
même principe de base que la
vision (la lumière réfléchie par
les objets nous permet de voir).
Le spectre de l'énergie passe
des rayons X aux ondes radio,
en passant par la lumière (seule
forme d'énergie qui nous est
visible) et les rayons infrarouges.
Grâce à des scanners à infra-
rouge et à des énormes aimants
aux champs magnétiques extrême-
ment puissants, on peut «photo-
graphier» des spécimens animaux
ou des sujets vivants. L'Hôpital
Saint-Boniface se sert déjà d'un de
ces aimants de résonance magné-
tique, d'une puissance de 1,5 tes-
las (unité de mesure magnétique).
En guise de comparaison,
l'Institut du biodiagnostic utilise
un aimant de 3 teslas pour
étudier les humains, un de 7
teslas pour les porcs, de 9 teslas
pour les rats et de 12 teslas pour
les coeurs de porcs (30 000 fois
plus puissant que le champ
magnétique naturel de la Terre).
Il s'agit du seul aimant au monde
de cette intensité.
Les données recueillies grâce à
l'imagerie par résonance magné-
tique et par scanner infrarouge sont
peuvent servir pour mieux connaître
le corps humain ou pour diagnos-
tiquer, mais aussi pour suivre des
traitements et vérifier l'efficacité de
médicaments. Parmi les conditions
LA LIBERTÉ, la semaine du 25 novembre au 1°’ décembre 1994
explorées: le cancer (du col de
l'utérus, entre autres), le rnuma-
tisme, la sclérose en plaques, la
maladie d'Alzheimer, etc.
«C'est probablement un des
premiers projets interdisciplinaires
du genre. La combinaison de
chercheurs et de technologies est
plus ou moins unique au monde»,
remarque lan Smith, qui a travaillé
25 ans à l'Institut pour les
sciences biologiques du Centre
national de recherches (à Ottawa)
avant de revenir à son Winnipeg
natal.
En effet, l'Institut du biodia-
gnostic, situé au 435, rue Ellice,
rassemble des spécialistes et des
étudiants dans toutes les matières
scientifiques: génie, radiologie,
chimie, informatique, physique,
médecine, etc. Les 125 employés
viennent de partout au monde: «||
y a 17 langues parlées quotidien-
nement à l’Institut, remarque
fièrement lan Smith. C'est très
winnipégois!
«Contrairement à bien des
recherches où on a “une solution
qui cherche un problème”, on
collabore étroitement avec les
médecins pour identifier les
problèmes les plus urgents. On
développe des appareils et des
techniques dans le but de les
transférer directement aux hôpi-
taux. On simule des situations
réelles. C'est pourquoi les salles
de chirurgie, par exemple, sont très
semblables à celles des hôpitaux.»
La recherche de techniques
efficaces, rapides et bon marché
est le but principal de l'Institut du
biodiagnostic, ainsi que celui de
stimuler l'économie au Manitoba
en créant des postes en haute
technologie.
Karine BEAUDETTE
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Publi-reportage
SOCIÉTÉ
Chronique religieuse
Vulnérable à nos yeux
Lorsque l'être humain arrive en
ce monde, il est tout à fait
vulnérable et ne possède rien. Ce
tout petit dont les yeux regardent
encore ailleurs ne cesse de nous
émouvoir. Les parents en prennent
bien soin. Ils ont reçu le pouvoir
amoureux de lui faciliter le passage
dans l'univers de la liberté.
Jamais plus il ne sera aussi
heureux que durant ces premiers
mois où rien n'a d'importance
que l'amour de ses parents. Déjà
son nouveau corps lui fait mal et
l'embarrasse. Il a faim et il a
froid. Il sait déjà, mais il
l'oubliera, que l'amour a le
pouvoir de transformer tout ça.
Tout est si simple à cet âge la.
Il est heureux, il laisse éclater sa
joie. Il aime sa maman et l'accueille
en souriant. Il est malheureux, il
crie, quelqu'un vient. S'il est
content, il remercie à sa manière à
lui. Et que dire de son pouvoir
d'émerveillement… Il sait déjà
prier, maïs il l'oubliera.
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Une atmosphère de Réveillon.
Marie-
Hélène
Duval
laïque
Il oubliera tout ce qui lui vient
de Dieu pour le réapprendre
librement et devenir amoureux.
Quand on est proche du ciel on
n'a besoin de rien. Dieu seul
suffit avec l'amour de ceux en
qui il est présent. Proche de la
mort, on se souvient peut-être de
ce qu'on a été enfant. Mais on le
fait librement.
Entre les deux, on complique
tout. Si on est heureux on préfère
le cacher tout comme on résiste à
dire le mot aimer. Si on est
malheureux, on redresse la tête,
on fanfaronne un peu. Les autres
peuvent nous faire mal, il faut se
protéger. On apprend à mentir...
La peur va triompher.
La vie c'est difficile, tout est
important. On est fier d'obtenir
enfin ce que l'on craint ensuite
de perdre. On se méfie de tout ce
qui se rapproche de soi. La
souffrance nous menace et nous
fait perdre la tête. S'il fallait que
l'on n'ait plus rien. Nous
manquons d'amour et nous ne le
savons pas.
Lorsque l'être humain s'apprête
à quitter ce monde, il est tout à
fait vulnérable et ne possède rien.
Ce mourant dont les yeux
regardent déjà ailleurs n'a plus
besoin de rien que l'amour de Dieu
dans le coeur de son prochain.
qui a reçu ce pouvoir amoureux
d'applanir le chemin.
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365 jours par année!
Les habitué.e.s du Robin Donuts
du boulevard Provencher verront un
grand changement dans leur train
train la semaine prochaine. Ce
commerce, situé au même endroit
depuis plus de neuf ans (à
l'Esplanade Provencher) déménagera
au 396, boulevard Provencher, juste
de l'autre côté de la rue et de la voie
ferrée, à côté de la station-service
Turbo.
Venu d'Australie dans les années
1970, le-co-propriétaire de l'endroit,
Fred lonn, est boucher de profession.
Il a rapidement découvert Saint-
Boniface où il a pris commerce et.
femme, en la personne de Lorraine
André. «J'adore l'atmosphère créée
par les francophones qui viennent
régulièrement ici pour se détendre,
explique Fred. C'est pas croyable!
Tout le monde parle à tout le monde.
Il y a de la vie 24 heures sur 24! On
dirait que c'est le réveillon 365 jours
par année: c'est fantastique!»
Alors pourquoi déménager?
«Nous n'avions pas vraiment le
choix», explique Fred lonn.
«Celles et ceux qui connaissent le
Robin Donuts original auront
plusieurs surprises en voyant le
nouvel endroit», poursuit Fred. Et
comment!
Le nouveau Robin Donuts aura un
centre de service au volant (“drive-
thru”) servant tous les bons produits
frais. C'est une première à Winnipeg.
«Notre cuisine sera plus grande,
ce qui nous permettra de diversifier
encore plus notre menu», explique
Fred.
En plus des traditionnels beignes
et muffins, le «nouveau» Robin
servira des croissants frais, des
bagels avec fromage à la crème, des
sous-marins, des viandes fumées,
des salades, des soupes, des
gâteaux au fromage, des tartes aux
fruits, des tartes à la crème, etc. Tout
cela fait sur place chaque jour!
«Nous offrirons aussi toute une
gamme de cafés, incluant l'espresso
et le capuccino et, bien entendu,
notre très réputé café Robins»,
raconte Fred.
Au Robin Donuts du boulevard
Provencher, les deux-tiers du
personnel parlent français. «À toute
heure du jour ou de la nuit, on peut
français», conclut Fred. Voilà une
dernière bonne raison qui explique
pourquoi le Robin Donuts est si
populaire.
L'ouverture officielle des nouveaux
locaux aura lieu le 29 novembre. Ne
la manquez pas!
généralement avoir du service en
A
22 LA LIBERTÉ, la semaine du 25 novembre au 1°’ décembre 1994
Nécrologies
Véronique Gaudry
(née Chartrand)
11 octobre 1902 - 16 novembre 1994
Notre chère maman est décédée
tout doucement, entourée de sa
famille, le 16 novembre 1994 au
Centre hospitalier Taché, après une
longue maladie. Elle avait habité
auparavant à l'Accueil Colombien,
200, rue Masson, et à Saint-Laurent
(Manitoba).
L'ont prédécédée Ernest, son
époux bien-aimé (le 10 août 1983),
ses parents Patrice et Catherine
Chartrand, ses frères et ses soeurs:
Léon (Eva), Gabriel (Alexandrine),
Elizabeth (Yves Abgrall) et Marie
(Grégoire Ducharme).
Elle laisse pour chérir son
souvenir ses enfants et ses petits-
enfants: Roland (Madeleine) de
Saint-Laurent et leurs enfants Janine
(Jason) et Claude; Greg (Jeannette)
de Saint-Laurent et leurs enfants
Louella, Lloyd et Andréa; Neil
(Léona) de Saint-Boniface et ses
enfants Mark (Sue) et Roslyn (Don);
Eileen et Tim de Winnipeg et leurs
enfants Marcel (Ann), Clint et
Shannon (Derwin). Elle laisse aussi
sept arrière-petits-enfants, ainsi que
ses beaux-frères et belles-soeurs de
Saint-Laurent; Jane (John) Léost de
Winnipeg et Anna Gosselin de Saint-
Malo; tante Martha Gaudry de
Winnipeg; et plusieurs nièces,
neveux et cousins.
Véronique a enseigné de 1920 à
1969. Elle a obtenu son diplôme
d'institutrice à l'École Normale en
1922. Elle a fait la classe tour à tour à
divers endroits au Manitoba: Saint-
Ambroise, Saint-Laurent, Cypress
River, Marchand, Oak Point, Lake
Francis et Lorette; et en Saskatche-
wan: Saint-Hippolyte, Saint-Brieux,
Saint-Denis et Aldina.
Maman a participé généreusement
aux activités de l’église et de la
communauté. Elle a fait partie du
Conseil paroissial de Saint-Laurent et
a été présidente pendant dix ans du
club pour les aînés, Le Club
Laurentien. En 1980, elle fut choisie
Femme du mois en reconnaissance
pour toutes les années qu'elle a
consacrées à l’enseignement et au
service de la communauté.
Les prières ont eu lieu à 19 h le
vendredi 18 novembre 1994 au Salon
mortuaire Desjardins, 357, rue Des
Meurons. Les funérailles, présidées
par le Père Dominique Kerbrat,
O.M.I., ont eu lieu le samedi 19
novembre 1994 à 11 h, dans l’église
catholique de Saint-Laurent. La
dépouille mortelle a été exposée de
10 h 30 jusqu'à l'heure de la
célébration. L'enterrement a suivi le
service dans le cimetière paroissial.
Les porteurs ont été ses petits-fils.
Un merci spécial aux Soeurs
Grises et au personnel de l'étage 2C
du Centre hospitalier Taché pour les
bons soins prodigués à notre
maman. Au lieu d'un don de fleurs,
on peut faire un don à l'oeuvre de
charité de son choix.
Marie-Rose Beaulieu
Est décédée paisiblement à
l'Accueil Colombien le 14 novembre
1994. Elle fut précédée dans la mort
par ses parents, plusieurs frères et
soeurs dont un frère religieux
marianiste.
Elle laisse dans le deuil quatre
neveux et nièces que la Providence lui
avait confiés et pour lesquels elle s'est
donnée avec tant d'amour: Paul
Genest et sôn épouse Orfilia de
Montréal, Yvonne LeDoyen et son
époux Ron, Lorraine Pantel et son
époux Léo, ainsi que Raymond Genest
et son épouse Liz, tous de Winnipeg.
Elle laisse aussi trois petites-nièces et
un petit-neveu; Monique et Nathalie
Genest de Montréal ainsi que Carine
et Martin Pantel de Winnipeg qui
aimaient l'appeler «grand-mère» ou
«mémère». Elle laisse également dans
le deuil une belle-soeur et de nom-
breux neveux et nièces.
Née à Saint-Vital, elle a vécu à
LE GOUVERNEMENT DU CANADA
propose de réviser les programmes sociaux du Canada.
Avant de faire des changements,
nous voulons connaître votre opinion.
Le gouvernement du Canada
a préparé un cahier de consultation qui
contient un questionnaire et des renseignements
sur les changements proposés aux programmes
sociaux, dont :
e l’assurance-chômage
«Qu’en dites-vous?». Pour obtenir votre exemplaire
gratuit ou de plus amples renseignements sur la
réforme des programmes sociaux, composez le :
1 800 735-3551
ATME : 1 800 465-7735
e la prestation fiscale pour enfants
e la contribution fédérale :
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et à la formation
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Vous pouvez également vous procurer des
exemplaires du cahier dans toutes les succursales
postales, les Centres d'emploi du Canada, et dans
un grand nombre de YM/YWCA et de magasins
d'alimentation.
+ à l’aide sociale et aux services sociaux
° aux services de garde d'enfants
* à l’aide aux personnes handicapées
Pour participer à ce débat national, remplissez et
retournez le questionnaire du cahier de consultation
Vous pouvez aussi faire part de vos commentaires
à votre député ou assister aux audiences sur la
réforme des programmes sociaux que tiendra le
Comité permanent du développement des res-
sources humaines dans plusieurs villes du pays.
La réforme des programmes Sociaux au Canada, c'est Faffaire de tous.
Saint-Boniface presque toute sa vie.
Elle était professe dans la Fraternité
Eucharistique ainsi que membre de la
Famille de Marie (Marianistes).
Elle s'était dévouée dans l'ensei-
gnement pendant bon nombre
d'années dont 28 à l'école Provencher.
Elle a été active au sein du mouvement
guide lors de ses débuts et s'est dédiée
tout particulièrement à la direction du
chant et de la musique ainsi que
comme sacristine à Star Lake, Brereton
Lake et à la Maison-Chapelle.
Son grand amour pour Saint-
Joseph et l'intérêt qu'elle a porté
pour les oeuvres de l'Oratoire Saint-
Joseph de Montréal lui ont mérité le
titre de Grande associée du frère
André. Elle chérissait les pauvres, les
miséreux et en particulier les lépreux.
Les funérailles, présidées par
Mgr Albert Fréchette, ont eu lieu à la
cathédrale de Saint-Boniface, le jeudi
17 novembre à 14 h. Les funérailles
ont été suivies de l'enterrement au
cimetière Green Acres Memorial
Gardens.
Au lieu de fleurs, des offrandes
pourront être versées en sa mémoire
à d'organisation charitable de votre
choix.
«Ma tante» Marie-Rose nous a
laissé ce dernier message: «Restez
fidèles à l'amour et à l'union qui
vous ont toujours animés».
La direction des funérailles a été
confiée à la Chapelle funéraire
Coutu. 949-4864.
Juliette Beaulieu
(née Dionne)
C'est avec amour et beaucoup de
regret que nous annonçons le décès
de notre chère mère le vendredi 11
novembre 1994. Elle est morte
paisiblement à la maison à l’âge de
82 ans.
Maman laisse dans le deuil
quatre filles? Jacqueline de Saint-
Boniface, Roberta Delsing (Tom) du
Minnesota, Suzanne Beaulieu (Frank
Hummel) de Saint-Boniface et Gisèle
Ackland (Allen) de Calgary; quatre
petites-filles: Stephanie Jackson
(Ron) de Calgary, Danielle et Denise
Delsing du Minnesota, et Courtney
au Sacré-Coeur
Que le Sacré-Coeur de Jésus
soit loué, adoré et glorifié à
travers le monde pour des
siècles et des siècles, Amen.
Dites cette prière six fois par
jour pendant neuf jours et
vos prières seront exaucées
même si cela semble impos-
sible. N'oubliez pas de remer-
cier le Sacré-Coeur avec
messe de publication quand
les faveurs seront obtenues.
Remerciements au Sacré-
Coeur pour faveur obtenue.
YE
Ackland de Calgary; un arrière-
petit-fils, Keegan Jackson de
Calgary; et une soeur, Gabrielle
Gauvreau (Norbert) du Minnesota.
Elle a été prédécédée par son
mari Tony (Antoine) Beaulieu en
1988, par son frère Robert et par ses
soeurs Germaine et Rita.
Juliette a donné sa vie à sa famille
et à tous ceux qui avaient besoin
d'elle. On se souviendra d'elle pour
ses soins affectueux et son sens de
l'humour extraordinaire.
La messe funéraire a eu lieu le
mardi 15 novembre 1994 à 10 h 30 à
l'église catholique Précieux-Sang
(200, rue Kenny), présidée par l'abbé
Marcel Chaput. L'ensevelissement
des cendres funéraires a suivi au
Glen Lawn Memorial Gardens.
Au lieu de fleurs, on peut donner
à la Fondation de recherche de
l'Hôpital Saint-Boniface, 409, avenue
Taché, Winnipeg (Manitoba) R2H
2A6.
La direction des funérailles a été
confiée au Salon mortuaire
Desjardins (233-4949).
Achille Hébert
Après plusieurs mois d'inquiétude,
c'est avec chagrin, mais aussi avec un
soulagement réticent, que la famille
annonce la mort d'un époux et d'un
papa bien-aimé, M. Achille Hébert.
Achille laisse dans le deuil son
épouse Noëlla (née Nault) et leurs
quatre enfants; Ginette Simard
(Paul), Lucille Kolly (Denis), Richard
Hébert (et son amie Karen) et
Murielle Hébert (et son ami Denis).
Achille manquera à ses petits-
enfants; Stephanie, Melissa, Derrick
et Justin; à sa mère, Adélina Hébert
(née Malo); à ses six frères, Julien
(Alice), Auguste (Pauline), Hilaire
(Juliette), Marcien (Irène), Étienne
(Cécile) et Louis (Marguerite); à ses
belles-soeurs: Reynalde Rodrigue
(Arthur), Huguette Hheukeroth
(Greg) d'Edmonton; ainsi qu'à
plusieurs neveux et nièces.
Achille fut prédécédé par son
père, Cyrille Hébert, en octobre 1989.
La messe des funérailles en
mémoire de M. Achille Hébert fut
célébrée par l'abbé Joseph Choiselat
en l'église de Saint-Malo, le jeudi 17
novembre à compter de 10 h 30.
L'inhumation des cendres eut lieu.
dans le cimetière paroissial.
Les membres de la famille du
défunt Achille Hébert désirent
exprimer leurs sincères remerciements
à leurs parents et amis pour tous les
gestes d'amitié qu'on a su leur
démontrer pendant plusieurs mois
difficiles.
Ceux qui le désirent sont priés de
faire un don en mémoire d'Achille à
Manitoba Child Find Incorporated
ou à une fondation charitable de leur
choix.
«Papa, tu nous manques, mais
nous gardons des souvenirs précieux
éternellement.»
La direction des funérailles de M.
Achille Hébert a été confiée au Salon
mortuaire LeClaire Brothers. 775-
2220.
Julien Wilcott
1927-1994
Paisiblement, à l'hôpital général, le
20 octobre 1994, est décédé Julien
Wilcott, fils d’Isaïe et Rosa (Boulanger)
Wilcott. Il laisse dans le deuil son
épouse Hortense (Jeanson), ses trois
filles; Susan Dugard, Lucille Oakes,
Evelyn Dutka; son fils René, et leurs
familles. Ses 14 petits-enfants lui
étaient très chers.
Merci à tous les parents et amis
qui nous ont aidés de différentes
manières durant cette épreuve. Qu'il
repose dans la paix.
Vous avez
des événements
à signaler?
Composez
le 237-4823
LA LIBERTÉ, la semaine du 25 novembre au 1°" décémbre 1994 _. 23
Occasion de carrière
Le Soleil
Le seul journal francophone en Colombie-Britannique
est à la recherche d'un(e)
rédacteur(trice) en chef
Le journal Le Soleil de Colombie-Britannique est un hebdomadaire
francophone publié depuis 1968. Sous la direction du directeur
général, cette personne aura la responsabilité de :
- rédiger des articles d'information générale et des chroniques,
préparer des dossiers d'actualité et prendre les photos pour illustrer
les textes journalistiques;
- assumer la tâche de correction des textes, des articles des
correspondants ainsi que des annonces publicitaires.
- posséder un diplôme en journalisme ou une expérience
équivalente;
- maîtriser parfaitement le français, écrit et oral, et posséder une
excellente connaissance de l'anglais;
- avoir fait de la mise en page serait un atout;
- savoir rédiger et prendre des photographies;
- posséder une automobile est nécessaire.
La personne doit posséder les qualités personnelles suivantes :
- être capable de travailler aisément sous pression et à des heures
irrégulières (disponibilité les fins de semaine et les soirs);
- posséder des capacités de leadership (flexibilité, initiative et esprit
d'équipe).
Salaire : à négocier en fonction de l'expérience.
Durée de l'emploi : poste permanent et à temps complet.
Entrée en fonction : janvier 1995
Les personnes intéressées sont priées de faire parvenir leur
curriculum vitae, avant le 16 décembre 1994, à :
Le Soleil de Colombie-Britannique
1645, 5e Avenue ouest, Vancouver, V6J 1N5
Téléphone : (604) 730-9575
Télécopieur : (604) 730 9576
EMPLOIS ET AVIS
RÉCEPTIONNISTE ET
PRÉPOSÉ(E)
À LA CORRESPONDANCE
Carberry (Manitoba)
La personne titulaire informe les clients
au téléphone ou au bureau sur le
Programme de supplément de revenu du
Manitoba à l'intention des personnes de
55 ans et plus. Elle dactylographie les
lettres, s'occupe de la correspondance et
apporte un soutien administratif varié au
Programme.
Expérience au service du public,
dactylographie à 40 mots par minute et
traitement de la corespondance. Capacité
manifeste de communiquer efficacement
avec le public. Capacité de travailler en
équipe et de gérer son emploi du temps de
façon efficace. Doit posséder une
connaissance approfondie du logiciel de
traitement de texte Word Perfect 5.1.
L'expérience en communication avec les
personnes âgées et les nouveaux
Canadiens est un atout. La personne
choisie doit bien connaître les deux
langues officielles. On tiendra compte du
programme d'Action positive dans le
processus de sélection.
Échelle de salaire :
de 22 260 $ à 25 381 $ par an
N° de concours : 09064
Date de clôture : le 7 décembre 1994
Veuillez envoyer votre candidature à
l'adresse suivante :
Gestion des ressources humaines
Services à la famille Manitoba
270, rue Osborne, bureau 2
Winnipeg (Manitoba) R3C 1V7
LETTRE
La Liberté publie toutes
les lettres qui lui sont
adressées à condition que
leur contenu ne soit pas
diffamatoire et qu'elles
soient signées.
OFFRE D'EMPLOI
Service de perfectionnement linguistique
COPTEGE UNIVERSEEAIRE DIE SAIN T-BONIFACT
Le Collège universitaire de Saint-Boniface
est à la recherche d'un ou d’une aide-administrative
pour le Centre de rédaction
(poste à terme et à temps partiel)
Responsabilités générales :
accueillir les étudiantes et les étudiants venant au Centre de rédaction;
répondre au téléphone;
tenir compte des rendez-vous;
rédiger et saisir des textes par ordinateur;
maintenir de l'ordre dans les dossiers et la bibliothèque du Service de
perfectionnement linguistique;
compiler des données au sujet de la formation offerte par le Service de
perfectionnement linguistique;
exécuter toute autre tâche connexe au travail de secrétariat et de gestion
de bureau.
Exigences du poste :
excellente connaissance du français parlé et écrit;
connaissance des logiciels WordPerfect 6.0 et Lotus 1-2-3 (Windows);
sens de l'organisation et esprit d'initiative;
entregent et esprit d'équipe;
flexibilité au niveau des heures de travail et des responsabilités.
Rémunération : selon les compétences et l'expérience de travail.
Horaire de travail : environ 15 à 20 heures par semaine au cours de la
session universitaire régulière; nombre d'heures limité de mai à août.
Entrée en fonctions : le mercredi 4 janvier 1995.
Veuillez faire parvenir votre demande d'emploi, au plus tard le vendredi 2
décembre 1994, à l'adresse suivante :
Pluri-elles et le Centre Alpha
de Saint-Boniface
vous offre une formation de cinq ateliers
pour vous et pour vos enfants de 2 à 12 ans.
Chaque atelier vous aidera
à améliorer votre français tout
en vous amusant avec votre famille.
Les enfants auront des activités
adaptés à leurs besoins.
Les ateliers auront lieu à l’école Lavallée.
Ça vous intéresse?
Pour plus de
fa renseignements,
communiquer avec
Ne Dominique Reynolds
au 233-1735
Iuri-elles Mantobo he. Sant le 2 décembre 1994.
OFFRE D'EMPLOI
Le Village incorporé et la Chambre de commerce de Saint-Claude
sont à la recherche d’un(e)
AGENT(E) de DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE
à mi-temps pour six mois.
SOMMAIRE DE L'EMPLOI:
Sous la direction, le titulaire sera responsable de planifier et exécuter des
projets identifiés par la Chambre de commerce et le conseil du Village.
QUALIFICATIONS:
+ expérience dans le domaine économique ou intérêt dans le
développement de la communauté de Saint-Claude;
* personne dynamique qui fait preuve d'initiative, de leadership et
d'entregent.
+ capacité de planifier et de gérer des projets afin d'obtenir des résultats
concrets,
. doit avoir une bonne connaissance des langues française et anglaise
écrites et parlées.
LE POSTE DÉBUTERA au mois de janvier 1995.
LA RÉMUNÉRATION SERA DÉTERMINÉE SELON LES
QUALIFICATIONS DU TITULAIRE.
Veuillez s’il vous plaît faire parvenir votre demande d’emploi et votre
curriculum vitae par écrit avant le 20 décembre 1994 au:
Village de Saint-Claude
Casier postale 249
Saint-Claude (Manitoba)
ROG 1Z0
La Division scolaire de Saint-Boniface n° 4
recherche un.e
secrétaire en chef pour l’école Provencher
Description générale:
Sous la direction générale de l'administrateur responsable de
l'école, offrir des services de soutien administratif et de secrétariat
pour assurer le bon fonctionnement du bureau, notamment répartir
les tâches, superviser le personnel du bureau et faire du travail de
comptabilité et de tenue de livres.
Principales fonctions et responsabilités:
Veiller à la prestation efficace des services de secrétariat au bureau
d'administration de l’école, notamment établir les priorités de travail,
assigner des tâches aux autres employés du bureau et revoir leur
travail, assurer la formation des nouveaux employés du bureau.
Agir à titre de secrétaire administrative auprès du directeur et du
directeur adjoint, notamment dactylographier les évaluations et
toute la correspondance de nature confidentielle, dépouiller le
courrier, communiquer avec le personnel de l'école et de la
Division, appeler les professeurs suppléants, s'occuper de la tenue
de divers dossiers, préparer des données statistiques, rédiger et
dactylographier la correspondance routinière.
Exigences :
Excellentes aptitudes à l'organisation.
Compétence en informatique.
Madame Gisèle Barnabé, directrice
Service de perfectionnement linguistique
Collège universitaire de Saint-Boniface
200, avenue de la Cathédrale
Saint-Boniface (Manitoba) R2H 0H7
Connaissance de l'anglais et du français — essentiel.
Date d'entrée en fonctions : le 3 janvier 1995.
Veuillez adresser votre lettre de demande et votre curriculum vitae à :
Madame Lillian La Flèche
Secrétaire administrative
Division scolaire de Saint-Boniface n° 4
50, chemin Monterey
Winnipeg (Manitoba)
R2J 1X1
200, AVENUE DE LA CATHÉDRALE
SAINT-BONIFACE (MANITOBA) R2H OH7
(204) 233-0210
LA LIBERTÉ, Je semaine du 25. novervbre au 12° décembre 1994,
La page de
J’ai lu un bon livre.
Titre: La comédienne disparue
Auteure: Sonia Sarfati
(Collection la courte échelle)
Soazig va au Festival de Cannes avec ses
parents. Cette année, le Festival rend
hommage à Claudine Duclos, la belle
comédienne aux cheveux blond platine.
La célèbre ( fo) EP NTRE
comédienne est Der
morte depuis déjà 5 4
plusieurs années,
mais on n'a jamais
retrouvé le corps. Et
affirment qu'elle est
toujours vivante. Où
est la vérité dans
tout ce qu'on
raconte? <
Au Festival, Soazig retrouve son amie
Marie-Morgane. Et les deux jeunes filles font
la connaissance de Didi qui en long à
raconter sur son idole, Claudine Duclos.
La comédienne disparue, une mystérieuse
aventure où l'on voit que même les grandes
vedettes aiment se faire du cinéma.
Gracieuseté de La Boutique du Livre
zOMA41»>O0Om 10 > Z | w
NN 1Z MO D muy N° OO 2 © x
GS 0 6 D OA PT << O
HmMm?P?OmmrmA41PNADun<
mMmOrDADAnAmMmzZ1ED
OU CA4ANn<r?Pr?rHCRZ
À
E
R
Salut mon ami.e!
Tu sais quoi? Mon
dentiste est mon ami. Je
l'aime bien. La page de
cette semaine est
remplie d'activités
concernant la bouche.
Alors fait un grand
sourire et aie du plaisir!
Bicolo
Notre langue dans notre bouche nous permet de goûter les différents goûts. Le citron est
sur, le poivre est piquant, le sel est salé et l'oignon est fort. Lequel d'entre eux va-t-il
manger? Suis les lignes avec l'aide de différents crayons de couleurs pour le trouver.
PB:2:H 7 Fr mr
AMD M2 164 nn D: (0 M
C
LÉO (0 EZAZMOÉ
Pp .— C m
Trouve les mots suivants dans la grille.
1. bouche
2. lèvre
3. dents
4. langue
5. incisives
6. canines
7. molaires
8. prémolaire
9. mastication
10. rouge à lèvres
11. dentifrice
12. soie dentaire
HZAONnNn<mMmOn DZ XX
13. brosse à dents
14. nourriture
15. salive
16. carie
Le restant des lettres formeront ensuite la phrase mystère.
Phrase mystère :
Dans notre bouche,
nous avons des
dents qui servent à
la mastication.
Nous avons quatre
sortes de dents:
les incisives (qui
coupent), les
canines (qui
déchirent), les pré-
molaires et les
molaires (qui
broient). Complétez
les espaces pour
former les noms
ARE RS APNE appropriés.
CONCOURS DE NOËL
As-tu hâte à Noël? Pour moi, c'est la saison la plus joyeuse de
l'année. I! y a tant de joie et d'amour dans l'air et les chants sont
tellement beaux!
Pour ce concours de Noël, j'aimerais que tu fabriques une
décoration pour un arbre de Noël. Il faut que ta décoration
représente ce que Noël signifie pour toi. Envoie-la moi
accompagnée d'une explication.
Bonne chance! (date limite du concours : le 2 décembre)
Billet de participation au Concours de Noël
Nom :
Adresse :
Ville/Village :
N° de membre :
Explication :
MD CC Am: D DE O Z A m0
ec 0 ee
Loos ox om oc cc om nc ee ee ee ee eo en
L'A LIBERTÉ, la semaine du 25. novembre au’ 1°" décembre 1994 25.
Décision
CRTC Canadä
Décision 94-815. Manitoba Jockey Club Inc., Winnipeg (Man.). APPROUVÉ —
Acquisition de l'actif de l'entreprise de programmation propriété de la Racetrack
Management (1983). La licence expirera le 31 août 2001. «Vous pouvez
consulter les documents du CRTC dans la "Gazette du Canada”, Partie 1; aux
bureaux du CRTC; dans les bibliothèques de référence; et aux bureaux de la
titulaire pendant les heures normales d'affaires. Pour obtenir copie de
documents publics du CRTC, prière de communiquer avec le CRTC aux
endroits ci-après: Ottawa-Hull, (819) 997-2429, Winnipeg, (204) 983-6306.»
E + Conseil de la radiodiffusion et des Canadian Radio-television and
télécommunications canadiennes Telecommunications Commission
LA FÉDÉRATION DES COMMUNAUTÉS
FRANCOPHONES ET ACADIENNE DU CANADA
est à la recherche
D'UNE DIRECTRICE à
OU D'UN DIRECTEUR GENERAL
La Fédération des communautés francophones et acadienne du Canada est un
organisme national voué à la défense et à la promotion des droits des francophones
à l'extérieur du Québec.
FONCTIONS :
La directrice ou le directeur général est responsable :
- de la gestion de toutes les activités administratives et opérationnelles et de tous les
projets et services de la Fédération;
- de maintenir les contacts avec les associations membres de la Fédération;
- de coordonner les activités de démarchage de la Fédération auprès des différents
gouvernements;
- d'appuyer la présidence dans son rôle de porte-parole;
- d'assurer la mise en oeuvre des politiques administratives déterminées par les
instances décisionnelles de la Fédération;
- de la gestion des ressources humaines et financières;
- de la gestion et de la planification stratégique ainsi que de la programmation de la
Fédération.
QUALIFICATIONS :
- Détenir un diplôme universitaire en administration ou en sciences politiques ou
dans une discipline connexe ou avoir une expertise équivalente;
- Avoir une connaissance approfondie des communautés francophones et
acadiennes du Canada et de leur réalité;
- Posséder une expérience au sein d'organismes associatifs francophones;
- Avoir une connaissance approfondie des systèmes politiques et de leur
fonctionnement;
- Posséder des qualités de leadership dans l'avancement des dossiers prioritaires de
la francophonie canadienne;
- Démontrer une bonne capacité d'analyse et de synthèse;
- Avoir une compétence supérieure à l'oral et à l'écrit dans les deux langues
officielles du Canada;
- Avoir au moins 7 ans d'expérience dans la gestion d'organismes et de projets.
SALAIRE : À négocier.
ENTRÉE EN FONCTION : Vers la mi-janvier 1995.
LIEU DE TRAVAIL : Ottawa.
Prière de souligner votre intérêt à ce poste d'ici le 2 décembre 1994 et d’expédier
votre curriculum vitae avec la mention CONFIDENTIEL à la présidente :
Mme Claire Lanteigne, Présidente, FCFA du Canada,
1, rue Nicholas, Pièce 1404, Ottawa (Ontario) KIN 7B7
SICWB
La Commission canadienne du blé
respecter les échéances et à gérer de façon efficace leur charge de travail.
Directe UT, Développement des marchés
l'Ouest. La langue de travail est l'anglais.
écrite.
canadienne du blé, C.P. 816, Winnipeg, (Manitoba) R3C 2PS.
6:23
ttes ste ’ PAS
LA LIBERTÉ, la semaine du 25 novembre au 1°°
Le TE :
EMPLOIS ET AVIS
ESPACES DE
BUREAU À LOUER
À partir du 12" décembre 1994,
au 155, boulevard Provencher.
1 000 pieds2, en partie ou
en totalité.
Composez le 231-1333
ou 235-0715.
OFFRE D'EMPLOI
Joe Loue Tout
540, rue
Archibald
Saint-Boniface
(Manitoba)
R2J 0X4
Fax: (204) 233-8326
est à la recherche
d'une personne
pour travail
au magasin, à l'atelier
et à la livraison.
Aptitude en mécanique
et bilinguisme seraient
des atouts.
Appelez Guillaume
au 233-7000
À VENDRE
Place Des Meurons
«Life Lease»
2 chambres à coucher.
Approximativement
1 000 pi2,
possession
le 1er novembre.
Téléphone:
Léo
237-6261
La Division des ventes et du développement des marchés offre actuellement les possibilités de carrière suivantes:
Directeur commercial principal - Marché intérieur du blé
Directeur commercial - Amérique latine et Caraïbes
Les titulaires de chacun des postes susmentionnés seront responsables des activités suivantes ou y participeront:
analyse des marchés céréaliers, élaboration et mise en oeuvre de stratégies et d’initiatives commerciales à court et à
long terme. Ils collaboreront et participeront aux négociations commerciales.
membres de l’industrie céréalière afin de faciliter les ventes et ils maintiendront une liaison avec les autres services de
la Commission afin d’assurer la réalisation des engagements commerciaux. La langue de travail est l’anglais.
Ils seront en rapport constant avec les
Les candidats retenus seront des personnes motivées possédant d’excellents talents de communication orale et écrite
ainsi qu’un grand sens de l’organisation. Ils posséderont également une aptitude reconnue à travailler en équipe, à
Grâce à une vaste expérience du domaine,
ils auront une connaissance approfondie de l’industrie céréalière au niveau national et international ainsi qu’une bonne
connaissance du marché intérieur américain du blé. Bien qu’une éducation post-secondaire soit préférable, les
candidats ayant une vaste expérience dans le domaine seront pris en considération. De plus, la connaissance du
système de transport ferroviaire intérieur serait un atout pour le poste de directeur commercial principal du marché
intérieur du blé, et la connaissance d’une deuxième langue, préférablement l'espagnol ou le portugais, sera un atout
dans le cas du poste de directeur commercial chargé de l’ Amérique latine et des Caraïbes.
Relevant du directeur général de la Division des ventes et du développement des marchés, le titulaire entreprendra et
supervisera toutes les activités de la Section du développement des marchés et offrira des conseils aux fins de ces
activités, afin de promouvoir la vente et la valeur du blé et de l’orge de l’Ouest canadien sur les marchés intérieur et
étranger, et de diversifier les possibilités de production et de commercialisation pour les producteurs céréaliers de
Les candidats doivent détenir un diplôme de premier cycle en commerce, en sciences économiques ou en économie
agricole d’une université reconnue. Ils doivent avoir agi à titre de directeur principal dans un domaine connexe et
avoir une connaissance vaste et approfondie de tous les aspects de l’industrie céréalière au Canada, notamment des
systèmes de transport et de manutention, du système de contrôle de qualité et des besoins en sélection variétale. Les
candidats doivent en outre posséder une aptitude reconnue à analyser des situations et à élaborer des concepts pratiques
et des systèmes opérationnels dans toutes sortes de situations. Ils doivent enfin exceller à Ja communication orale et
Pour chacun des postes susmentionnés, nous offrons des salaires concurrentiels, une gamme complète d'avantages
sociaux, ainsi que d'excellentes conditions de travail. Les personnes intéressées sont priées de présenter leur demande
par écrit, au plus tard le vendredi 2 décembre 1994, en prenant soin de joindre leur: curriculum vitae, d'indiquer
leurs attentes salariales et de fournir des références à Direction des ressources humaines, La Commission
8 1-4
CKSB
recherche des personnes :
* pour la production d'un spectacle de variétés
* pour la rédaction d’un livre commémoratif
* pour la conservation d’une exposition itinérante.
Il s'agit de trois contrats indépendants.
Nous demandons aux candidat(e)s de posséder l'expérience
et l'expertise dans le domaine concerné.
Les candidatures doivent parvenir avant le 15 décembre à :
René Fontaine
CKSB
607, rue Langevin
Winnipeg (Manitoba)
R2H 2W2
SRC
Radio-Canada se conforme à la loi sur l'équité en matière d'emploi.
CKSB
Manitoba
PLURI-ELLES (MANITOBA) INC.
est à la recherche
d’un.e coordonnatrice(teur) pour
le CENTRE ALPHA RIVIÈRE-ROUGE (CARR)
Ce programme vise à assister les francophones dans le processus
d’alphabétisation, dans leur langue maternelle, afin de leur permettre
d'améliorer leurs habiletés en lecture, en écriture et en calcul.
Responsabilités générales :
* assurer le bon fonctionnement du Centre Alpha Rivière-Rouge;
+ coordonner les bénévoles et les apprenant.e.s à partir des besoins
exprimés;
+ faire la promotion de l’alphabétisation dans la région;
+ développer un programme d’alphabétisation pour les apprenant.e.s à
partir de la méthode conscientisante;
* en collaboration avec la coordonnatrice provinciale, voir au matériel
pédagogique qui convient à chaque apprenant et à chaque apprenante;
* assurer une évaluation trimestrielle du programme d’alphabétisation.
Qualifications requises :
+ excellente connaissance de la situation de la femme;
+ deux ans de formation ou d'expérience connexe dans le domaine de
l’alphabétisation;
+ bon esprit d'équipe;
+ expérience en animation de groupes;
* excellente connaissance du français et de l'anglais parlés et écrits.
Endroit: CARR-Chalet Malouin, Saint-Malo.
Échelle de salaire: selon l'échelle établie par l'organisme.
Date de clôture: le 6 décembre 1994.
Contrat: janvier à juin 1995
(avec possibilité de renouvellement)
Toute personne intéressée est priée de poser sa candidature en faisant
parvenir son curriculum vitae, avec la mention Confidentiel, à:
Coordonnatrice provinciale en alphabétisation
D 1 irc Inc.
rue
Meme Saint-Boniface (Manitoba) R2H 2W4
FORMATION ENTREPRENEURSHIP
Q Êtes-vous entrepreneur/entrepreneuse?
O Avez-vous le sens des affaires?
Q Avez-vous une idée pour un petit commerce ou petite
entreprise?
Q Voulez-vous établir un commerce?
Q Voulez-vous développer vos connaissances en gestion?
Q Voulez-vous contribuer à votre essor économique
personnel, communautaire?
Q Avez-vous déjà préparé un plan d'affaires élaboré? Non?
Le Conseil de la coopération du Manitoba, avec l'appui de
Développement des Ressources Humaines Canada, prévoit
la possibilité d'offrir un cours de formation en
Entrepreneurship afin de mieux vous préparer pour un
avenir en affaires.
50 % des participant.e.s devront êtres des prestataires
de chômage.
Quand: le 15 janvier 1995
pour une durée de 18 semaines.
Endroit: Saint-Boniface (Manitoba).
Entrevues: Prévues pour la deuxième semaine
de décembre 1994.
Pour s'inscrire ou pour de plus amples renseignements, les
candidats et candidates doivent communiquer avec le
bureau du CCM au 233-1560 ou nous écrire au:
Conseil de la coopération du Manitoba
103-605, rue Des Meurons
Saint-Boniface (Manitoba)
R2H 2R1
QUIZ
À qui sont
QUESTIONS
1. À quoi servaient ces pierres
et à qui appartenaient-elles?
2. D'où provenaient-elles?
3. Qui étaient les éditeurs du
journal New Nation, lancé le 29
janvier 1870?
4. Quelle association pour le
RÉPONSES
1. Ce sont des meules prove-
nant d’un moulin à grains de
céréales qui appartenait à Louis
Riel père et à son beau-frère,
Benjamin Lagimodière. Le moulin,
qui fonctionnait encore dans les
années 1855, était situé sur un
vaste lot de plus de trois kilomètres
s'étendant entre la Seine et la
Rouge, à Saint-Vital (le lot abrite
encore la Maison Riel, devenue
musée). Les meules ont été
prêtées au Musée de Saint-
Boniface par une famille de Saint-
Vital en 1968.
2. Selon Henri Létourneau, an-
cien directeur du Musée de Saint-
Boniface, les pierres seraient
venues d'Écosse. Louis Riel père
semblait avoir un esprit d'entreprise
assez développé. Pierrette Boily,
conservatrice au Musée, précise
qu'il songeait également à établir
un moulin à carder la laine, projet
En
Sbarro
pe]
Alcool! non inclus.
ces pierres?
Gagnez un repas pour deux personnes chez
SBARRO « Centre St-Vital e 255-6672
Pour participer au concours, il suffit de remplir le coupon ci-
joint en donnant la bonne réponse à la QUESTION SBARRO posée
dans le Quiz (dernière question) de la semaine et de déposer le
coupon dans la boîte appropriée au restaurant SBARRO du
Centre St-Vital. Un repas pour deux sera tiré chaque semaine.
photo: Laurent Gimenez
moins originale a tenu son
troisième dîner annuel le 18 août
1870 à Norwalk, aux États-Unis?
5. Quelle était la viande à la
mode à Paris en janvier 1871?
6. Question SBARRO
Comment se prénommait le père
de Louis Riel?
qui ne fut jamais réalisé.
3. Les insurgés de la Rivière-
Rouge. Le programme du journal
était l'indépendance du Territoire
du Nord-Ouest. Le premier numéro
contenait des articles violents
contre le gouvernement du Cana-
da, qu'on accusait d'injustices
grossières et d'erreurs criminelles.
4. La Société des hommes gras,
dont chaque membre devait peser
au moins 200 livres.
5. Le rat. Un restaurant renom-
mé servait cette viande accommo-
dée au champagne et aux épices.
6. Réponse SBARRO.
Compilé par
Laurent GIMENEZ
(Source: Pierrette Boily; Bulletin de la
Société historique de Sai iface, été 1994).
Réponse S8ARRO. SEE
SOCIÉTÉ
Qu er Le EL PL PS OR CP CP 2e PR On en 0e On 022 PA fre 29 0e nt Que ee en ee eu en us ee
RECETTE
Poitrines de poulet
aux petits légumes
Préparation: 10 minutes.
Cuisson: 30 minutes.
4 demi-poitrines de poulet (environ 2 Ib/1 kg)
2 c. à table (25 mL) de margarine ou de beurre
1 boîte de crème de céleri condensée
1/4 tasse (50 mL) d'eau
1/4 c. à thé (1 mL) de feuilles de thym
séchées, broyées
2 branches de céleri, en minces bâtonnets © Incorporer la soupe, l'eau, le thym, le céleri
2 carottes moyennes, en minces bâtonnets et les carottes.
4 tasses (1L) de nouilles cuites + Porter à ébullition.
© Enlever la peau du poulet si désiré. + Couvrir.
* Faire fondre la margarine dans une grande
poêle, à feu mi-vif.
?
© Réduire le feu et laisser mijoter 20 minutes
ou jusqu'à ce que le poulet ait perdu sa
© Faire dorer le poulet 3 minutes de chaque couleur rosée; remuer de temps en temps.
côté.
+ Égoutter le gras.
© Servir avec les nouilles.
Donne 4 portions.
LÉ ER DE AE AN OR AE NEO OO CIRE RSC ee |
La Division scolaire La Montagne n° 28
est à la recherche d'un.e
orthopédagogue bilingue
pour la Division.
Prière
au Sacré-Coeur
Que le Sacré-Coeur de
Jésus soit loué, adoré et
glorifié à travers le monde
pour des siècles et des
siècles, Amen.
+ À partir du 4 janvier 1995.
*_ Ayant un minimum de 4 ans d'expérience en enseignement.
Dites cette prière six fois par
jour pendant neuf jours et vos
prières seront exaucées même
Toute personne intéressée, doit faire parvenir son curriculum vitae à:
M. Henri Bouvier
si cela semble impossible. Directeur général
N'oubliez pas de remercier le La Division scolaire La Montagne n° 28
Sacré-Coeur avec promesse de C.P. 160
publication quand les faveurs Notre-Dame-de-Lourdes (Manitoba)
seront obtenues. Remercie- ROG 1M0
ments au Sacré-Coeur pour
faveur obtenue. HW.
Téléphone: 1-248-2228 / 1-744-2083
Télécopieur: 1-248-2482
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lundi à 17 h par écrit et être payée d'avance aux tarifs
suivants: moins de 20 mots (5 $ ou 7,50 $ pour deux
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maison à Saint-Boniface. Endroit central.
Idéal pour étudiant(e)s. 375 $ par mois
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semaines); 21 à 28 mots (6 $ ou 9 $); 29 à 35 mots (7$
ou 10,50 $); 36 à 42 mots au maximum (8 $ ou 12$
pour deux semaines). N'oubliez pas de prévoir un
montant additionnel pour la TPS!
Windsor. Tout est compris. Références
requises. 253-5596.
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La direction se réserve le droit de refuser toute
annonce envoyée après cette échéance ou
d'imposer une surcharge de 10 %.
Pour les petites annonces, l'heure de tombée est
le lundi à17 h. (par écrit et payée d'avance)
Merci de votre collaboration.
Avis aux
annonceurs
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LA DIVISION
/ su NOUVELLES-gestion
FRANCO-
MANITOBAINE
Volume 1, n° 4
Le bulletin d'information
de la Division scolaire franco-manitobaine n° 49
Saint-Boniface (Manitoba) Novembre 1994
À LIRE DANS CE NUMÉRO
En français, yes sir !
La DSFM a préparé une charte
linguistique définissant son
fonctionnement.
Voir pages 5 et 6.
Bâtiments
Les responsables de la DSFM
ont rencontré la Commission des
finances des écoles publiques
pour discuter du programme
d'immobilisation 1995 - 2000
(page 5). Pour connaître l'état
de chacune des écoles,
voir pages 7 à 10.
Devise,
devisons, devisez
Le concours de devise pour la
DSFM a été lancé le 5 novembre.
Pour participer, utiliser le formulaire
publié en pages 11 et 12.
Budget : des précisions
La DSFM veut rencontrer
le ministre pour discuter du budget.
Voir page 2.
La DSFM avant-gardiste
Le gouvernement provincial
propose de nouvelles directions
pour l'éducation au Manitoba.
Voir page 4.
UNE SEMAINE
DANS LA VIE DE LA DSFM
Pendant que les parents élus étudient, discutent et adoptent les
grandes lignes de fonctionement de la DSFM, les enfants
expriment leur fierté lors de diverses manifestations culturelles.
Ci-haut : les jeunes de la maternelle et 1** année de l'École
communautaire Aurele-Lemoine (Saint-Laurent) lors de la fête
du 150° anniversaire de naissance de Louis Riel. Ci-bas : la
session d'étude du plan d'immobilisation à laquelle ont participé
les 33 représentants régionaux. (Photos: Jacqueline Blay)
Supplément à La Liberté du vendredi 25 novembre 1994
VOS COMMISSAIRES
D'ECOLES
Marc BOILY (vice-président)
Saint-Boniface
237-3560 (dom.)
945-1602 (bur.)
Aurèle BOISVERT
Sainte-Anne
422-9042 (dom .)
235-4421 (bur.)
237-3240 (télécopieur)
Léandre BUISSE
Saint-Boniface
254-0070 (dom.)
257-6061 (bur.)
254-7183 (télécopieur)
Michelle CENERINI
La Salle
736-2970
736-2970 (télécopieur)
Raymond CURÉ
Saint-Pierre-Jolys
433-7593
433-7593 (télécopieur)
Hubert DEROCHE
Notre-Dame-de-Lourdes
248-2407 (dom.)
248-2309 (bur.)
248-2306 (télécopieur)
Murielle GAGNÉ-OUELLETTE
Saint-Boniface
254-4048 (dom.)
233-0277 (bur.)
Jeannette GILMORE
Saint-Jean-Baptiste
758-3226 (dom.)
746-2491 (bur.)
746-6027 (télécopieur)
Tayeb MERIDJI
Saint-Boniface
237-6848
235-1747 (télécopieur)
Antonio SIMARD
Saint-Lazare
683-2318
683-2243 (télécopieur)
Louis TÉTRAULT (président)
La Broquerie
424-5728 (dom .)
424-5228 (bur.)
NOUVELLES-gestion est une
publication de la Division scolaire
franco-manitobaine n°49,
Commentaires ou suggestions?
Veuillez communiquer avec
Jacqueline Blay, directrice des
communications de la DSFM.
Téléphone : 982-8950
Télécopieur : 982-8955
Budget de fonctionnement :
des choses à préciser
Le ministre de l'Education et de la
Formation professionnelle, Clayton
Manness, a communiqué le 10 novembre
1994 le montant de la contribution
provinciale au budget de fonction-
nement de la DSFM pour l'année 1994-
1995.
La contribution du gouvernement
provincial se chiffre à 1,4 million de
dollars de moins que demandée. Dans sa
lettre, le ministre a également indiqué
comment la DSFM devait couper ses
dépenses pour combler ce manque à
gagner.
Suite à une réunion d'urgence de la
Commission scolaire, Louis Tétrault, le
président de la DSFM, a indiqué qu'il
était essentiel de rencontrer le ministre
pour tirer au clair toute la question du
Cinq nouveaux
membres de l’équipe
divisionnaire
Robert Stanners, professeur d'édu-
cation physique au Collège Louis-Riel,
assurera la coordination de certains
dossiers d'éducation physique au
niveau divisionnaire. Ce poste est un
poste à temps partiel : Robert partagera
son temps entre la DSFM (25% du temps)
et le Collège Louis-Riel (75% du temps).
Par ailleurs, la DSFM à embauché
quatre secrétaires qui travailleront en
partie pour les Conseils régionaux.
Suzanne DeCosse est la secrétaire
permanente à demi-temps dans la
région Ouest tandis que Diane Verrier
est la secrétaire permanente à demi-
temps dans la région Est.
Michelle Koncz, secrétaire à temps
plein, partagera son temps entre le
bureau régional urbain et le bureau
divisionnaire
Linda Clarke, secrétaire à temps
plein, partagera son temps entre la
région Sud et le bureau divisionnaire.
financement de la gestion scolaire
franco-manitobaine.
«La loi scolaire nous impose une
structure administrative et politique
différente des autres divisions scolaires»,
explique le président. «Par contre, la
province ne semble pas être prête à
financer cette nouvelle structure.»
«En indiquant où on devrait couper,
ia décision du ministre porte atteinte à
l'autonomie de la DSFM. II est essentiel
de rencontrer le ministre pour discuter,
face à face, des obligations prescrites par
la loi. Si on veut que la DSFM soit un
succès, il faut aussi que le ministre et son
ministère le veuillent.»
À l'heure où nous allions sous presse,
la date de la rencontre avec le ministre
n'était pas encore connue En attendant,
la DSFM ne compte pas introduire des
coupures budgétaires. «Notre demande
de financement était basée sur des
besoins réels», souligne Louis Tétrault.
«On a une responsabilité légale et
morale d'offrir les meilleurs services
possibles. La DSFM a pris un en-
gagement auprès des élèves, des parents
et des enseignants pour livrer ces
services. C'est ce qu'il faut faire
comprendre au ministre.»
Par ailleurs, le ministre du
Patrimoine canadien, Michel Dupuy, a
annoncé début novembre, la signature
d'une entente spéciale entre le gouver-
nement fédéral et le gouvernement du
Manitoba. Cette entente spéciale
représente l'engagement financier
d'Ottawa à la gestion franco-manito-
baine. Le gouvernement fédéral s'est
engagé à verser 15 millions de dollars au
Manitoba sur une période de 5 ans. La
contribution du fédéral sera répartie
comme suit :
a) mise en oeuvre et
fonctionnement : 3 883 000 $
b) programmes :5 617 000 $
c) programme d'accueil : 2 000 000 $
d) immobilisations : 3 500 000 $
NOVEMBRE 1994 / NOUVELLES-gestion
Mot éside"
Bien placée
pour connaître les besoins
Parfois, on serait tenté de dire :
plus ça change, plus c'est la même
chose. On a la gestion scolaire il
est vrai. Par contre, le ministre de
l'Éducation, dans sa lettre annon-
çant la contribution provinciale au
financement de la DSFM, semble
indiquer que la province ne
semble pas être prête à financer
adéquatement cette nouvelle
structure.
On se réjouit d'apprendre que
les gouvernements du Manitoba et
du Canada ont conclu une entente
spéciale pour financer les
dépenses supplémentaires en-
courues par le Manitoba pour
l'éducation en français langue
première dans cette province. Le
gouvernement fédéral s’est
engagé à contribuer 15 millions de
dollars sur une période de cinq
ans. Malheureusement, la DSFM
avait été exclue de ces négocia-
tions qui nous touchent de près.
Dans certains domaines donc,
les choses n’ont pas encore changé
comme on le souhaiterait. Il n'y a
pas lieu cependant de se
décourager. Car dans les faits,
plus ça change - et je vous assure
que ça change -, plus ces change-
ments deviennent irrévocables.
Il n'est plus possible pour nous
de faire marche arrière. On est là
pour rester. Voilà un changement
important par rapport aux années
passées, lorsqu'on n'avait même
pas cette certitude d'avenir.
L'existence légale de la DSFM
empêche que les choses ne se
déroulent comme par le passé. La
DSFM, ses commissaires, ses
représentants et bientôt les mem-
bres des comités scolaires, sont
NOUVELLES-gestion / NOVEMBRE 1994 _
Louis Tétrault, président de la DSFM.
maintenant les interlocuteurs
légitimes et reconnus par la loi
scolaire dans le domaine de
l'éducation en français langue
première au Manitoba.
On se souvient comme si c'était
d'hier des consultations publiques
entreprises par le gouvernement
manitobain qui ont précédé
l'établissement de la DSFM.
Plusieurs estimaient que les
communautés franco-manito-
baines avaient déjà été assez
consultées.
Les parents francophones
savaient ce qu'ils voulaient,
disions-nous, et il était grand
temps, vingt ans après la création
des premières écoles franco-
manitobaines et dix ans après
l'adoption de la Charte cana-
dienne des droits et libertés,
d'aller de l'avant. Trèves de
consultations, passons à l’action!
Encore là, il y a changement. La
consultation est toujours essen-
tielle. Par contre, elle doit
maintenant de plus en plus se
faire en fonction des actions
souhaitées. Nous avons passé
l'étape de la discussion de
principes. Nous sommes en train
de dépister ce que représentent,
dans la réalité, ces principes
durement gagnés.
C'est ce genre de message,
entre autres, que nous faisons
valoir au ministre de l'Éducation
et de la Formation professionnelle
du Manitoba et son ministère. On
ne se lasse pas de le répéter : la
structure politique et administra-
tive de la DSFM exige, encourage
et facilite une consultation efficace
et soutenue avec les parents et les
professionnels scolaires tant aux
niveaux local et régional qu’au
niveau provincial.
Cette structure et la communi-
cation ouverte entre les commu-
nautés et les régions assurent que
la Commission scolaire franco-
manitobaine est la mieux placée
pour connaître les besoins
éducatifs des communautés
franco-manitobaines et pour livrer
les services voulus.
Donc, pour que les Franco-
Manitobains puissent tirer
pleinement profit de la situation, il
faut établir entre le ministre de
l'Éducation et la DSFM, des
moyens de consultations plus
poussées et soutenues que par le
passé. C'est ce que nous nous
efforçons de faire. Lentement
mais sûrement.
Louis Tétrault
Président
3
Mot du directeur général
Nouvelles directions :
version franco-manitobaine
Qu'on soit francophone ou
anglophone, Manitobain ou Terre-
neuvien, l'éducation est devenue la
question de l'heure d’un océan à
l’autre. On s'inquiète, parfois à tort,
parfois avec raison, de la qualité de
l'éducation que reçoivent nos
enfants.
Bien que notre première priorité à
la DSFM eût été de mettre sur pied
en temps record une division
scolaire moderne et efficace sachant
répondre aux besoins particuliers de
nos enfants francophones, nous
n'avons pas perdu de vue de ce
qu'on pourrait appeler le plus grand
portrait.
Au fur et à mesure que les
semaines défilent, de rencontres en
rencontres avec les élèves, les
parents, les enseignants et les divers
spécialistes du monde de l'éduca-
tion, j'ai de plus en plus la convic-
tion que ce que nous sommes en
train de bâtir est le modèle éducatif
de l'avenir. Un modèle qui pourrait
être utilisé à profit par la majorité
anglophone.
Prenons, par exemple, Île
document «Nouvelles directions
plan d'action pour le renouveau de
l'éducation» publié par Éducation et
Formation professionnelle Manitoba
en juillet dernier. Des responsables
du ministère en ont fait la pré-
sentation à la Commission scolaire et
aux directeurs et directrices des
écoles franco-manitobaines au début
du mois de novembre.
Le document propose 15 actions
touchant essentiellement tous les
Raymond Bisson, directeur général.
aspects de l'éducation : de la forma-
tion pédagogique et l’accréditation
des enseignants à la définition de
l'éducation de base ou essentielle de
la maternelle au secondaire 4.
Certaines actions proposées vont
susciter beaucoup de discussions. Je
pense, entre autres, aux domaines de
ce qui constitue une éducation de
base et de l'établissement de normes
et de principes directeurs en matière
de réussite scolaire.
En revanche, d'autres actions ne
sont pas, pour nous en tout cas,
nouvelles en soi. Je pense ici aux
actions 7 et 8 qui prévoient la mise
sur pied de Conseils consultatifs au
niveau de l'école. Ces Conseils,
comprenant des parents et des
membres de la communauté,
participeraient à l'élaboration de
plans scolaires et des budgets de la
division.
En bref, on trouve dans le docu-
ment du gouvernement manitobain
plusieurs éléments essentiels de la
structure politique et administrative
de la DSFM. Il est tentant de
conclure que ce que nous avons déjà
avec la DSFM est le modèle d'avenir
proposé pour tous les Manitobains
et toutes les Manitobaines !
Et pourquoi pas. La lutte pour le
respect de nos droits scolaires nous a
poussés, individuellement et collec-
tivement, à réfléchir davantage sur
l'importance de l'éducation. Elle
nous à poussés à innover car le
modèle majoritaire ne pouvait pas
nous donner ce dont nous voulions.
En deux mots, on n'était pas diffé-
rent de la majorité. On était tout
simplement à l'avant-garde.
Le personnel du bureau divi-
sionnaire et des établissements
scolaires de la DSFM savent qu'ils
ne travaillent pas isolés des réalités
provinciales, nationales et mon-
diales. Ils savent qu'ils doivent don-
ner aux enfants qui leur sont confiés
les habiletés nécessaires pour relever
les défis de demain.
Ils savent enfin qu’en travaillant
en équipe, avec l'appui et la colla-
boration des parents, de nouvelles
directions essentielles au renouveau
de l'éducation en français au Mani-
toba seront identifiées. Et je parie
que plusieurs de ces nouvelles
directions seront utilisées par la
majorité anglophone. Car nous
étions là pour battre le sentier.
Raymond Bisson
Directeur général
NOVEMBRE 1994 / NOUVELLES-gestion
Le plan d’immobilisation : tout est prioritaire
Le plan d'immobilisation
1995 - 2000 de la DSFM a été
soumis au gouvernement
provincial en octobre. Toutes
les écoles, sauf celle de Saint-
Georges, avaient été visitées
et les directeurs et les
représentants avaient été
consultés quant à leurs
besoins dans le cadre du
programme quinquennal en
immobilisation.
Pour ce qui est de Saint-
Georges, une demande avait
déjà été faite pour la Phase II
des rénovations à court terme
et l'achat du bâtiment à long
terme.
«En'général, les écoles
sont en bonne condition»,
explique Maurice Chaput,
directeur de l'entretien et du
transport. «Certaines écoles
ont moins de 10 ans.
D'autres, par contre, ont été
construites il y a 20 ou 30
ans.»
Le plan d'immobilisation
dresse, école par école, les
besoins prévus pour les cinq
prochaines
années. Les
détails, par école, sont
résumés dans les pages
régionales de ce bulletin (voir
pages 7 À 10). Après étude par
les comités régionaux et la
LA CHARTE LINGUISTIQUE :
LA PIERRE ANGULAIRE DE LA DSFM
Pour Marc Boily, vice-
président de la Commission
scolaire franco-manitobaine
(CSFM), l'adoption d'une
Charte linguistique était
essentiel. «On aspire à fonc-
tionner en français. Du même
coup, on sait que ce n'est pas
toujours possible car, dans la
réalité, on est un îlot franco-
phone dans une mer anglo-
phone.»
«On avait besoin d'une
pierre angulaire en terme de
fonctionnement, plus spéci-
fiquement dans le domaine
des directives pour notre
personnel», poursuit le com-
missaire de Ja
urbaine.
Région
«En premier temps, la
Charte linguistique clarifie ce
que les lois permettent. À
partir de ce qui est permis, on
y a développé notre vision,
notre perception du fonc-
tionnement de la DSFM. On
l'a voulue aussi complète que
possible pour donner une
direction à tout le personnel
et à l'administration.»
La Charte linguistique à
été adoptée comme politique
intérimaire. Elle a été en-
voyée aux Comités régionaux
pour commentaires et sug-
gestions. «À ce stade-ci, elle a
été très bien reçue. Tout en
étant la fondation du
fonctionnement de la DSFM,
elle donne aussi une latitude
aux régions», précise Marc
Boily.
Dès la mise en place des
comités scolaires, la Charte,
ainsi que toutes les autres
politiques divisionnaires,
seront réétudiées.
La Charte linguistique de la
DSFM est publiée en page 6.
Les commissaires et les représentants régionaux étudiant le plan
d'immobilisation avant sa soumission au gouvernement provincial.
Commission scolaire, tous les
besoins ont été évalués
prioritaires.
Le plan d'immobilisation
1995 - 2000 de la DSFM ne
contient donnée
financière. Explication de
Maurice Chaput, directeur de
aucune
l'entretien et du transport: «la
province évalue les deman-
des d’après la nécessité et
non pas d'après les coûts des
projets.»
C'est la Commission des
finances des écoles publiques
(CFÉP) qui analyse et évalue
les projets en consultation
avec chaque division. Les
projets sont priorisés au
niveau de la province en
fonction des fonds dispon-
ibles.
Lorsqu'un projet est
approuvé, la division reçoit
l'autorisation d'embaucher
les services d’un architecte
pour préparer des devis et
l'estimation des coûts. Les
limites et la méthode de
financement sont établies par
la CFÉP au
soumissions.
stade des
NOUVELLES-gestion / NOVEMBRE 1994
CONCOURS DE DEVISE :
A VOS PLUMES !
Le concours de devise pour la DSFM a été lancé
officiellement le 5 novembre. Étant donné que la gestion
scolaire est un projet communautaire, la participation du
public, ainsi que celle des écoles, est fortement encouragée.
Pour participer à ce concours organisé conjointement par
la Fédération provinciale des comités de parents (FPCP) et
la DSFM, il faut utiliser le formulaire officiel publié en
pages 11 et 12 de ce bulletin.
Donc à vos plumes et à vos dictionnaires! Pour de plus
amples renseignements, appelez Diane Bruyère,
coordonnatrice des programmes et des services culturels de
la DSFM, au 982-8950.
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NOVEMBRE 1994 / NOUVELLES-gestion
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RÉGION
Desservant les communautés de
La Salle, Saint-Norbert,
Saint-
Charles Arbez
Léo Teillet
Adolphe, Île-des-Chênes, Lorette,
Sainte-Geneviève, Sainte-Anne,
Richer, La Broquerie, Saint-Labre,
Louis Paquin
Woodridge, Saint-Georges, Pinefalls
et Powerview.
IMMOBILISATION : LES BESOINS
Ecole Saint-Joachim
(M. à 12)
Recommandations :
+ Construction d'un nou-
veau gymnase sècondaire
avec salles de rechange,
douches, etc.;
Conversion du gymnase
actuel en une polyva-
lente, maternelle et aires
auxiliaires;
Conversion de salles de
classe existantes en un
salon du personnel,
classe d'accueil et salle
d'informatique.
École Lagimodière
(M à 8)
Les installations scolaires
sont suffisantes et adéquates
pour subvenir aux besoins
actuels de cette école.
École Gabrielle-Roy
(M à 12)
L'école est pleine et toutes
les salles de classe sont
utilisées au maximum.
Recommandation :
+ Demande d'une classe
portative pour la fran-
cisation et l'éducation à
distance.
École Pointe-des-
Chênes (M à 12)
Tous les locaux sont utilisés
au maximum. Les inscrip-
tions sont à la hausse.
Recommandations :
QUARTIER SAINT-JOACHIM
Roland Gauthier
1 Est
QUARTIER NOËL-RITCHOT
QUARTIER LAGIMODIÈRE
Michelle Lagimodière-Gagnon
LE COMITÉ RÉGIONAL
Roland Gauthier (Saint-Joachim), président
Michelle Lagimodière-Gagnon (Lagimodière), vice-présidente
QUARTIER GABRIELLE-ROY
Michelle Cenerini (commissaire)
Antoine Hacault
QUARTIER POINTE-DES-CHÈÊNES
Aurèle Boisvert (commissaire)
André Lafrenière
QUARTIER SAINT-GEORGES
Madeleine Lavoie
Louis Tétrault (commissaire)
Une classe portative pour
la francisation en 1995;
Une classe portative pour
une deuxième classe de
1** année (1996);
Une classe portative pour
une deuxième classe de 2°
année (1997).
École Noël-Ritchot
(M à 8)
On souhaiterait une salle de
musique insonorisée pour
un programme d'harmonie
présentement offert à Louis-
Riel pour les élèves des 7° et
8: années.
Recommandations :
* Une demande de projet
de climatisation soit
incluse en 1995;
Une décision de la DSFM
sur l'avenir du pro-
gramme d'harmonie indi-
quera si une demande
pour une salle de mu-
sique devra être faite en
1996.
École Saint-Georges
(M à 12)
Une soumission a déjà été
faite pour les rénovations
(Phase II) en 1994 et l'achat
du terrain et du bâtiment en
1995.
Recommandation :
+ Que la demande soit
réitérée dans le cadre du
programme quinquennal.
NOUVELLES-gestion / NOVEMBRE 1994
Sainte-Anne - L'École
Pointe-des-Chênes est l’une
de 5 écoles du Manitoba qui
participent à un projet-
pilote fédéral-provincial
intitulé «Centres d'informa-
tion communautaire situés
à l'école».
Ce projet a pour but de
donner aux gens de la
communauté accès à l'auto-
route électronique. «Les
ordinateurs et l'équipement
seront installés à l'école»,
Armand St-
Hilaire, directeur de l'École
Pointe-des-Chênes. «L'école
explique
devient en quelque sorte
une école communautaire
où le public peut avoir accès
à l'autoroute électronique.»
En plus de l'équipement,
le projet-pilote fournira de
la formation aux gens
voulant apprendre com-
ment utiliser l'autoroute
électronique. Rappelons que
l'autoroute électronique est
un réseau de réseaux infor-
matiques, permettant de
communiquer via INTER-
NET à travers le monde par
ordinateur.
La Broquerie - La classe
de 6’ année de l'École Saint-
Joachim a fait une demande
pour participer au pro-
gramme de voyage-échange
de l'ACELF.
«Pour être accepté, il
faut avoir un bon pro-
gramme d'activités pour les
jeunes qui viennent du
Québec», explique Gilles
Normandeau, directeur de
l'École Saint-Joachim.
«On leur a fait valoir la
possibilité de connaître à la
fois le Manitoba franco-
phone rural et urbain. Car
La Broquerie est un village
francophone rural pas loin
de la ville.»
Si la demande de Saint-
Joachim est acceptée,
l'ACELF défrayerait tous les
coûts de voyage des 23
élèves de la classe de 6".
Saint-Georges - Made-
leine Lavoie a été élue sans
concurrence représentante
des parents Saint-
Georges au Comité régional
de l'Est.
La de quatre
enfants âgés de 12 à 17 ans
succède à Gilles Avanthay
qui avait dû quitter ses
fonctions pour des raisons
de
mère
professionnelles. L'école de
Saint-Georges, installée
dans le Club communau-
taire du village, compte 44
élèves.
RÉGION :
DE
L O U est LE COMITÉ RÉGIONAL
Fernand Comte (Notre-Dame-de-Lourdes), président
Antonio Simard (Saint-Lazare), vice-président
QUARTIER SAINT-LÉON
Gilles Martel
QUARTIER ÉCOLE ÉLÉMENTAIRE
NOTRE-DAME-DE-LOURDES
Diane Bazin
Les écoles de Saint-Lazare, Saint-
Laurent, Saint-Léon, et les écoles
élémentaire et secondaire de Notre- QUARTIER SAINT-LAURENT
Dame-de-Lourdes.
Guy Dumont
Desservant les communautés de
Saint-Lazare, Saint-Laurent, Saint-
Léon et Notre-Dame-de-Lourdes
IMMOBILISATION :
LES BESOINS
ET LES RECOMMANDATIONS
Ecole Saint-Léon (1 à 8)
L'école héberge présente-
ment 23 élèves. Les pro-
jections des inscriptions
sont difficiles à évaluer.
Recommandation :
Qu'aucune demande ne
soit faite en 1995 et que la
situation de Saint-Léon
soit sérieusement analy-
sée en 1996.
École élémentaire de
Notre-Dame-de-Lourdes
(M à 6)
L'école a des espaces libres
(3 classes) mais n'a pas de
gymnase comme tel.
Recommandation :
+ Qu'une demande soit
faite en 1995 pour là
construction d'un gym-
nase de dimension élé-
mentaire.
Institut collégial Notre-
Dame-de-Lourdes (7 à 12)
Les locaux sont suffisants et
adéquats pour desservir
une clientèle de 141 élèves
de la 7‘ à la 12‘ années.
École communautaire
Aurèle-Lemoine
(M. à 11)
Le comité de parents étudie
présentement la situation à
Saint-Laurent concernant le
partage des locaux. Le
représentant régional et le
directeur recommandent
qu'une demande spécifique,
si nécessaire, soit faite une
fois l'étude terminée.
École Saint-Lazare
(M à 12)
Les locaux actuels sont
satisfaisants. Par contre, la
vieille partie n'a pas de
système de ventilation. Le
gymnase est de dimension
élémentaire. Le plancher du
gymnase actuel doit être
refait.
Pour les 35 dernières
années, l’école utilise en
grande partie comme cour
d'école un terrain appar-
tenant à un particulier
récemment décédé. Pour
régler la succession, il
devient nécessaire d'acheter
ce morceau de terrain.
Recommandations :
+ L'installation d'un sys-
tème de ventilation adé-
quat (1995);
Réfection du plancher du
gymnase (1995);
Achat du terrain
Fouillard pour la cour
d'école (1995).
QUARTIER SAINT-LAZARE
Antonio Simard (commissaire)
Fernand Comte
QUARTIER ÉCOLE SECONDAIRE
Projet de bénévolat à
Notre-Dame-de-Lourde-
Les l'Institut
collégial Notre-Dame-de-
élèves de
Lourdes participeront, en-
core cette année, au projet
de bénévolat du Centre de
santé Notre-Dame.
Ce projet permet aux
jeunes d'acquérir, en soirée
et durant les fins de se-
maine, une expérience de
travail et des crédits supplé-
mentaires au-delà des
NOTRE-DAME-DE-LOURDES
Hubert Deroche (commissaire)
crédits de base.
«Ça peut leur donner
une porte d'entrée lorsqu'ils
chercheront un emploi plus
tard», explique Denis Bi-
bault, directeur de l'Institut
collégial. «Ça démontre
aussi que ces jeunes sont
prêts à assumer des respon-
sabilités au-delà de ce qu'on
s'attend d'eux à l'école.» De
20 à 30 élèves de la 9: à la
12° ont participé au projet
par le passé.
Saint-Laurent - C'était la fête à l'École communautaire Aurèle-
Lemoine le 28 octobre dernier. En fait, la Société historique de Saint-
Boniface et la DSFM avait choisi Saint-Laurent pour souligner le
150€ anniversaire de naissance de Louis Riel, le père du Manitoba.
Parmi les invités d'honneur, notons la présence du lieutenant-
gouverneur Yvon Dumont, lui-même Métis originaire de Saint-
Laurent. On reconnaît, dans la photo (de g. à d.), Norbert Langelier,
le représentant régional Guy Dumont et Louis Allain, directeur de
l'école communautaire Aurèle-Lemoine. (Photo : Jacqueline Blay)
NOVEMBRE 1994 / NOUVELLES-gestion
Desservant les communautés de
Sainte-Agathe, Saint-Pierre-Jolys,
U
QUARTIER SAINT-PIERRE
André Carbonneau
Raymond Curé (commissaire)
Otterburne, Saint-Joseph, Saint-Jean-
Baptiste, Letellier, De Salaberry et
Montcalm.
Jeannot Robert
LA DSFM PARTENAIRE DE LA RED
RIVER TECHNICAL VOCATIONAL AREA
La DSFM a été acceptée
à titre de partenaire à part
entière du Red River
Technical Vocational Area.
Ce réseau de divisions
scolaires offrant des pro-
grammes vocationnels
spécialisés est composé des
divisions scolaires Rhine-
land (Altona), Boundary
(Dominion City), Morris-
Macdonald (Morris) et
Rivière-Rouge.
«Ce Consortium a plu-
sieurs avantages», explique
la commissaire Jeannette
Gilmore. «Ça nous permet
de partager les dépenses car
dans notre région, une
division scolaire ne pourrait
pas offrir d'elle-même toute
la gamme des cours. Et en
tant que partenaire, nos
élèves auront accès aux
cours professionnels donnés
dans les autres écoles de la
région.» Jeannette Gilmore
(Saint-Jean-Baptiste) et
Raymond Curé (Saint-
Pierre) ont été nommés
représentants de la DSFM
au consortium.
Saint-Jean-Baptiste -
La Commission des finan-
ces des écoles publiques a
autorisé la rénovation de la
salle de toilettes de l'École
élémentaire Saint-Jean-
Baptiste pour la rendre
accessible aux élèves handi-
capés. On espère terminer
QUARTIER SAINTE-AGATHE
LE COMITÉ RÉGIONAL
Jeannot Robert (Sainte-Agathe), président
André Carbonneau (Saint-Pierre), vice-président
QUARTIER SAINT-JEAN-BAPTISTE
ELEMENTAIRE
Léa Barnabé
Anne-Marie Fillion
QUARTIER SAINT-JEAN-BAPTISTE
SECONDAIRE
Jeannette Gilmore (commissaire)
Des représentantes et représentants de la Région Sud étudiant le plan
d'immobilisation de la DSFM soumis au ministère fin octobre.
(Photo : Jacqueline Blay)
les travaux d'ici le 1‘ janvier
1995. La plupart des écoles
de la DSFM sont déjà
accessibles
aux élèves
handicapés.
IMMOBILISATION : LES BESOINS ET LES RECOMMANDATIONS
Ecole élémentaire Saint-
Jean-Baptiste (M à 8)
Les locaux existants sont
satisfaisants.
Collège Saint-Jean-
Baptiste (9 à 12)
Les locaux existants sont
satisfaisants.
École de Sainte-Agathe
(M à 9)
La province recommande
que la vieille aile de l'école
soit abandonnée et les
élèves relocalisés dans la
nouvelle aile. L'abandon de
la vieille partie mettrait à
court les espaces requis.
Recommandations :
+ Démolition de la vieille
aile;
+ Construction de deux
classes portatives de
qualité rattachées à la
nouvelle aile;
NOUVELLES-gestion / NOVEMBRE 1994 —
+ Réaménagement de salles
de classe existantes pour
répondre aux besoins en
sciences, en informa-
tique, en maternelle et en
francisation.
École élémentaire
Saint-Pierre (M à 8)
D'ici 1997 ou 1998, l'école
accommodera une clientèle
M à 12 d'environ 250 élèves
et aura donc besoin de plus
d'espace.
Recommandation :
+ Que la DSFM demande
l'approbation en 1995
d'un projet d'agrandisse-
ment (nouveau gymnase
secondaire et d’autres
installations requises)
pour rencontrer
besoins
les
académiques
d'une clientèle scolaire
de M à 12 d'ici 1997.
Li
RÉGION U pal
QUARTIER LACERTE
Michelle Freynet
Rita Simoens
Desservant les communautés de
Norwood, Saint-Boniface, Saint-Vital,
Fort Garry et le grand Winnipeg.
École Lavallée - Une
quarantaine de jeunes de la
7° année comptent partici-
per au camp Le petit bon-
heur en juin. Ce camp de 10
jours se déroule au Québec
et offre toute une gamme
d'activités académiques et
culturelles. Les jeunes
devront défrayer tous les
coûts de ce voyage. Parmi
les activités de prélèvement
de fonds, signalons un
défilé de mode qui aura lieu
au printemps.
Gilbert Laberge
Léandre Buissé (commissaire)
Marc Boily (commissaire)
Les élèves des 6° et 9°
années ont, pour leur part,
soumis une demande de
participation au programme
de voyage-échange de
l'ACELEF. Si la demande est
acceptée, l'ACELF défraye-
rait entièrement les frais de
voyage.
Comité régional - C'est
avec regret que le Comité
régional urbain a accepté la
démission de Raymond
QUARTIER LOUIS-RIEL
ne
LE COMITÉ RÉGIONAL
Carmelle Mulaire (Lavallée), présidente
Rita Simoens (Lacerte), vice-présidente
QUARTIER LAVALLÉE
Maurice Auger
Murielle Gagné-Ouellette (commissaire)
QUARTIER PRÉCIEUX-SANG
Tayeb Meridji (commissaire)
QUARTIER TACHÉ
Gouin, représentant ré-
gional du quartier Précieux-
Sang. Des élections par-
tielles auront lieu sous peu
pour combler le poste.
Rita Simoens, repré-
sentante du quartier Lacerte
et vice-présidente du Comi-
té régional, présidera le
«Comité des cinq écoles».
Ce comité, composé d'un
membre de chaque comité
scolaire et d'un représen-
tant(e) régional(e) par école,
Poste à combler
Carmelle Mulaire
est chargé de traiter des
questions qu'auraient en
commun les cinq écoles
urbaines.
Par ailleurs, Michelle
Koncez, secrétaire à demi-
temps pour la Région
urbaine, a été embauchée à
temps plein par la DSFM.
Elle partagera ses journées
de travail entre le bureau
régional urbain et le bureau
divisionnaire.
IMMOBILISATION : LES BESOINS ET LES RECOMMANDATIONS
Ecole Taché (M à 6)
Tous les locaux sont
présentement utilisés au
maximum. L'école n'a pas
de local pour la classe de
francisation, pas de salle
d'informatique, pas de
polyvalente et pas de
laboratoire. L'école n'est pas
climatisée.
Recommandations :
+ L'installation de deux
classes portatives en 1995
si les zones de recrute-
ment des élèves demeu-
rent les mêmes;
Climatisation de l'école
(1995).
École Lacerte (M. à 8)
Les locaux existants sont
satisfaisants pour la clien-
tèle scolaire actuelle et
prévue dans un avenir
10
rapproché.
École Précieux-Sang
(M à 9)
L'école construite pour 700
élèves en héberge actuelle-
ment 260. Les fenêtres de
l'aile élémentaire doivent
être remplacées.
Recommandation :
+ Remplacer les fenêtres
des côtés ouest et sud de
l'aile élémentaire.
Collège Louls-Riel
(7 à 12)
Le Collège Louis-Riel a
assez d'espace pour accom-
moder sa clientèle actuelle.
L'aile ouest de l'école n'est
pas climatisée. L'école n'a
qu'une salle d'informatique
(28 ordinateurs) pour
desservir une population de
550 élèves.
Recommandations :
* Aménagement d'une
deuxième salle d'infor-
matique à même les
locaux existants (1995);
+ Climatisation de l'aile
ouest de l’école.
École Lavallée (M à 9)
L'école est pleine à craquer.
Les inscriptions sont à la
hausse et dès septembre
1995, l'école prévoit avoir
besoin de trois classes
additionnelles. À long
terme, la construction d'un
complexe scolaire commu-
nautaire (soit M à 8 ou M à
12) doit être envisagée dans
le sud de Saint-Vital.
Recommandations :
À court terme :
+ Soit libérer deux salles de
classe en transférant la 9°
année à Louis-Riel en
1995;
Soit louer des espaces de
Lavallée School;
Soit installer des classes
portatives en 1995 ou
1996.
À long terme :
+ Construction pour 1997
dans le sud de Saint-Vital
d'un complexe scolaire
pouvant accueillir soit
550 élèves (M à 8) ou 750
élèves (M. à 12);
Entrer en pourparlers
avec la Commission sco-
laire de Saint-Vital pour
collaborer dans la cons-
truction d'une nouvelle
école française et l’utili-
sation des locaux de
l'école Lavallée par Saint-
Vital.
NOVEMBRE 1994 / NOUVELLES-gestion
Critères de participation:
La devise devra être conforme à la Mission de la DSFM
(voir plus loin);
La devise devra refléter le passé, le présent et l'avenir de
l'histoire de l'éducation française au Manitoba;
La devise devra avoir un maximum de dix mots:
Les participant.es des écoles seront limité.es aux écoles
françaises de la DS5FM;
Les participant.es devront être francophones et résider
au Manitoba.
Règlements:
Seul ce formulaire officiel sera accepté par le jury:
Les jurés n'accepteront qu'une devise par participation;
La devise devra être inscrite dans les deux rectangles
réservés à cet effet sur ce formulaire;
Les catégories serviront à préparer une liste de finalistes
pour le choix définitif;
Seule 1a Commission scolaire franco-manitobaine aura le
dernier mot en ce qui concerne le choix définitif de la
devise;
La devise gagnante sera choisie parmi les devises
déclarées finalistes.
Inscrivez votre devise dans le rectangle ci-dessous:
Catégories:
CONCOURS DE DEVISE: UN PROJET CONJOINT DE
LA FÉDÉRATION FROVINCIALE DES COMITÉS DE FARENTS ET DE
LA DIVISION SCOLAIRE FRANCO-MANITOBAINE N° 49
élémentaires (me
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primaires
0
( Organismes
Familles
particuliers
Prix:
li y aura de nombreux prix à gagner et les détails seront
communiqués à une date ultérieure.
Les prix seront choisis en fonction de l'âge des
participantes.
Mission de la Division scolaire
franco-manitobaine
a Division scolaire franco-manitobaine,
consciente de son rôle unique au Manitoba, au
Canada et dans un monde en perpétuel changement, a
pour mission:
À d'assurer une formation de qualité à sa
population estudiantine francophone du Manitoba
en promouvant le développement de personnes
autonomes, épanouies, compétentes, sûres de leur
identité, fières de leur langue et de leur culture;
(] d'établir un projet éducatif communautaire, géré
par les parents francophones du Manitoba, et qui
reflète les intérêts et les valeurs du milieu franco-
manitobain.
Pour de plus amples renseignements:
FPCP: Chantal Berard : 237-9666
DSFM: Diane Bruyère: 982-8950
NOUVELLES-gestion / NOVEMBRE 1994
CONCOURS DE DEVISE: UN PROJET CONJOINT DE
LA FÉDÉRATION FROVINCIALE DES COMITÉS DE PARENTS ET DE
LA DIVISION SCOLAIRE FRANCO-MANITOBAINE N° 49
La Fédération provinciale des Comités de parents et la Commission scolaire franco manitobaine sont à la recherche d'une devise pour la Division scolaire franco manitobaine.
Concours:
0
Cette devise sera choisie par l'entremise d’un concours qui
débutera le 5 novembre 1994 et prendra fin le 15
décembre 1994. La devise gagnante sera dévoilée le 18
janvier 1995.
Numéro de téléphone:
Écoles
élémentaires
Catégories:
0
Le concours est ouvert à toute la communauté franco-
manitobaine et aux écoles françaises de la Division scolaire
franco-manitobaine. || y a 5 catégories possibles:
[1] Familles
[2] Ciasses de niveau primaire
-MANITOBAINEN 49
secondaires
Écoles
0
(3) Ciasses d2 niveau élémentaire
9 Ciasses de niveau secondaire
Catégories:
primaires
(5) La communauté franco-manitobaine en général
(particuliers, groupes et/ou organismes)
Écoles
0
Jury:
Le comité de sélection sera composé de particuliers
considérés comme impartiaux, familiers avec la
communauté franco-manitobaine et le domaine de
l'éducation en français. Pour éviter tout influence indue les
noms des membres du jury devront demeurer confidentiels
jusqu'au dévoilement de |a devise gagnante.
Organismes
particuliers
et/ou
0
131, BOULEVARD PROVENCHER - BUREAU 112
SAINT-BONIFACE (MB) R2H 0G2
DIVISION SCOLAIRE FRANCO
POSTEZ VOTRE FORMULAIRE À L'ADRESSE INDIQUÉE CI-DESSOUS. MERCI.
CONCOURS DE DEVISE
Inscrivez votre devise dans le rectangle ci-dessous:
Code postal
Familles